20+ Personnes qui ont fait une petite bourde et se sont retrouvées dans des situations peu enviables

Il y a 3 ans

Chacun d’entre nous a probablement déjà dû faire face à des situations qui ont mal tourné à un moment donné et suite auxquelles notre cerveau nous rappelle maintenant chaque nuit : “Te souviens-tu de cet incident embarrassant qui s’est produit en 2007 ?” Et nous voilà en train de misérablement souffrir de crises de gêne au lieu de faire de beaux rêves dans notre lit bien douillet.

Chez Sympa, nous apprécions l’auto-dérision et savons combien il peut être difficile de raconter aux autres ces situations embarrassantes. Cependant, certains internautes ont pris leur courage à deux mains et ont décidé de partager leurs histoires avec le monde.

  • Une fois, alors que je discutais avec mon mari, je me suis absentée aux toilettes pour seulement quelques minutes. Sur le chemin du retour, je me suis regardée dans le miroir et, en revenant voir mon époux, je lui ai demandé : “Bébé, tu ne penses pas que mes fesses se sont un peu arrondies ?” Il m’a alors répondu : “Je ne sais pas, chérie. J’ai une réunion audio, là. Je vous prie de m’excuser, chers collègues”.
    J’étais absente pendant juste deux minutes ! Deux ! Mince... © Bash.im
  • Mon mari et ma fille aînée se sont rendus en vacances, et le benjamin et moi sommes allés vivre chez mes parents pendant quelque temps. Le soir, ma fille m’a appelée par Skype et m’a montré dans quel merveilleux café ils étaient en train de dîner. Soudain, mon père a monté le niveau de luminosité de mon écran et a dit :
    — Chérie, apporte la tablette à la tante qui rit fort derrière toi, s’il te plaît.
    Ma fille a tendu la tablette à cette femme, et voici la conversation qui a suivi :
    — Lucie, que faites-vous là-bas. Vous aviez pris un arrêt maladie, non ?
    — Monsieur Poiret ?! Comment m’avez-vous retrouvée ?
    En fait, mon père est doyen à l’université, et cette femme avait pris un congé maladie d’une semaine pour aller se reposer avec son mari. À 2 000 kilomètres de chez nous. © “Подслушано” / Ideer

“Je ne sais pas lire le néerlandais, mais je comprends généralement tout grâce au contexte de la situation. Une fois, j’ai été invitée à la fête d’anniversaire de ma voisine. J’ai acheté des fleurs, un cadeau et une carte de vœux. Il s’est avéré que cette carte exprimait en fait des condoléances à la suite d’une perte. Le traduction littérale était : ‘Mes condoléances’”.

  • Je travaille dans une organisation dont les clients sont souvent des citoyens de Chine. Les Chinois sont très amicaux et aiment parfois dire des choses gentilles, comme par exemple : “Vous avez un air si pur !” Ou encore discrètement demander : “Avez-vous déjà goûté à la cuisine chinoise ?” Par conséquent, nous avons expliqué à nos managers qu’il faut toujours répondre aux phrases du genre par un autre compliment : “Votre climat est bien meilleur”, “Pas encore, mais j’ai entendu dire qu’elle est délicieuse”. Voici un échange qui a eu lieu aujourd’hui entre un manager et un client :
    Le client : “Votre chinois est très bon !”
    Le manager : “Merci, le vôtre aussi !” © Coro92 / Pikabu
  • J’ai enfin été invitée à occuper le poste de mes rêves. Après avoir arrangé ma coiffure, je suis entrée dans la salle d’entretien, et pour montrer ma confiance en moi, j’ai pris un des bonbons qui se trouvaient dans un petit vase sur la table. Tous les deux pris de surprise, je regardais le directeur de la société ne sachant pas quoi faire. En fait, il s’est avéré que ce vase contenait non pas des bonbons, mais des pierres décoratives. © “Подслушано” / Ideer
  • Une situation embarrassante m’est arrivée lorsque l’une de mes connaissances m’a raconté à quel point les conditions de travail peuvent être terribles de nos jours. Par exemple, un atelier de tartes : les gens y travaillent dans une terrible chaleur et se trouvent debout toute la journée sans prendre de pause. Lorsqu’elle m’a annoncé le salaire des employés, je me suis exclamée : “Quel idiot accepterait de travailler dans des conditions pareilles pour un salaire si minable ?” Elle m’a alors répondu, offensée : “Bah, j’y travaille, moi”. Je lui ai longtemps expliqué que ce n’était pas du tout ce que je voulais dire, mais cette situation a quand même laissé un arrière-goût amer. J’en ai terriblement honte rien qu’à y penser. © Лариса Короткая / AdMe
  • Voici une histoire qui m’est arrivée durant mon enfance. Je me trouvais à l’aéroport et j’ai soudain aperçu un homme vêtu de la même veste que mon père. Bref, j’ai sauté sur le dos de cet étranger pendant que celui-ci cherchait sa valise. Il était probablement choqué ! © Zedfourkay / Reddit

Billet de cinéma pour le film Simetierre

“J’ai décidé de faire plaisir à ma femme : je me suis rendu au cinéma et j’ai acheté deux billets pour un film qu’elle voulait vraiment voir. Lorsque je suis rentré chez moi, elle m’a accueilli en pleurant et en racontant que sa mère l’a appelée et a annoncé que leur chat était décédé. Il avait 19 ans et ma femme le connaissait depuis qu’elle était enfant et qu’il était encore un tout petit chaton. Je lui ai donné les billets dans l’espoir de la calmer, mais j’ai ensuite réalisé quelle erreur je venais de commettre”.

  • Je travaillais à la patinoire dans une location de patins à glace. Une fois, deux personnes sont arrivées vers la fin de la journée de travail et nous avons pensé qu’il s’agissait d’un garçon et de sa mère. Bah, quoi ? Un fils attentionné a emmené sa maman patiner. Mignon, non ? Il semblait avoir la vingtaine alors qu’elle, elle en avait certainement plus de 40. Ils ont loué des patins, se sont dirigés vers la glace, et nous les avons perdus de vue. Lorsqu’est arrivée l’heure de la fermeture, ce garçon est revenu rendre ses patins sans la femme. Là, notre caissier qui était généralement silencieux et qui faisait toujours profil bas lui a dit : “Demandez à votre mère de se dépêcher, nous fermons”. L’autre a alors répondu : “C’est ma petite-amie”. À cet instant, j’ai parfaitement compris ce qu’est l’embarras par procuration. © alexandrodin / Pikabu
  • Cela fait trois semaines que je transporte les cadeaux de Noël dans le coffre de ma voiture (je les cache loin des enfants). Récemment, ma fille et moi sommes sorties du supermarché après avoir fait les courses. Nous nous sommes approchées de notre voiture, j’ai appuyé sur ma clé télécommande (mais je n’avais pas fait attention si les phares ont clignoté ou pas), ouvert le coffre et découvert qu’il était complètement vide. Terrifiée, je me suis dit : “Où sont passés tous les cadeaux ?” Et là, j’ai remarqué une femme en train de me regarder depuis le siège du conducteur et me dire : “C’est ma voiture”. Je me suis excusée et nous nous sommes toutes les deux mises à rire. Ma fille a alors demandé : “Maman, comment peux-tu rire ? Tu n’as pas honte, là ?” © Bateau / AdMe
  • Je sortais d’un magasin de vêtements. À côté de la sortie, se trouvait un mannequin grandeur nature et à quelques pas de lui, un agent de sécurité. J’ai accidentellement heurté le mannequin avec mon sac et je n’ai rien trouvé de mieux à faire que de lui dire haut et fort : “Excusez-moi”, en regardant dans sa direction. L’agent de sécurité a sûrement ri pendant très longtemps. Du moins, pendant que je m’éloignais, son rire devenait de plus en plus fort. © Илона Абуханташ / Facebook
  • À l’âge de 14 ans, j’ai participé à un banquet auquel assistaient 300 filles. Lorsque l’animateur montait sur le podium, je me suis penchée vers l’arrière de ma chaise, mais j’ai été trop brusque et j’ai donc commencé à tomber tout en essayant de m’accrocher à la nappe de la table. Finalement, j’ai non seulement renversé toute la nourriture du banquet sur moi, mais lors de ma chute, mon coude a aussi heurté les touches du piano, jouant ainsi une forte note grave qui a résonné dans toute la salle. Lorsque l’animateur est arrivé jusqu’à son micro, il a dit : “Merci, maestro”. © frick-you-fricker / Reddit

“Bien. Je viens tout juste d’installer de nouvelles poignées sur mes tiroirs”.

  • C’est arrivé le soir du 31 décembre, il y a environ cinq ou six ans. Mon ami et moi nous sommes rendus faire les courses dans un hypermarché. C’était la veille du Nouvel An et il y avait donc pas mal de gens, et nous avons alors décidé de nous séparer afin d’aller plus vite : l’un d’entre nous tenait le chariot et faisait la queue devant le bar à salades, pendant que l’autre faisait le tour des rayons en prenant toutes les marchandises nécessaires, revenait vers le chariot pour y déposer tout le “butin” qu’il a pu emporter, et passait ensuite le relais au deuxième. Et ainsi de suite.

    À un moment donné, je me suis retrouvé à faire la queue avec le chariot en main, pendant que mon ami réalisait sa “tournée” dans les diverses sections de l’hypermarché. Et le voilà en train de revenir avec les bras remplis de divers paquets. À notre grand malheur, sur son chemin, à deux mètres de moi et dans cette même file d’attente, se tenait un homme vêtu d’une veste très similaire à la mienne. Les événements se sont ensuite déroulés d’une manière extrêmement inattendue : mon ami a contourné cet homme de dos, s’est brusquement retourné et a balancé toute sa charge dans le chariot de ce type, qui changea immédiatement son expression de visage désintéressé en une expression qui voulait sûrement dire “C’est quoi ce bordel ?” Cependant, pour une raison quelconque, il resta silencieux et observait tout simplement comment mon ami était en train de trier ses achats.

    La parole lui est revenue uniquement lorsque mon compagnon, ne se rendant toujours pas compte de l’erreur commise, a saisi deux boîtes de boulettes de bœufs à la tomate et, tout en levant son regard vers l’homme, lui demanda : “Pourquoi t’as pris ça ?” Cette tournure des événements a encore plus choqué la pauvre victime qui, au lieu de répondre “T’es qui toi ?”, a tout simplement prononcé avec hésitation : “C’est juste qu’ils sont en promotion 1+1...” Après cette phrase, je me suis plié en deux en essayant de tenir le chariot de toutes mes forces, afin de ne pas tomber par terre de rire, tout en continuant d’observer comment ils essayaient de diviser de nouveau leurs achats. © PapaFRED / Pikabu

  • Une fois, je me suis rendue à la crêperie du coin pour le petit-déjeuner. Je me suis assise à une table, j’ai commencé à manger et soudain, j’ai aperçu un long cheveu blond dans ma crêpe. Je me suis dirigée vers la caisse et, furieuse, j’ai demandé qu’on me la change. Le personnel a accepté ma demande sans rien dire. Ce n’est que lorsque je revenais vers ma table que j’ai réalisé qu’il s’agissait en fait de mon propre cheveu. J’ai toujours honte de cette situation. © “Подслушано” / Ideer
  • Aujourd’hui, j’étais dans le tramway. Lorsque nous nous approchions de mon arrêt, j’ai remarqué qu’un enfant d’à peu près huit ans se tenait devant moi, en face de la sortie. J’ai alors pensé qu’il aura sûrement du mal à descendre tout seul (le tramway était vieux et le quai était assez bas) et j’ai donc décidé de l’aider. Une fois arrivés sur place, je l’ai soulevé puis déposé dehors. Soudain, j’ai entendu une voix grave me dire : “Merci” Il s’est avéré qu’il s’agissait en fait non pas d’un enfant, mais d’un nain d’environ quarante ans. © nikola1235 / Pikabu

“Laxatif pour les adultes et les enfants à partir de 0 an”

“Je faisais la queue à la pharmacie et lorsque mon tour est arrivé, j’ai doucement dit : ‘J’ai besoin de tel et tel médicament, ainsi que d’un laxatif’. La pharmacienne a hoché de la tête d’un air très compréhensif puis a disparu dans les profondeurs de la pharmacie. Soudain, elle m’a lancé haut et fort, de sorte que tout le monde entende : ‘Vous avez besoin d’un laxatif pour adultes ou pour enfants ?’ J’ai tout de suite ressenti tous ces regards et sourires (probablement inexistants) derrière mon dos. J’ai répondu : ‘Pour adultes’, et elle m’a ramené ça”.

  • Aucune de mes matinées ne se passe sans un épic fail. Je suis la seule à avoir pu faire irruption au bureau en m’exclamant : “Eh bien, les diablotins, vous ne m’attendiez pas de si tôt, hein ?!” Et je suis tombée sur le patron de notre centre régional. Je pensais qu’il n’y avait que les nôtres au bureau, comme d’habitude. Mais je crois qu’ils ont été beaucoup plus choqués lorsque le patron s’est levé et m’a dit : “Eh bien, Bonjour. Et si on commençait d’abord par se faire la bise ?” © Bash.im
  • Une fois, j’ai demandé au secrétaire d’une grande entreprise le numéro de téléphone de leur fournisseur, Alexis. Je l’ai appelé et, confiant, j’ai directement entamé les négociations. Alexis m’a semblé légèrement coincé, mais il a finalement accepté de traiter ma demande. Nous nous sommes encore appelés trois fois et je voyais bien qu’il était gêné par quelque chose. Finalement, lors de l’une de nos conversations :
    — Salut, Alexis, c’est moi. Tout est prêt. Quel nom dois-je indiquer dans les documents ?
    — Salut ! Le nom de Gabriel Guerin.
    — C’est qui ça ?
    — C’est moi.
    — Et pourquoi réponds-tu au prénom d’Alexis ?
    — En fait, Alexis c’est mon collègue. Il a pris congé et je m’occupe donc de ses affaires. Lors de ton premier appel, tu as dit : “Bonjour, Alexis” d’un ton si confiant que je t’ai automatiquement salué en retour. Ensuite, je me suis senti mal à l’aise d’admettre que je ne l’étais pas. © limita / Pikabu
  • Tout comme chez la plupart des gens, la litière de notre chat se trouve dans la salle de bain. Aujourd’hui, lorsque je m’y suis rendue, j’ai découvert que le bac était rempli de pâtes. Bref, c’était le bordel complet. En fait, j’avais acheté un énorme sac de pâtes et ma mère, par manque d’attention, a pensé qu’il s’agissait de la nouvelle litière. Le chat était tout aussi choqué que moi. © 7Natti7 / Pikabu

Et toi, à quelles situations délicates as-tu déjà dû faire face ? N’hésite pas à nous les raconter dans les commentaires !

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