9 particularités du corps humain héritées de nos ancêtres qui ne sont d’aucune utilité pour l’homme moderne

C’est curieux
Il y a 5 ans

C’est un fait avéré : le cerveau humain est un organe qui nous réserve continuellement son lot de surprises. Les neurophysiologues ont découvert que le néocortex, ou le nouveau cerveau, nous distingue des animaux : nous pensons, nous savons comment nous tirons des conclusions, nous comprenons la logique... Mais il existe un autre aspect : le cerveau reptilien que même nos ancêtres les plus anciens possédaient. Et il s’avère qu’il soit le responsable de certains instincts hérités de nos ancêtres. Par exemple, le souhait de survivre, à n’importe quel prix.

Sympa a trouvé pour toi 9 particularités du comportement humain qui n’ont pas encore été analysées par la science moderne, et qui n’ont aucune utilité pour l’Homme d’aujourd’hui !

1. La dépendance à la lumière du mode veille-sommeil

Le mode veille-sommeil de l’homme primitif était régulé par la lumière du soleil : les yeux de nos ancêtres étaient adaptés pour bien voir de jour. Le lever du jour signifiait qu’il était l’heure de se lever et d’aller chercher de la nourriture.

Désormais, nous pouvons dormir autant que nous le souhaitons, surtout les fins de semaine, mais dès que la lumière du soleil pénètre à travers les rideaux, notre corps crie : “Debout !” Ce fait répond à une chute radicale du niveau de l’hormone appelée mélatonine. Elle contribue aux bonnes nuits de sommeil du sujet, mais sa concentration baisse lorsque la lumière atteint la rétine de l’œil.

2. Stocker des réserves pour des jours plus sombres

Tous ceux qui ont tenté de suivre des régimes stricts se sont retrouvés confrontés à une résistance désespérée de leur corps. Dès que la quantité de calories que l’on ingère baisse drastiquement, notre organisme apeuré ralentit instantanément le métabolisme, évitant la perte de poids.

Dans nos tissus adipeux, on trouve un gène appelé récepteur d’insuline. Et ceci indique au corps de bien conserver toutes les calories qu’il possède. À la fin, si le sujet mange peu, cela signifie que la famine est enfin arrivée. C’est pour cela qu’il est nécessaire d’ingérer toutes les calories possibles, jusqu’à être en excès de poids. Le mécanisme de survie de nos ancêtres nous empêche donc de mincir.

3. Ne pas aller à la salle de sport parce que rien ne menace ta vie

La tendance qu’ont certaines personnes à s’affaler dans le canapé au lieu d’aller faire du sport est absolument normale. La logique de notre code génétique, qui n’a pas changé depuis des milliers d’années, est manifeste : il est tout à fait inutile de gaspiller des forces jusqu’à ce qu’apparaisse un prédateur ou une proie à l’horizon.

Du point du vue du corps, l’entraînement est une perte d’énergie, car ainsi, nous n’obtenons ni nourriture ni ne fuyons un danger quelconque. C’est pour cela qu’il faudrait une force de volonté évidente pour maintenir un style de vie sain et faire du sport régulièrement. De plus, nous souhaitons remettre à plus tard le nettoyage ou encore les courses : le corps ne voit rien d’important là-dedans, selon lui, ce n’est pas un problème de survie.

4. Perte d’énergie vitale avec l’âge

La plupart d’entre nous, dans notre jeunesse, se sont demandé pourquoi les personnes âgées n’écrivent pas de livres, ou ne se dédient pas à la création, étant donné qu’elles ont du temps libre et qu’elles ont accumulé une certaine expérience au cours de leur vie. La réponse est simple : avec l’âge, les niveaux de certaines hormones dans le sang diminuent, et ainsi, l’efficacité du cerveau baisse et l’énergie vitale aussi.

Souvent, une personne âgée n’a pas la force suffisante pour réaliser de grandes choses, même si sa santé est correcte. La passion, l’enthousiasme et le dynamisme s’affaiblissent. Bien entendu, pour les générations actuelles, ceci est tout simplement injuste et incorrect. Mais du point de vue d’une nature cruelle et inexorable, une personne âgée a déjà accompli sa mission de procréation et elle n’est plus aussi nécessaire à la société que durant sa jeunesse.

Cependant, l’âge auquel on atteint la vieillesse augmente de plus en plus, et par conséquent, beaucoup de nos contemporains vivent une vie active grâce aux progrès du monde de la médecine.

5. Être irrité à cause de la sensation de faim

Fréquemment, nous devons remettre à plus tard la consommation d’aliments, à cause d’une réunion importante, de problèmes de transport ou simplement de problèmes urgents. Le corps répond à cela, non seulement avec une sensation de vide dans l’estomac, mais aussi par une augmentation de notre irritabilité. Nous sommes disposés à crier sur quiconque se mettra en travers de notre chemin, et nous cherchons n’importe quelle excuse pour entrer en conflit avec les autres.

La réalité est, qu’en réponse à une chute du niveau de glucose, le cerveau émet un signal qu’il envoie au corps afin qu’il produise de l’adrénaline. De cette manière, l’organisme permet au sujet de réaliser une partie de chasse beaucoup plus prospère. Et cela ne fait que contribuer à la détérioration des relations interpersonnelles.

6. Tout manger jusqu’à la dernière miette

L’homme primitif ne savait pas à quelle occasion il pourrait manger de nouveau. C’est pour cela que, dans le cas d’une chasse réussie, il remplissait son estomac autant qu’il le pouvait, car ainsi, il avait plus de probabilités de survivre si des temps plus difficiles se manifestaient. L’instinct qui vient de l’époque des cavernes nous indique également que nous mangeons tout ce que nous pouvons. Il est assez difficile d’expliquer à l’organisme affamé que, dans quelques heures, nous pourrons de nouveau manger normalement : il exige de la nourriture, ici et maintenant !

Mais si tu manges fréquemment et en moins grandes quantités, tu calmes le corps, en l’accoutumant au fait que les aliments sont toujours disponibles, tout le temps, et qu’il est inutile de manger pour créer des réserves au cas où.

7. Sauver ce qui a le plus de valeur

Qui n’a jamais soufflé sur ses doigts congelés lorsqu’il avait froid, en attendant à l’arrêt de bus ? Tu dois savoir que tes extrémités sont gelées, car ton corps ne les approvisionne plus en sang ; il le dirige vers les organes les plus importants et les plus vitaux. Il est difficile d’expliquer au corps, que dans cinq minutes, nous monterons dans un autobus chauffé, et que la mort par hypothermie ne nous menace pas du tout.

Il est certain que le corps des chasseurs et des pêcheurs du nord de la planète, qui ont été obligés de survivre dans le froid avec les mains à l’air libre, se soit adapté aux conditions. De temps en temps, le sang revient aux extrémités, les réchauffant ainsi et redonnant un peu de vie aux doigts gelés.

8. La peur de l’obscurité

Il y a plusieurs années, l’arrivée de la nuit annonçait une menace croissante pour l’être humain. Les impitoyables prédateurs sortaient chasser et l’homme était presque sans défense face à eux. Seule la lumière du brasier dissipait l’obscurité et donnait l’espoir d’effrayer les bêtes sauvages.

Beaucoup d’enfants ont peur de l’obscurité : ce sont les instincts de nos ancêtres qui se prononcent. En vertu de la logique, dans un appartement ou une maison, il n’y a rien à craindre, et cependant, une peur inexplicable nous emporte. Et une simple histoire terrifiante réveille notre instinct d’autrefois.

9. La soumission à la volonté des parents

Si la mère primitive interdisait de se baigner dans tel lac, mieux valait suivre ses indications. C’est pour cela qu’il est si difficile pour nous de résister à l’opinion de nos parents. Il y a plusieurs milliers d’années, les progrès se faisaient tellement lentement qu’il n’y avait aucune raison pour douter de l’expérience et de l’exactitude des arguments des plus anciens. Aujourd’hui, les progrès se font à toute vitesse, et les nouvelles générations enseignent de nouvelles choses aux parents.

Les parents, très souvent, ont raison quand il s’agit de relations personnelles, mais parfois, ils ne perçoivent pas les méthodes et les professions du monde moderne. Notre vie est très différente de la leur, donc n’aie pas peur de prendre des décisions qui vont contre leur volonté si tu es convaincu qu’il est temps pour toi de sortir du nid et que ce qui t’attend n’est pas aussi dangereux et négatif qu’ils le prétendent.

T’es-tu déjà surpris en train de penser que tu agissais d’une drôle de manière uniquement parce que tes instincts te le demandaient ? Raconte-nous dans les commentaires !

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