Les secrets gardés par les pilotes, les hôtesses de l’air et les techniciens de l’aviation

C’est curieux
Il y a 5 ans

Peu importe que tu prennes l’avion tout le temps ou que tu n’en aies jamais pris un pour “te promener”, il est toujours intéressant de découvrir comment opèrent ceux qui assurent la sécurité aérienne, quels secrets les pilotes et techniciens aériens jalousent et surtout, comment voyager confortablement et sans frais supplémentaires. Certains éléments ne satisferont pas seulement ta curiosité, mais peuvent aussi t’être utiles à l’avenir.

Sympa expliquera brièvement comment les étranges règles de comportement surgissent dans un avion. Qu’est-ce que tu peux attendre d’une compagnie aérienne ? Combien il y a de vérité dans les histoires des touristes expérimentés et comment en profiter au maximum ? Et ce même lorsqu’on en est à son premier vol.

18. Comment savoir exactement où se trouve l’avion dans lequel tu es en train de voler ? Peut-il sortir de sa route ?

Avant chaque vol, la route de l’avion est ajustée en fonction des conditions météorologiques ou autres, ainsi qu’en fonction des recommandations des contrôleurs aériens.

Même les hôtesses de l’air, qui travaillent sur le même vol depuis longtemps, ne seront pas en mesure de répondre exactement à ces questions. Et bien sûr, tu n’auras pas le droit d’aller demander aux pilotes.

Il y a un moyen : utilise le localisateur GPS de ton téléphone sur des cartes intégrées ou dans une application spéciale. Il fonctionne sans Internet et peut déterminer ta position, ton altitude et même la vitesse de l’avion.

17. Que doit faire l’hôtesse de l’air et quelle est la responsabilité du passager ?

La tâche principale d’un agent de bord est de garantir la sécurité du vol. Le stage de formation des agents de bord peut durer six semaines, et 98 % de ce temps est consacré à la formation professionnelle comme la lutte contre l’incendie à bord, l’évacuation rapide, les soins médicaux, y compris la capacité d’assister un accouchement ou de pratiquer une trachéotomie.

Dans 99% des cas, le travail à bord est limité au service passager. Mais selon les règles, ce travail ne doit pas être potentiellement dangereuse pour l’agent de bord. Par exemple, une hôtesse de l’air ne devrait pas soulever une valise pour la placer dans le compartiment bagages, car elle pourrait se faire mal ou se blesser, ce qui serait critique en cas de situation d’urgence.

Bien sûr, l’équipage fera tout son possible pour que tu te sentes à l’aise, mais ce sont les passagers qui doivent obéir à ce que le pilote et l’équipage disent, et non l’inverse. D’ailleurs, les boutons pour appeler l’hôtesse de l’air ont également été créés pour les urgences, pas pour demander à l’hôtesse de l’air de vous apporter une couverture ou un verre de jus.

16. Pourquoi dois-tu garder ta ceinture de sécurité attachée lorsque l’avion est au sol ?

Jusqu’à ce que l’avion s’arrête complètement, tu es toujours en danger, et la ceinture de sécurité peut te sauver la vie. L’avion peut quitter la piste ou entrer en collision avec un autre véhicule. Tant que les pilotes n’ont pas démarré les moteurs ou que l’échelle est attachée à l’avion, il est possible de laisser la ceinture non bouclée. A tout autre moment, surtout si l’icône “Bouclez votre ceinture” s’allume sur le marqueur, il est préférable d’obéir aux instructions.

15. Si tu t’enregistres en ligne ou avant le vol, l’avion attendra-t-il ton arrivée ?

L’enregistrement, les bagages enregistrés et ta présence dans la zone de transit n’affectent pas l’heure de départ de l’avion. La plupart du temps, le vol est retardé de 20 à 30 minutes la nuit en raison d’embouteillages sur la piste ou de fortes chutes de neige. Parfois, le pilote et les services au sol profitent de ce retard pour attendre les passagers en retard.

D’ailleurs, l’heure de départ indiquée sur le billet d’avion est l’heure à laquelle les portes se ferment. Le décollage de l’avion prendra encore 10-20 minutes, et ce laps de temps est inclus dans la durée totale du vol.

En revanche, un avion standard sur les lignes européennes effectue entre six et huit vols par jour. Chaque retard affecte l’heure des autres départs de cet avion et l’horaire de plusieurs aéroports en même temps : les pilotes et les hôtesses de l’air n’ont pas le temps de se reposer entre les vols. Les passagers sont en retard pour leurs vols de correspondance. Les techniciens doivent vérifier et faire le plein à un rythme accéléré et les derniers vols peuvent même être annulés pour éviter de surcharger l’équipage en service. Par conséquent, il est préférable de ne pas créer de situations où tu deviendrais la cause principale du retard d’un vol.

14. Pourquoi les femmes enceintes ne peuvent-elles pas monter à bord si les médecins disent que le vol est sûr pour le bébé et la mère ?

L’observation sur plusieurs années des passagères enceintes et des hôtesses de l’air a montré que les principaux dangers en vol sont les chutes de pression, le stress nerveux et le manque de sommeil associé au changement de fuseau horaire.

Dans les premiers stades de la grossesse, le vol est inoffensif (si votre médecin n’a diagnostiqué aucune contre-indication). Mais les compagnies aériennes peuvent refuser de transporter des femmes enceintes si elles accouchent au cours du mois suivant, par crainte d’une naissance prématurée à bord de l’avion.

13. Pourquoi l’avion fait-il un deuxième tour quand il fait beau, s’agit-il d’une situation d’urgence ou est-ce normal ?

Il y a plusieurs raisons pour lesquelles un avion fait un second tour, et elles font toutes partie d’une situation régulière. Par exemple, un avion peut ouvrir la voie à un appareil qui a besoin d’un atterrissage d’urgence parce qu’il a un passager dans un état critique à bord.

La raison la plus fréquente d’un deuxième tour est la météo. Il arrive que deux avions identiques arrivent au même aéroport. L’un d’eux peut pas atterrir et vole vers une autre ville, pendant que l’autre descend et atterrit avec succès. C’est normal : les changements climatiques, les exigences de l’aéroport et les recommandations pour chaque avion spécifique sont pris en compte, ainsi que l’expérience personnelle du commandant de bord.

Important : l’avion dispose toujours d’une réserve de carburant suffisante, ce qui lui permet de faire quelques tours autour de l’aéroport de destination et si nécessaire, d’aller à un autre plus proche. D’ailleurs, lorsque des organes sont transportés dans un avion pour une transplantation, ils reçoivent un statut spécial (vol medivac). Cela signifie une priorité absolue sur tous les vols, à l’exception des avions en détresse.

12. Dois-tu t’inquiéter si un vol a d’abord été reporté en raison d’une panne technique, mais que l’avion a quand même décollé ?

Non. Si la défaillance technique a été résolue, il s’agissait d’un problème négligeable. Il existe des solutions temporaires qui " bloquent " le problème jusqu’à son retour à l’aéroport principal, où une maintenance plus complète est effectuée. Mais cela n’affecte pas la sécurité des vols.

Si quelque chose de grave se produit à bord, l’avion est remplacé et l’avion défectueux reste à l’aéroport en attendant les ordres de la direction de la compagnie.

11. Pourquoi certains pilotes atterrissent-ils doucement alors que d’autres atterrissent plus brusquement ?

Les deux méthodes sont normales. L’impact au sol est plus sûr et un toucher doux est plus confortable pour les passagers, mais exige plus d’efforts de la part des pilotes.

Certains pilotes font un atterrissage en douceur, appelé atterrissage baiser, puis plaque l’avion fermement contre le sol. D’autres préfèrent “laisser tomber” légèrement l’avion pour que le contact avec la surface soit plus sûr : la probabilité de glisser diminue, une partie de l’énergie de l’avion est dissipée et la longueur de piste nécessaire pour freiner est plus courte. Bien que cela ressemble à un coup contre le sol, ou comme si l’avion se jeter contre le sol (au sens figuré).

Soit dit en passant, on pense que ce sont les pilotes eux-mêmes qui ont appris aux passagers à applaudir après l’atterrissage. Quand il y avait deux équipages pendant les longs vols, les pilotes libres ont applaudi deux ou trois fois à l’atterrissage, imitant le son du simulateur d’entraînement, et les passagers ont pensé que c’était une expression de gratitude. Depuis, c’est devenu une tradition.

10. Pourquoi les vols européens sont-ils si bon marché ?

En général, le vol d’une compagnie aérienne à destination d’un pays donné est effectué à partir du pays où elle est enregistrée. Par exemple, une compagnie aérienne enregistrée en Serbie effectue des vols de pays A à pays B en passant par la Serbie.

Mais il existe un accord sur le territoire de l’Union européenne, selon lequel certaines compagnies aériennes peuvent voler librement entre les villes de l’UE, quel que soit le pays d’immatriculation. Les compagnies aériennes low cost en profitent énormément. Par exemple, une compagnie aérienne enregistrée en Irlande assure la liaison entre les villes A et B à travers un des pays de l’UE. Toutefois, cette règle et l’infrastructure de transport développée dans les villes de l’UE ne sont pas les seules raisons qui influent sur le prix d’un billet.

En survolant un pays donné, la compagnie aérienne paie pour l’utilisation de son espace aérien. Par exemple, être dans le ciel au-dessus du Canada ou du Mexique est plus cher que d’être au-dessus des pays de l’UE.

Les voyageurs expérimentés élaborent un itinéraire de voyage en gardant ces principes à l’esprit. Par exemple, si tu es en Serbie, tu peux te rendre par voie terrestre en Bulgarie, en Hongrie, en Croatie, en Grèce ou en Slovénie, pour prendre l’avion dans la direction nécessaire et économiser beaucoup d’argent.

9. Que se passe-t-il si l’avion atterrit d’urgence dans un pays où tu as besoin d’un visa pour y séjourner ?

Rien ne t’arrivera si tu suis les règles établies dans le pays : tu peux te déplacer librement dans la zone de transit, et si la durée de l’escale est longue, tu seras conduit sous surveillance à un hôtel ou accompagné au restaurant, mais tu ne pourras te déplacer dans la ville.

Récemment, un cas similaire s’est produit avec des Français dont l’avion en route pour Shanghai, a fait un atterrissage d’urgence à Irkoutsk, en Russie. Comme ils n’avaient pas de visa, ils ont dû passer quelques jours dans un hôtel sans le droit de se rendre en ville. Cependant, personne ne leur a interdit de communiquer et d’accepter des cadeaux des Russes, qui ont essayé de soutenir les voyageurs qui se trouvaient soudainement en Sibérie, où il faisait alors −18°C à ce moment-là.

8. Si tu oublies quelque chose dans un avion, peut-il être volé ?

Dans les avions, il y a des caméras de sécurité : dans le hall d’entrée et souvent aussi au plafond du couloir. Si tu prends une couverture ou un gilet de sauvetage comme “souvenir”, n’oublie pas que l’équipage sera au courant de ton petit délit.

Dès que les passagers quittent l’avion, l’équipage inspecte minutieusement la cabine et les objets trouvés sont remis aux représentants de la compagnie aérienne, qui recherchent ensuite les propriétaires par le biais du service Objets trouvés. Lorsque l’objet arrive au bureau, il est emballé, scellé et stocké pendant plusieurs mois.

7. Pourquoi a-t-on mal aux oreilles dans un avion quand on a un rhume et que font les hôtesses de l’air pour l’éviter ?

Pendant le vol, avec un rhume ou un écoulement nasal, nos oreilles nous font mal, et chez certaines personnes, cette sensation dure 24 heures après l’atterrissage. Les hôtesses de l’air sont sauvées grâce à une méthode simple : elles prennent plusieurs serviettes, les humidifient avec de l’eau chaude et les placent dans le fond d’un verre qui est ensuite appliqué sur l’oreille. La douleur s’arrête en une minute.

6. Pourquoi l’avion ne peut-il mettre de l’antigel liquide à l’avance pour décoller à temps ?

Parfois, il fait −35°C à l’extérieur et l’avion décolle immédiatement, et à l’aéroport suivant, où il fait plus chaud, les passagers attendent que l’avion soit traité avec un liquide antigel spécial.

Le fait est que la fonction de ce liquide est de débarrasser les ailes de l’avion des précipitations gelées qui affectent les propriétés aérodynamiques et peuvent causer un crash aérien. Les ailes doivent être traitées juste avant le décollage afin qu’une croûte ne se forme pas sur elles.

Comme protection supplémentaire, lors d’une chute de neige, l’avion est traité avec un produit de composition différente, qui empêche la neige d’adhérer aux ailes, mais qui la fait se retirer complètement au décollage. Mais si l’avion ne décolle pas dans les 20 minutes suivant le traitement, le liquide devra être renouvelé.

D’ailleurs, il arrive que ce liquide entre dans le système de ventilation et dans la cabine des nuages de vapeur se forment avec un arôme sucré. Tu dois savoir que ce n’est pas un incendie, mais tu devrais appeler une hôtesse de l’air.

5. Quels sont les facteurs qui empêchent un avion de voler ?

Le fait d’enlever certaines pièces de l’avion n’affectera pas la sécurité du vol. Le constructeur tient compte de ces cas, tu n’as donc pas à t’inquiéter si l’une des ailettes a été enlevée (dans la photo ci-dessus à droite), et que l’avion se prépare quand même au décollage.

Le commandant est toujours conscient de ce type de situation : s’il n’a pas remarqué quelque chose de semblable lors de l’inspection avant le vol de l’avion, il en sera informé en tout état de cause par les techniciens.

4. Est-ce qu’un avion a des pneus d’hiver et des pneus d’été ?

A priori non, les roues d’un avion ne ressemblent pas à celles d’une voiture. Les pneus du châssis sont conçus pour répondre à d’autres exigences en termes de charge, de vitesse et d’autres paramètres. A l’intérieur des pneus, il n’y a pas d’air comprimé, mais de l’azote gazeux. De ce fait, ils sont toujours secs, ont une forte adhérence sur l’asphalte et ne gèlent pas.

3. Pourquoi les pilotes ont-ils si peur de s’aventurer sur une piste spéciale ?

Une piste spéciale appelée EMAS (Engineered Materials Arresting System) est conçue pour un arrêt d’urgence en douceur de l’avion qui ne lui permet pas de quitter la piste. L’EMAS est situé en bout de piste et est constitué de grandes structures légères en béton, d’une grande fragilité. Les roues se coincent, l’avion s’arrête et le risque de blessure pour l’équipage et les passagers est réduit.

Malheureusement, ces types de voies sont encore rares dans les aéroports et les pilotes ont peur d’endommager l’avion, croyant qu’il vaut mieux prendre un risque et se tourner vers une pelouse d’où l’avion pourra ensuite être remorqué. Aujourd’hui, les EMAS ont déjà prouvé leur efficacité.

À l’avenir, ces pistes pourraient éviter des incidents comme celui du Boeing 737 à Chicago.

À l’atterrissage, l’avion a quitté la piste et s’est retrouvé sur une autoroute à grande vitesse. Sur les 103 personnes à bord, personne n’est mort, et l’avion a été restauré et a continué à voler. Cependant, la victime fut un garçon de 6 ans dans la voiture sur laquelle l’avion s’est écrasé. Pour Southwest Airlines, il s’agissait du premier cas de pertes humaines en 30 ans d’existence. Un EMAS aurait pu arrêter l’avion et sauver la vie de l’enfant.

2. Est-il vrai qu’il est dangereux de voler à la fois dans des avions très anciens et très récents ?

Oui et non. L’âge et l’année de création du modèle sont tous deux importants. La meilleure option est un avion qui a été développé il y a 8 à 10 ans avec de l’expérience de l’utilisation. Grâce à un entretien adéquat, les avions assemblés il y a 10 à 15 ans sont presque aussi sûrs que ceux qui volent depuis seulement quelques années. Mais il est plus rentable de s’en débarrasser après 15 à 20 ans de service, car les avions plus récents sont moins chers à utiliser.

Important : si tu as le choix, évite de prendre un vol sur des modèles qui ont plus de 25 ou 30 ans, surtout si le propriétaire de la compagnie aérienne arrive à peine à joindre les deux bouts.

1. Où puis-je voir le menu de la compagnie aérienne avant le vol ? Comment puis-je commander des plats spéciaux ? existent-ils dans les avions ?

Chaque compagnie aérienne publie sur son site le menu qu’elle proposera à bord. Par exemple, Aeromexico dispose d’un menu standard, dont les plats diffèrent selon les vols, et d’un menu spécial qui comprend des aliments pour bébés, des plats de résistance et des desserts nationaux, végétariens et élaborés dans le respect de convictions religieuses.

Pour commander de la nourriture à partir d’un menu spécial, il faut contacter la compagnie aérienne quelques jours avant le vol. Ainsi, ta commande spéciale sera livrée à bord : il y a en général exactement autant de portions de nourriture à bord qu’il y a de passagers. Bien que parfois, sur les vols courts, si l’avion va dans une direction et revient immédiatement, deux ensembles de portions sont chargés en même temps. Si une personne achète un billet à la dernière minute, l’avion peut rester sur le parking jusqu’à ce que le colis alimentaire supplémentaire soit chargé.

Voilà à quoi ressemble la cuisine d’un avion moderne.

Au fond se trouvent des chariots dans lesquels les aliments et les boissons sont transportés dans les allées. Dans la rangée du haut, il y a des bacs vides avec des verres et d’autres choses. Dans la rangée du milieu se trouvent les réchauds dans lesquels les aliments sont chauffés à l’air chaud. L’intérieur d’un réchaud vide ressemble à ceci.

Il se réchauffe et le ventilateur fait circuler l’air. Il existe des modèles où les aliments sont chauffés à la vapeur. C’est une façon plus délicate, qui convient aux repas en classe affaires.

Certaines compagnies aériennes utilisent les services de cuisiniers à bord, mais leurs cuisines se ressemblent. Les cuisiniers préparent et stockent la nourriture dans les espaces de restauration des aéroports, et à bord de l’avion ils ne font que la chauffer, assembler les plats et servir la nourriture.

Bonus : Si c’est mauvais de boire du café dans un avion, pourquoi les pilotes en boivent-ils ?

À bord de certains avions, l’eau est chauffée dans des récipients spéciaux, tandis qu’à bord d’autres, il y a de vraies machines à café qui peuvent préparer un cappuccino ou un latte. Dans les deux cas, on suppose que l’eau chauffe jusqu’au point d’ébullition, tuant la plupart des bactéries qui pourraient s’y trouver.

  • En même temps, si la qualité de l’eau est mauvaise, il faut la faire bouillir plus longtemps. Donc, la meilleure chose à faire est probablement la suivante :
  • Tu peux boire de l’eau ou du jus en bouteille sans te soucier de rien, surtout s’il s’agit d’une portion individuelle.
  • Il est préférable de ne pas commander de thé ou de café si on vient d’un pays où il y a des problèmes d’accès à l’eau potable propre.
  • Ne demande pas plus d’une dose d’alcool pour pouvoir réagir rapidement en cas d’urgence.

Et toi ? Quelles sont les questions qui te viennent à l’esprit avant ou pendant un vol ? Fais-nous part de tes observations dans la section des commentaires.

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