8 Mannequins dont la popularité va bientôt éclipser celle de Claudia Schiffer et Cindy Crawford

Filles
Il y a 2 ans

Un mannequin, ce n’est pas seulement un visage séduisant et une silhouette longiligne, c’est aussi du charisme, du talent et tout un tas d’autres caractéristiques. Depuis longtemps, les stars des défilés n’ont plus besoin d’être des beautés classiques ; elles surprennent par d’autres moyens. Certaines ont fait un stage à la NASA, d’autres protègent la nature du Grand Nord, et d’autres encore prouvent par leur propre expérience que le diabète n’est pas une fatalité.

Chez Sympa, nous avons aujourd’hui examiné pour toi la nouvelle génération de mannequins, et l’on peut dire sans se tromper que les noms de ces filles résonneront bientôt dans le monde entier.

Quannah Chasinghorse

Quanna, 19 ans, a littéralement fait exploser le bal du Met Gala en 2021. Le thème de l’événement était la mode américaine et la jeune fille a souhaité représenter la culture indienne Navajo. Son look est devenu très populaire sur les réseaux sociaux. Elle s’intéresse à la mode depuis son enfance et elle a signé un contrat avec Calvin Klein en 2020. Depuis, sa carrière n’a cessé de croître.

Le détail le plus reconnaissable de l’apparence de Quanna est le tatouage sur son visage. Elle l’a fait à l’âge de 14 ans et, ce faisant, elle a restauré une ancienne tradition de son peuple. La raison en est que le tatouage du menton fait partie d’un rite d’initiation pour les filles. Il était pratiqué à l’âge de 12-14 ans, et Quanna a été la première des filles des tribus modernes à la subir à un si jeune âge. Le tatouage a été fait par sa mère, comme le voulait la coutume de leurs ancêtres lointains.

Le jeune mannequin vit en Alaska et défend la nature arctique. Et Quanna s’oppose en particulier à ce que les terres de l’État soient louées pour l’extraction du pétrole.

Lila Grace Moss-Hack

Lila Grace est la fille du célèbre mannequin Kate Moss. Elle a 19 ans aujourd’hui, mais elle a fait ses premiers pas dans le monde de la mode à 14 ans. À 16 ans, elle est devenue l’égérie de Marc Jacobs Beauty et a fait la couverture du magazine Dazed à la même époque.

Lila est diabétique de type 1 et lors d’un défilé de mode à Milan, elle s’est présentée avec une pompe à insuline. Comme elle portait un justaucorps et une veste, l’appareil était visible. Sur les réseaux sociaux, les fans de la jeune fille ont exprimé leur admiration pour son courage.

Sara Grace Wallerstedt

La beauté de ce mannequin américain a été décrite comme étant éthérée. À l’école, Sara n’a jamais pensé aux podiums et était plutôt une intello, mais une fois partie de la ville dans laquelle elle a grandi, elle a immédiatement commencé à conquérir le monde de la haute couture. Vogue Italia est le premier magazine pour lequel Sara a été photographiée. La première marque qu’elle a représentée dans une campagne publicitaire était Prada, ce qui est considéré comme l’une des plus grandes réussites dans le domaine du mannequinat.

Mona Tougaard

Mona est née au Danemark, mais en plus de ses racines scandinaves, elle a des racines somaliennes, éthiopiennes et turques. Elle n’avait que 12 ans lorsque son physique superbe et inhabituel a été découvert par des “scouts”, des spécialistes qui recherchent de nouveaux visages pour l’industrie de la mode. À 15 ans, elle a remporté le concours Elite Model Look au Danemark. Elle est ensuite apparue dans des publicités pour Prada, Louis Vuitton, Loewe, Chanel, Max Mara et Chloé et, en 2021, en couverture du numéro d’avril du Vogue britannique.

Kristina Grikaite

La jeune fille, née en Russie, s’est lancée dans le mannequinat par accident : un de ses amis photographes l’a emmenée avec lui en compagnie du comité de rédaction du Vogue russe. Kris a fini par se faire remarquer. Depuis 2017, Grikaite est un modèle exclusif pour Prada, ouvrant et fermant les défilés de cette maison de couture.

Sofia Steinberg

Sofia Steinberg a figuré sur la liste de Forbes en 2021 comme l’une des Russes les plus prometteuses dans la catégorie mode et design. Elle se considérait comme peu séduisante et n’aspirait pas à une carrière de mannequin, mais à l’âge de 12 ans, elle a été repérée par des “scouts”. Sofia a d’abord travaillé en Asie, puis a fait ses premiers pas sur les podiums européens. En 2019, elle a fait une véritable percée dans sa carrière en ouvrant le défilé Givenchy.

Le physique androgyne de la jeune fille est très demandé. En 2021, Sofia est apparue à presque tous les défilés de Paris et Milan, y compris lors des événements de lancement de Fendace, Saint Laurent et Dior.

Paloma Elsesser

Paloma n’était pas vraiment intéressée par le monde de la haute couture. Elle a suivi une formation de psychologue. Elle a été découverte sur Instagram par la maquilleuse Pat McGrath, qui a fait connaître au monde entier le nouveau mannequin grande taille. Paloma a par la suite travaillé avec Nike, Fenty Beauty, Proenza Schouler et Mercedes-Benz. Et en 2021, elle a fait la couverture du numéro de janvier de Vogue.

Adesuwa Aighewi

Ce mannequin à la beauté inhabituelle a des racines chinoises, thaïlandaises et nigérianes. Les parents d’Adesuwa sont de fervents écologistes. Bien que la jeune fille soit née aux États-Unis, elle a passé la moitié de son enfance au Nigeria. Adesuwa a étudié la chimie et a même fait un stage à la NASA, mais elle a finalement opté pour le monde de la haute couture. Elle a déjà défilé pour Dior, Louis Vuitton et Chanel.

Et toi, préfères-tu les mannequins des années 90 ou d’aujourd’hui ? N’hésite pas à nous donner ton avis dans les commentaires !

Commentaires

Notifications
Petit chanceux ! Ce sujet ne comporte aucun commentaire,
ça veut dire que tu seras le premier.
Profites-en !

Lectures connexes