15+ Internautes ont raconté des histoires sur l’insolence des autres qui choque les gens décents

Gens
Il y a 1 an

Pour certaines personnes, être insolent est un véritable credo. Beaucoup d’entre nous ont déjà rencontré de tels personnages plus d’une fois : dans les transports, dans les magasins et même dans nos propres foyers. Certaines personnes agissent délibérément de façon malhonnête, tandis que d’autres ne s’en rendent même pas compte.

Chez Sympa, nous avons aujourd’hui composé cette sélection avec compassion pour les personnes concernées et nous espérons que tu rencontreras le moins possible de gens impolis sur ton chemin.

  • Un jour, dans le bus, une fille m’a demandé d’échanger ma place avec la sienne parce qu’elle était censée descendre bientôt et que ma place était plus proche de la porte. J’ai dit oui, et elle s’est immédiatement installée sur mon siège avec un air seigneurial. J’ai tout de suite compris la raison : son siège était cassé et inconfortable, et en plus, il y avait un courant d’air provenant de la fenêtre. Elle n’est sortie qu’une heure et demie plus tard, et je me suis sentie comme une idiote pendant tout ce temps.
  • Nous avons retrouvé notre barbecue volé grâce à une photo sur les réseaux sociaux. Voilà ce qu’on a répondu à nos plaintes : “Pourquoi en avez-vous besoin ? Vous avez déjà acheté un nouveau”.
  • Une amie m’a demandé de faire un gâteau pour qu’elle puisse l’apporter au travail. Je l’ai fait. Après quelques temps, elle m’a appelée pour me dire : “Tu peux venir récupérer ton assiette”. J’ai pensé qu’une personne normale devait la rendre elle-même, d’autant plus qu’il s’agissait d’un plat en porcelaine. J’y suis allée et mon plat était posé sur le paillasson.
  • J’ai préparé un magnifique bouquet de roses pour mon directeur de thèse et je l’ai laissé derrière un rideau sur le rebord de la fenêtre pour le lui donner à la fin de l’examen. J’ai défendu ma thèse de Master, je suis revenue, et le bouquet avait disparu. Il s’est avéré qu’une certaine Pauline l’avait donné à son directeur de thèse. Je me suis approchée de cette Pauline, et elle a commencé à m’humilier parce que, radine comme je suis, je n’avais rien offert à mon directeur de thèse. Mais je l’ai quand même forcée à rendre mon bouquet.
  • J’ai vu un siège vide dans le tram à côté d’une femme portant un beau manteau blanc tout neuf et je lui ai demandé de se décaler. Mais elle m’a juste ignoré. Quelques arrêts plus tard, un homme corpulent est entré, une friandise dans une main et une boisson dans l’autre. L’homme, sans rien demander, s’est assis sur le manteau de la dame, la poussant vers la fenêtre. Il était donc assis là, mâchant goulument et saupoudrant le manteau de miettes. Et à l’arrière, j’ai entendu des commentaires à propos du fait que cette femme aurait mieux fait de me céder sa place à moi.
  • Une de mes amies a pris mes bottes pour les porter pendant quelques mois. En mai, elle est revenue et a dit : “Les bottes sont abîmées, je n’ai pas d’argent, et je vis seule, alors que toi tu as un mari et un fils”.
  • Mon petit ami, avec qui j’étais depuis moins d’un mois, a décidé d’emprunter de l’argent à mes parents pour acheter une nouvelle voiture, alors qu’ils ne sont pas riches. Et quand je l’ai mis à la porte de mon appartement un an plus tard, il m’a demandé de l’argent pour acheter de l’essence pour partir.
  • Mon fils a amené sa copine à la maison pour nous la présenter. Le matin, je n’ai vu que du désordre, une montagne de vaisselle sale, et elle en pyjama sur le canapé en train de prendre un café. Alors je leur ai dit à tous les deux : “Sortez immédiatement !”. Deux jours plus tard, elle m’a appelée, m’a dit de vendre l’appartement et de leur donner leur part. Et mon fils, au lieu de la remettre à sa place, a dit qu’il était d’accord avec elle.
  • J’ai obtenu mon diplôme de l’école technique avec mention. Quelque temps après, une connaissance qui y faisait également ses études est venue me voir et m’a dit : “Tu sais résoudre des problèmes en technologie ? Aide-moi”. Je lui ai fait passer un test. En remerciement, elle m’a apporté une portion de kebab. Mais quelques jours plus tard, elle m’a dit : “Tu as mangé le kebab ? Rembourse-moi, j’ai un audit et des problèmes financiers au travail”. J’ai payé.
  • Le mari de mon amie l’a trompée et l’a laissée avec deux enfants. Elle a emménagé chez sa mère et a trouvé un bon travail. Six mois plus tard, son mari a intenté un procès contre elle : il lui réclamait une pension alimentaire parce qu’il avait perdu son emploi et que sa maîtresse l’avait quitté. En fait, comme ils ont vécu ensemble pendant 10 ans et qu’il a pris soin de sa femme pendant sa grossesse, il a décidé qu’elle lui était désormais redevable.
  • Une fois, j’ai oublié mes chaussures chez le frère de mon mari. Un mois plus tard, il m’a rendu mes chaussures et m’a tendu un sac avec des sous-vêtements rouges. Je les ai regardés mais ce n’était pas les miens donc je les ai jetés. Deux ans plus tard, à la fête d’anniversaire de mon beau-père, ma belle-sœur m’a dit devant tout le monde : “Je t’ai donné une culotte, mais tu dois me la rendre, parce que j’ai retrouvé un soutien-gorge qui va avec”.
  • Un jour, mon amie, à qui je demandais quoi offrir à sa fille pour son anniversaire, a demandé un gâteau. Je ne suis pas un chef pâtissier, mais j’ai fait de mon mieux. J’ai dit à mes enfants que nous irions à la fête. Et le jour de l’anniversaire, mon amie m’a appelé et m’a demandé : “Je peux récupérer le gâteau ?”. Elle a pris le gâteau, a dit merci, et elle est partie. Je n’ai jamais reçu d’invitation pour aller à la fête.
  • Un de mes amis, Lucas, a longtemps supplié mon ami Michel de lui prêter une batterie coûteuse. Après une saison, Lucas a ramené la batterie avec des disques perforés, une pédale de grosse caisse cassée et une cymbale fêlée. À la plainte justifiée de Michel à qui il avait promis de tout rendre dans son état d’origine, Lucas a répondu : “Eh bien, tu n’aurais pas dû la prêter”.
  • Autrefois, j’ai travaillé comme rédacteur en chef d’une maison d’édition, et une de mes collègues m’a demandé de faire un travail urgent à sa place. Il s’agissait de rédiger un journal. J’ai accepté volontiers le travail d’édition et, le lendemain, lorsque le journal est sorti, j’ai été surprise de constater que le nom de l’éditeur n’était pas le mien, mais celui de ma collègue. Quand je lui ai demandé la raison, elle a répondu sans remords : “Eh bien, c’était ma commande après tout”.
  • Ma copine de fac ne se préparait jamais pour ses examens, elle s’en sortait avec les antisèches des autres. Lors des épreuves, lorsque le professeur lui mettait 15, elle lui disait : “Posez-moi d’autres questions”, dans l’espoir d’obtenir 20 !
  • Quand j’étais enceinte, l’amie de ma mère ne cessait d’essayer de nous convaincre de ne pas acheter une poussette en disant qu’elle en avait une en bon état et qu’elle nous la donnerait volontiers. Mon fils est né, et ma mère est allée chercher la poussette. Elle est revenue confuse et a dit que son amie lui avait demandé une somme suffisante pour acheter deux poussettes neuves.
  • Nous avons loué un appartement. On a balayé le couloir, fixé les ampoules dans la cage d’escalier. Un mois plus tard, quelqu’un a frappé à la porte avec frénésie. Lorsque nous avons ouvert, on a vu la propriétaire qui nous a dit : “Vous avez changé les ampoules dans la cage d’escalier de votre étage ? Pourquoi n’avez-vous pas changé les autres ?”. “Pourquoi le ferions-nous ?”, avons-nous demandé. Et elle nous a répondu : “Personne ne veut le faire, vous êtes les seuls”. Nous ne lui avons plus jamais ouvert la porte.
  • Mon premier mari vivait dans mon appartement, ne travaillait pas et n’aidait pas à la maison. Nous nous sommes séparés. Après un certain temps, il est venu me voir avec une liste écrite par sa mère et a exigé la remise des cadeaux de mariage. Je lui ai dit : “Prends tout ce que tu veux, mais je ne veux plus jamais te revoir”. Pas une seule fois je n’ai regretté d’avoir divorcé.
  • Une femme m’a demandé de lui tricoter un châle et m’a demandé combien cela coûterait. Je lui ai indiqué le prix de la laine et elle m’a répondu avec joie que cela lui convenait. Mais quand je lui ai annoncé le prix de mon travail, elle a dit avec indignation : “De quel travail parlez-vous ?”. Elle a décidé que je tricoterais le châle, que je le lui enverrais à mes frais et qu’elle ne paierait que la matière première.

Parfois, les gens ne se rendent même pas compte qu’ils sont insolents et qu’ils dépassent les bornes. Et toi, à quel exemple d’effronterie flagrante as-tu déjà été confronté ? N’hésite pas à partager tes histoires avec nous dans les commentaires !

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