20 Histoires qui prouvent que les voisins parfaits existent bel et bien

Aller dans l’espace est devenu pour beaucoup un grand rêve d’enfance qui peut se poursuivre jusqu’à l’âge adulte. Nous ne pouvons pas nier que voir devant nous un espace infini rempli de choses à découvrir et à explorer, observer notre planète sous un autre angle, doit être absolument magnifique, déroutant et unique. Mais, et si nous manquions aussi de données sur ce que signifie réellement de faire un voyage dans l’espace ?
L’équipe de Sympa veut te raconter des faits curieux et peu connus sur la vie d’un astronaute dans l’espace. Prêt pour le grand voyage ? C’est parti !
Le sens du goût s’altère nettement dans l’espace. On pense que ce phénomène est lié à la dégradation de la nourriture ou que les fluides corporels sont affectés par une gravité réduite, mais le fait est que la nourriture n’a pas le même goût pour eux.
L’eau est une denrée plutôt limitée dans l’espace : elle vient presque entièrement de la Terre. C’est pourquoi ils doivent la distribuer et la rationner avec soin et minutie, surtout en ce qui concerne l’hygiène personnelle : les astronautes mouillent un gant de toilette avec du savon pour faire mousser et pouvoir se laver, ou bien ils utilisent du savon liquide qui ne nécessite pas de rinçage.
On peut pleurer dans l’espace, mais on ne pleure pas comme sur Terre. En raison de la faible gravité, les larmes ne coulent pas, mais restent collées aux coins des yeux jusqu’à ce qu’elles soient retirées à la main ou qu’elles sèchent.
La faible gravité semble aussi jouer contre les astronautes au moment de mettre leurs chaussures. Ce fait, associé à un besoin réduit de porter des chaussures dans l’espace, conduit à ce que les astronautes sont la plupart du temps pieds nus. Quand ils portent des souliers, ce sont des bottes spéciales pour résoudre le problème de la gravité.
Le sommeil dans l’espace est une chose vraiment compliquée. Les astronautes sont en apesanteur, ils dorment donc dans n’importe quelle position et doivent s’attacher de manière à ne pas se cogner ou heurter les objets qui les entourent. De plus, ils ont généralement leur propre petite cabine dans laquelle ils dorment dans un sac.
Pour un astronaute, faire de l’exercice dans l’espace est aussi important que de dormir ou de manger pour éviter de graves dommages corporels et mentaux. Le fait d’être dans un lieu aussi confiné pendant si longtemps peut avoir des conséquences, c’est pourquoi les astronautes suivent un programme d’exercice strict qui facilitera leur retour sur Terre.
Nous ne parlons pas au sens figuré ou poétique, mais bel et bien d’événements réels. Pendant son séjour dans l’espace, la forme du cœur d’un astronaute change et devient plus sphérique en raison de l’apesanteur.
L’apesanteur a également des effets sur la colonne vertébrale des astronautes, qui reviennent plus grands de leur voyage dans l’espace, car la pression y est réduite. Cependant, ces changements ne durent pas éternellement, dès qu’ils reviennent sur Terre et que la gravité exerce sa pression, ils retrouvent leur taille habituelle.
Aller aux toilettes est une chose complexe quand on doit le faire dans l’espace, c’est pourquoi, lors de missions de courte durée, les astronautes portent une sorte de couche. Mais pour les longues missions, ils doivent utiliser des toilettes sans eau qui aspirent les déchets.
Un grand nombre d’astronautes qui sont allés dans l’espace ont signalé des chutes d’ongles et même des blessures. Cette perte est due au poids important et à la pression (qui tente d’imiter la densité de l’atmosphère terrestre) que les gants qu’ils portent exercent sur leurs mains.
Certains des astronautes qui ont eu le privilège d’aller dans l’espace ont affirmé qu’il y régnait une odeur particulière qui ressemblait à l’odeur de la poudre à canon et du métal.
Vraiment impressionnant, n’est-ce pas ? Lequel de ces faits t’a le plus surpris ? Connais-tu d’autres curiosités sur les astronautes ? Dis-nous dans les commentaires si tu oserais voyager dans l’espace et vivre toutes ces expériences étranges.