Si tu réponds oui à ces 10 questions, c’est que tu es alcoolique
Frank Sinatra disait "L'alcool peut être le pire ennemi de l'être humain", mais la Bible dit aussi : "aime tes ennemis." Donc si tu es d'accord avec le chanteur, alors tu risques d'avoir de sérieux problèmes avec l'alcool. Tu es peut-être même déjà dépendant sans le savoir, qui sait ? Alors, connais-tu vraiment la limite entre le plaisir et l'alcoolisme ?
Sympa a décidé d'étudier cette question et, sur la base des recherches de l'Independent, nous avons recueilli 10 signes évidents de l'alcoolisme. Si tu réponds à ces questions avec un oui retentissant, alors le moment est peut-être venu de réfléchir à ta santé et à ton avenir.
1. Est-ce que tu t'ennuies s'il n'y a pas d'alcool lors d'une fête ?
Si tu penses qu'il n'y a pas de soirée aussi ennuyeuse qu'une soirée passée avec des gens qui ne boivent pas, que tu ne peux pas danser ou philosopher sans avoir bu un minimum, et que quand tu es invité à un événement, tu laisses systématiquement la voiture à la maison, alors tu n'es pas juste une personne fêtarde, mais tu présentes bien les caractéristiques d'une sérieuse dépendance à l'alcool.
2. As-tu bu ton premier verre d'alcool avant l'âge de 15 ans ?
Si à 13 ans, tu disais déjà des phrases du genre : "l'alcool est l'anesthésie qui te permet de survivre à l'opération qu'on appelle la vie", ce n'est pas bon signe. Selon les résultats de certaines études, en commençant à consommer de l'alcool précisément à cet âge, il y a une forte probabilité d'éveiller des gènes latents prédisposant à l'alcoolisme, si tu en as en toi bien entendu.
3. As-tu tendance à boire plus que ce que tu avais prévu ?
Si à chaque fois que tu te prépares à sortir en soirée, tu jures de ne pas boire plus de deux verres, mais que tu ne tiens jamais ta promesse, alors il est temps de réfléchir.
Juste au cas où, nous préférons te préciser quelle quantité d'alcool est sûre : pas plus de 14 unités par semaine, soit environ 1,5 verre de vin ou cinq bières. Bien sûr, ce n'est qu'une moyenne. Une bonne façon de suivre ta consommation est de télécharger l'application iDrinkSmarter, qui t'aidera à gérer la dose d'alcool consommée pour éviter la gueule de bois et d'autres conséquences tout aussi désagréables.
"10h du matin : Aujourd'hui, c'est clair, on ne picole pas !
2h du matin : wouahouuu..."
4. L'alcool fait-il partie de ta philosophie de vie ?
Si tu penses que toutes les personnes importantes de ton entourage, toutes celles dont tu as besoin, et qui ont besoin de toi, boivent toutes comme des trous, et que toute cette foule grise et désemparée qui ne picole pas n'est pas intéressante, alors avec une telle philosophie, tu risques fortement de te réveiller un jour seul à une station de métro avec une solide gueule de bois.
5. Est-ce que ça t'arrive fréquemment d'oublier certains moments des soirées ?
Se réveiller dans un lieu inconnu, avec des inconnus, et ne pas se souvenir de ce qui s'est passé la veille, il n'y a pas que dans les films que ça arrive. Mais chez les gens normaux, c'est un signe d'alcoolisme. Sheldon Cooper, docteur en sciences à l'Institut de technologie de Californie, a déclaré: "La perte de mémoire est la récompense gratuite que l'on trouve au fond de chaque bouteille de vodka."
"IL EST À PEINE MIDI, REPRENDS-TOI !
LAISSEZ-MOI MOURIR EN PAIX !"
6. Est-ce que les personnes qui te font des remarques parce que tu bois trop te dérangent ?
Par exemple, quand tu fêtes un événement en trinquant, et que d'un coup, un ami apparaît et te dit : "Max, la quantité d'alcool que tu bois est impressionnante, et pourrait bien aggraver ta santé." Comment réagis-tu ?
7. As-tu des traditions alcooliques ?
Une coupette de champagne pour mieux dormir, un verre de whisky pour se donner de l'énergie pour la journée, une petite bière pour fêter le début du week-end : sache que tous ces rituels augmentent énormément la quantité annuelle que tu consommes, et en plus, ce ne sont que des excuses pour justifier un vice. Avant même que tu ne t'en rendes compte, tu boiras pour chaque petit effort réalisé dans ta vie.
8. Est-ce que certaines personnes t'ont déjà surnommé "alcoolo" pour plaisanter ?
Ce moment où tu considères que tu t'éclates, le paroxysme de la joie et de la désinhibition. Pour toi, c'est de l'amusement, pour ton entourage, c'est juste de l'ébriété.
9. As-tu des cachettes secrètes ?
Si tu as ton propre mini-bar caché, que tu considères comme "la caverne d'Ali Baba", et qu'occasionnellement, quand ça ne va pas fort, tu lui rends une petite visite, alors ce n'est pas bon non plus. La consommation d'alcool en cachette par rapport à la famille et aux amis est un symptôme fréquent des premières phases de dépendance.
10. T'es-tu déjà senti embarrassé par des actions réalisées sous l'effet de l'alcool ?
Tu n'es pas amnésique, tu te souviens très bien ce qui s'est passé lors de cette soirée arrosée, mais tu n'arrives pas à croire les choses horribles que tu as faites. Non seulement ton humeur change verre après verre, mais aussi ta personnalité... C'est un exemple illustrant très bien l'alcoolisme, et c'est aussi le point final de notre liste.
À tout ceci, nous pouvons ajouter cette réflexion de ce bon vieil Hemingway : "Étant sobre, mettez en pratique toutes les promesses que vous avez faites en étant ivre, cela vous aidera au moins à garder la bouche fermée."
Si tu as lu cet article nerveusement sans savoir quel serait ton résultat, c'est aussi un signe potentiel d'alcoolisme. Il est donc peut-être temps de te modérer.
Et les autres peuvent vivre en paix sachant qu'ils ne sont pas alcooliques ! Et pour fêter ça, rien de mieux que de trinquer... avec un bon jus de fruits frais !
Photo de couverture memesmix