17 Dialogues de films cultes qui te donneront envie de les revoir

Un bon dialogue est le point culminant de tout film. Oui, les retournements de situation surprennent, la musique dirige les émotions, les actions des personnages révèlent l’intrigue, mais ce sont les dialogues qui resteront dans nos mémoires.

Sympa te rappellera des conversations remarquables de films cultes de genres complètement différents. Tu voudras les revoir dès que possible.

Matrix

— Tu crois au destin, Neo ?

— Non.

— Pourquoi pas ?

— Je n’aime pas l’idée de ne pas contrôler ma vie.

Perdue

— Oui je t’ai aimé. Et ensuite nous nous sommes gardés rancune et nous avons essayé de nous manipuler l’un l’autre et de nous faire du mal.

— C’est ça le mariage.

Les évadés

— Ellis Boyd Redding, votre dossier dit que vous avez purgé 40 ans de votre peine à perpétuité. Vous sentez-vous réhabilité ?

— Réintégré ? Eh bien, voyons voir. Je n’ai aucune idée de ce que ça veut dire.

— Cela signifie être capable de se réinsérer....

— Je sais ce que ça représente pour toi, fiston. Pour moi, ce n’est qu’une phrase creuse, inventée par des politiciens... Pour des jeunes comme toi, de porter un costume et une cravate et d’avoir un travail. Que veux-tu savoir ? Si j’ai des remords ?

— Et donc, en avez-vous ?

— Il n’y a pas un jour où je ne le regrette pas. Pas parce que je suis là, ou parce que tu penses que je devrais. Je pense à comment c’était avant. Un garçon stupide qui a commis ce crime terrible. Je veux lui parler. Je veux le raisonner. Lui expliquer les choses. Mais je ne peux pas. Ce garçon n’existe plus, et ce vieil homme est tout ce qu’il en reste. Je dois vivre avec ça. Réhabilité ? Des conneries tout ça.

Pulp fiction

— Tu ne détestes pas ça ?

— Je ne déteste pas quoi ?

— Des silences gênants. Pourquoi faut-il dire n’importe quoi pour se sentir à l’aise ?

— Je n’en sais rien. C’est une bonne question.

— C’est comme ça que tu sais que tu as trouvé quelqu’un de spécial. Quand tu peux te taire une minute et être à l’aise en silence.

Retour vers le futur

— Et qu’est-il arrivé à tout ce discours sur la modification des événements futurs ? Le continuum espace-temps ?

— Qu’est-ce que ça peut faire ?

Whiplash: Musique et obsession

— La vérité, c’est que je ne pense pas que les gens aient compris ce que je faisais à Shaffer. Je n’étais pas là pour diriger. N’importe quel imbécile peut bouger les bras et garder un tempo. J’étais là pour pousser les gens plus loin que ce qu’on attendait d’eux. Je pense que c’est une nécessité absolue. Sinon, nous priverions le monde du prochain Louis Armstrong, du prochain Charlie Parker. Je vous ai dit comment Charlie Parker est devenu Charlie Parker, non ?

— Jo Jones lui a jeté une sous-tasse.

— Exactement. Exactement. Parker est jeune, bon au saxophone. Il se réveille pour jouer lors d’une séance d’enregistrement et se plante. Et Jones l’a presque décapité pour ça. Ils se moquent de lui. Il s’endort en pleurant cette nuit-là. Mais le lendemain, que fait-il ? Répéter, répéter et répéter avec un seul but en tête : Qu’on ne se moque plus jamais de lui. Un an plus tard, il retourne à Reno et monte sur scène pour jouer le meilleur solo que le monde ait jamais entendu. Imaginez si Jones avait dit : “C’était bien, Charlie. C’était bien. Bon travail.” Puis Charlie se serait dit : “J’ai fait du bon boulot.” Et ça aurait été la fin de l’histoire. Il n’y aura pas eu Bird. Pour moi, c’est une tragédie absolue. Mais c’est ce que le monde veut maintenant. Et ils se demandent pourquoi le jazz est en train de mourir. Je vous le dis et chaque album “Jazz” de Starbucks le prouve : il n’y a pas deux mots plus nuisibles dans la vie que “bon travail”.

— Mais y a-t-il une limite ? Peut-être qu’un jour votre main deviendra incontrôlable et que vous découragerez le prochain Charlie Parker et que celui-ci ne se révélera pas ?

— Non, mec, non, non. Parce qu’un Charlie Parker ne se découragerait jamais.

Forrest Gump

— As tu déjà rêvé de ce que tu seras dans la vie ?

— Qu’est-ce que je serai ? Je ne serai plus moi ?

Trainspotting

— Tu ne rajeunis pas. Le monde change. La musique change. Même les drogues changent. On ne peut pas rêver toute la journée avec de l’héroïne et du “Ziggy Pop”.

— C’est Iggy Pop.

— Peu importe. Il est mort.

— Non. Il a fait une tournée l’an dernier. Tommy l’a vu.

— Tu dois trouver quelque chose de nouveau.

Léon

— Elle est toujours aussi dure la vie ou c’est juste quand on est petit ?
— C’est toujours comme ça.

Un Homme d’exception

— Bon, quelle est la taille de l’univers ?

— il est infini.

— Comment le sais-tu ?

— C’est l’information qu’on a.

— Mais cela n’a pas été prouvé. Tu ne l’as pas vu. Comment peux-tu en être sûr ?

— Je ne le suis pas. Je le crois, c’est tout.

— C’est la même chose avec l’amour, je suppose.

Intouchables

— Tu aimes la peinture ?

— Oui. J’aime beaucoup Goya.

— Ouais, pas mal. Par contre, depuis “Pandi panda” elle n’a pas fait grand chose.

The social network

— Je pense qu’on devrait juste être amis.

— Je ne veux pas qu’on soit amis.

— Je voulais être polie. Je n’ai pas l’intention d’avoir une amitié avec toi.... Ecoute, tu vas probablement être quelqu’un de très brillant. Tu vas passer ta vie à penser que les filles ne t’aiment pas parce que tu es un nerd... Je veux que tu saches, du fond du cœur, que ce n’est pas vrai. Elles ne t’aiment pas parce que tu es un idiot.

Birdman

— J’ai la possibilité de faire quelque chose de bien. Je dois en profiter. Je dois le faire.

— C’est marrant. J’étais là, en train de t’attendre. Soudain, je ne me souvenais plus pourquoi on avait divorcé.

— La dernière fois que je suis venu de Los Angeles, George Clooney était assis deux places devant moi. Avec ces boutons de manchette, et ce.... menton ridicule. On a fini par traverser cette tempête. L’avion s’est mis à vibrer et à trembler, et tout le monde à bord pleurait et priait. Et je suis restée assise là, pensant qu’au moment où Sam ouvrirait ce journal, ce serait le visage de Clooney à la une. Pas le mien.

Les infiltrés

— On peut y aller maintenant ?

— Ok.... Je suis policier. Je te retrouverai. C’était une blague. J’ai besoin de la carte. La carte m’aidera.

Interstelar

— Alors écoute-moi quand je te dis que l’amour n’est pas quelque chose qu’on a inventé. Il est visible, puissant. Ça doit vouloir dire quelque chose.

— L’amour a un sens. Une utilité, une fonction sociale....

— Nous aimons les gens qui sont morts. À quoi cela sert-il socialement ?

— A rien.

— Peut-être que ça veut dire autre chose. Quelque chose qu’on ne comprend toujours pas. C’est peut-être un test, un artifice d’une dimension supérieure que nous ne percevons pas consciemment. Je traverse l’Univers pour quelqu’un que je n’ai pas vu depuis dix ans et qui est probablement mort. L’amour est la seule chose que nous sommes capables de percevoir qui transcende les dimensions du temps et de l’espace. On devrait peut-être y croire, même si on ne le comprend toujours pas.

The Truman Show: l’histoire d’un vie

— Je veux être explorateur, comme le grand Magellan

— Tu arrives trop tard, il n’y a plus rien à explorer.

Fight Club

Si tu lis ceci, alors cet avertissement est pour toi. N’as-tu rien d’autre à faire ? Ta vie est-elle si vide que tu ne peux honnêtement pas penser à une meilleure façon de t’occuper ? ou es-tu si facilement impressionné par l’autorité que tu accordes du crédit et du respect à tout ce qu’elle exige ? lis-tu tout ce que tu es censé lire ? penses-tu à tout ce que tu es censé penser ? achètes-tu tout ce qu’on te dit que tu devrais aimer ? Sors de chez toi. Rencontre quelqu’un du sexe opposé. Arrête d’acheter des choses et de te masturber à l’excès. Quitte ton travail. Commence à lutter. Prouve que tu es vivant. Si tu ne revendiques pas ton humanité, tu deviendras une statistique. Tu auras été prévenu... Tyler.

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