Des personnes qui ont perdu leur famille à cause d’un héritage

C’est curieux
Il y a 2 heures
Des personnes qui ont perdu leur famille à cause d’un héritage

L’héritage était censé apporter la sécurité, mais pour ces familles, il a provoqué des disputes, des ruptures et des liens brisés. Voici des histoires de personnes qui ont perdu bien plus que de l’argent lorsque les testaments ont été lus.

  • Mes parents n’ont jamais divorcé. Mon frère et moi, leurs seuls enfants, avons pris soin d’eux. Ils disaient toujours : “On est fiers de vous. Vous hériterez de tout.” Mais après leur mort, en ouvrant le testament, nous avons découvert qu’aucun de nous n’y figurait. Mon frère m’a appelé en larmes : “Tu savais qu’ils avaient tout signé pour régler un vieil accident de voiture ?”

    Des années plus tôt, quand nous étions enfants, notre père avait renversé un homme avec sa voiture. La famille de la victime avait menacé de porter plainte à moins d’être indemnisée d’une grosse somme. Notre père et notre mère avaient pensé pouvoir payer petit à petit, mais un jour, la famille a exigé le montant total. Pour nous protéger, ils ont sacrifié notre héritage afin de solder la dette. Ils ne nous ont jamais rien dit, et mon frère n’a découvert l’accord qu’en le trouvant caché dans le testament.
    © Harvey / Sympa
  • Quand ma mère est décédée, pour éviter les conflits, elle a laissé ses économies à mon nom, à condition que je les utilise pour “l’avenir des enfants”. J’ai cru qu’elle parlait de tous les cousins. J’ai proposé de créer un fonds commun pour les deux familles, mais ma sœur est entrée dans une colère noire, disant que l’argent devait revenir uniquement à ses enfants, puisque j’avais choisi de ne pas en avoir.

    J’étais sur le point d’accepter, jusqu’à ce que je l’entende au téléphone se vanter auprès d’une amie qu’elle allait utiliser l’argent pour une opération esthétique. Quand je l’ai confrontée, elle m’a rétorqué que je ne pouvais pas aller contre la volonté de maman et qu’une fois l’argent entre ses mains, ce n’était plus mes affaires. Ce jour-là, on s’est parlé pour la dernière fois.
    © Juana / Sympa

Nina, 70 ans, a adressé une lettre bouleversante à notre rédaction, dans laquelle elle raconte une histoire qui n’a laissé personne indifférent par sa sincérité brute.

Je refuse de léguer mon héritage à une famille qui me voit comme un portefeuille

Photo de couverture Harvey / Bright Side

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