10+ Histoires où des patients racontent des moments chez le médecin qu’ils n’oublieront jamais

C’est curieux
Il y a 7 heures

Tout le monde a probablement en tête une visite chez le médecin qu’il n’oubliera jamais. Mais que se passe-t-il lorsque ceux en qui nous confions notre corps se révèlent être ceux qui nous impressionnent le plus ?

Ces 10+ histoires vraies de consultations médicales stupéfiantes ne sont pas juste surprenantes — certaines sont étrangement familières. Si tu t’es déjà senti perplexe, choqué ou même un peu effrayé dans une salle d’examen aseptisée, sache que tu n’es pas seul. Découvre les expériences vécues par tant de personnes — et dont elles se souviendront peut-être toute leur vie.

  • Quand j’ai eu 30 ans, quelque chose a craqué. Du jour au lendemain, je suis devenu obsédé par la mort. La moindre douleur, la moindre démangeaison — j’étais persuadé que c’était un cancer. Ou pire encore.
    Donc me voilà en consultation, à peine capable de me contenir, et j’explique à mon médecin, d’une voix tremblante, que j’ai mal au côté gauche de la poitrine. Je lui demande : " Est-ce que c’est un cancer du sein ? " Et là, cet homme se lève soudainement, se penche tout près de mon visage et me crie presque dans l’oreille : " Tu as tes règles, c’est ça ? La douleur est pire pendant tes règles, non ? "
    On a éclaté de rire tous les deux après cette remarque, parce que voilà : je suis un homme, et ce médecin a en réalité guéri mon anxiété grâce à son incroyable sens de l’humour.
  • Un médecin a menacé d’appeler la police parce que j’avais dit avoir besoin d’un médicament pour prévenir des migraines qui ne passaient pas, et il estimait que je ne devais pas recevoir ce traitement. Je ne lui demandais même pas de me le prescrire, je lui expliquais juste qu’on me l’avait donné aux urgences pour que je puisse fonctionner normalement.
    Je lui ai dit que je ne faisais pas confiance à son expertise s’il rejetait d’emblée les seuls médicaments qui marchaient pour mes migraines. Il m’a répondu que, sur cette base, il ne me faisait pas confiance non plus, que je n’étais peut-être pas en sécurité seule et qu’il devrait appeler la police. J’ai essayé de signaler le problème à la clinique, mais ils s’en sont moqués. © marilynmaupin / X
  • Quand j’étais enceinte et que j’ai dû prendre des antibiotiques, j’ai fait une réaction allergique qui m’a envoyée aux urgences. Mais mon gynéco, qui m’avait prescrit le traitement, a dit au médecin des urgences qu’être allergique aux antibiotiques, c’était comme un poisson allergique à l’eau, et que je mentais. © ianaarez / X
  • À 14 ans, je suis allée chez le médecin parce que j’avais systématiquement mal au ventre après avoir mangé des céréales. Elle m’a dit que j’avais un ulcère (à 14 ans ?!) et m’a prescrit des médicaments inutiles. Des années plus tard, j’ai découvert que j’étais intolérante au lactose. © criticalens / X
  • Il a laissé des centaines de femmes enceintes se démener pour trouver un nouveau gynéco avec seulement un mois de préavis. Il planifiait sa retraite depuis un moment, mais il a continué à accepter de nouvelles patientes avec des dates d’accouchement bien après son départ prévu, juste pour continuer à se faire de l’argent jusqu’au dernier jour. © kristenanne27 / X
  • Mon généraliste m’a dit : " Je suis désolé, Mme X, mais puisque votre fils prend du poids, le fait qu’il hurle pendant les repas et se réveille toutes les demi-heures n’est qu’un inconvénient mineur. J’ai tout essayé. Ce ne peut pas être une allergie au lait, comme vous le suggérez, car ça ne passe pas dans le lait maternel. " Devinez quoi ? C’était bien ça. © Naeluckmate / X
  • Il m’a dit que je lui manquais de respect et que je mentais. Parce qu’il était impossible que j’aie les symptômes que je décrivais, sinon je serais incapable de fonctionner. © honeyyb**b / X
  • J’étais suivie pour des douleurs abdominales intenses et une perte de poids. Une gastro-entérologue m’a dit que j’avais mal " parce que j’étais une femme " : " Les femmes ont parfois des douleurs, c’est comme ça. " Elle m’a annoncé ça en m’administrant l’anesthésie, donc je ne pouvais même pas répliquer.
    Pathétique. Je ne l’ai jamais revue, mais elle m’a laissée sangloter dans les bras d’une gentille infirmière en salle de réveil. Au final, c’était une tumeur. © lil_amishwife / X
  • À 34 semaines de grossesse, on m’a emmenée en urgence à l’hôpital pour des contractions. Mon médecin est entré, m’a regardée moi et mon énorme ventre, et, à ma grande surprise, il a déclaré : " Tu n’es pas enceinte, tu es TRÈS enceinte ! "
    Je lui ai demandé ce qu’il voulait dire, et la révélation a été énorme. En réalité, j’attendais des triplés, alors que toutes mes échographies et mon suivi mentionnaient une grossesse avec un seul fœtus.
    Aujourd’hui, j’ai trois magnifiques bébés et une sacrée anecdote de salle d’accouchement.
  • La gynéco qui m’a dit que si mon kyste — celui qui m’avait conduit aux urgences — ne me gênait pas, je pouvais le laisser tranquille. C’était un kyste de Bartholin compliqué et infecté. L’intervention a duré plus de deux heures. Le chirurgien qui s’en est occupé était tellement furieux qu’il lui a écrit une lettre. © flipfloplisa / X
  • Un psychiatre m’a affirmé que j’avais juste besoin de " trouver un homme " et d’arrêter de trop réfléchir. Tu imagines la crise que j’ai faite en sortant. Et c’était après avoir évoqué mon sentiment de désespoir. Vraiment incroyable. © sweet_angel_bby / X

Et voici des histoires qui ne se sont pas passées chez le médecin, mais dont les drames auraient pu inspirer Hollywood.

Photo de couverture DC Studio / Freepik

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