10 Histoires qui prouvent que la gentillesse finit toujours par l’emporter sur la haine

Gens
Il y a 1 heure
10 Histoires qui prouvent que la gentillesse finit toujours par l’emporter sur la haine

Parfois, la gentillesse ne coûte presque rien, voire rien du tout, mais elle peut changer complètement la vie de quelqu’un. Tu vas le voir dans ces histoires de gens ordinaires qui ont décidé de faire quelque chose de bon, même quand personne ne les regardait. Chaque récit montre qu’être gentil ne te rend pas faible, ça te rend puissant.

  • J’ai travaillé comme serveuse un moment et ma collègue venait d’arriver. Ils avaient renvoyé presque tout le personnel parce qu’il était tard et, comme toujours, on a fini débordés. Ma collègue galérait et elle est tombée sur une table incroyablement impolie.
    Ils ne comprenaient pas qu’ils n’étaient pas les seuls clients du restaurant et qu’on manquait de personnel. Ils l’ont faite pleurer, elle a complètement craqué. On est tous passés par là, alors j’ai pris la table à sa place et, une fois qu’ils sont partis, j’ai laissé 15 dollars dessus pour qu’elle croie avoir reçu un pourboire.
    Je ne lui ai jamais dit que c’était moi, et voir sa confiance remonter était exactement ce que j’espérais. Elle a dit quelque chose comme : “Waouh ! Je ne suis peut-être pas aussi nulle que je le pensais ! Je commence peut-être à y arriver.” — © MaxtheCatismyFav / Reddit
  • Ma voisine a 78 ans. Elle vit seule depuis la mort de son mari. Quand j’étais étudiant, mes amis et moi faisions souvent des fêtes dans la cour. Je culpabilisais pour le bruit, mais elle ne s’est jamais plainte.
    Un jour, sa tondeuse est tombée en panne et j’ai proposé de l’aider. Elle m’a dit : “Ne t’inquiète pas pour le bruit. Entendre votre rire me rappelle que la vie continue.” J’en ai eu les larmes aux yeux.
    Depuis, je tonds sa pelouse chaque week-end, sans poser de questions, et je passe du temps avec elle dès que je peux.
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  • J’ai 26 ans et j’allais chaque matin dans un petit café à Paris. Je vivais une période difficile, je venais de perdre mon travail et je tenais à peine le coup.
    Un matin, la barista, Camille, a remarqué que je n’allais pas bien et m’a dit : “Hé, c’est pour moi aujourd’hui.” Elle a refusé mon argent et a ajouté : “Tu me rembourseras quand la vie ira mieux.”
    Deux mois plus tard, j’ai retrouvé un travail, je suis revenue au café et j’ai voulu la rembourser. Elle a juste souri : “Transmets à quelqu’un d’autre.”
    Alors je l’ai fait. Chaque vendredi, j’achète le café pour la personne derrière moi. Ça fait un an, et je continue.
  • J’ai vu un garçon du quartier essayer de faire des tirs de basket dans des branches d’arbre devant chez lui. J’avais un panier de basket portable qui prenait la poussière depuis mon déménagement. Je suis allé le voir et je lui ai offert gratuitement.
    Je n’ai vécu là qu’un an ou deux, mais après ça, il y a eu presque un dribble permanent chez le voisin. J’ai vu sa sœur, ses parents, ses oncles, ses tantes, même un ou deux grands-parents tenter quelques tirs au fil du temps. Ça m’a fait chaud au cœur de voir à quel point ils en ont profité. — © critical_fail1 / Reddit
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  • Quand mon père est décédé, j’étais au bord de la dépression. Ma coloc a adopté un chien du refuge sans me prévenir pour me remonter le moral, et j’étais agacé.
    Mais ce petit chien, un bâtard brun nommé Toby, s’est mis à me suivre partout. Je rentrais du travail et il m’accueillait comme si j’étais sa personne préférée. Il m’a vraiment aidé à avancer et à réapprendre à apprécier les petites choses.
  • Mon père a croisé un ancien ami du lycée qu’il n’avait pas vu depuis des années. Il a appris qu’il avait un cancer, qu’il n’avait plus que son fils étudiant loin d’ici et qu’il gérait tout seul.
    Alors mon père a commencé à l’accompagner à ses rendez-vous et à déjeuner avec lui. Il l’a même aidé à organiser la prise de ses innombrables médicaments, tellement c’était compliqué.
    Quand son ami est mort, mon père a aidé le fils pour toutes les démarches de fin de vie. Mon père est mon héros. Il donne tellement, et j’aimerais être comme lui. — © LaeliaCatt / Reddit
  • J’expliquais à une amie de chorale que, comme je ne travaillais plus, je ne pouvais pas payer ma session d’été. Elle a tout de suite proposé de payer pour moi et n’a pas accepté de refus. Avant même que je finisse de la remercier, elle m’a envoyé un message disant qu’elle m’avait déjà inscrite et payé parce que “C’est ce que font les mamans de chorale.” — © musicalfreak / Reddit
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  • Un petit garçon du quartier (il doit avoir dans les 10 ans) roulait avec un vélo à moitié cassé, une pédale manquante. Je suis mécanicien, alors j’ai proposé de le réparer. Quinze minutes, quelques pièces en rab, et c’était réglé.
    Deux semaines plus tard, j’ai trouvé un mot dans ma boîte : “Merci d’avoir réparé mon vélo. Maintenant je peux aller voir ma grand-mère tous les jours.” Signé “Elias, 10 ans”. Je garde encore ce mot dans mon garage.
  • Noël dernier, je savais qu’une collègue, mère célibataire de trois enfants, venait de divorcer et venait de rentrer vivre ici. Elle était inquiète pour l’argent et les fêtes qui approchaient. Je voulais aider sans toucher à sa fierté.
    J’ai donné 50 dollars à mon manager pour qu’il les lui passe anonymement. C’était peu, je ne pouvais pas plus. Je ne sais pas comment elle a réagi. C’est une femme gentille et elle travaille dur. — © Ohanothernerd / Reddit
  • Mon père est parti le jour de ma naissance. Ma mère a travaillé comme serveuse pour m’élever. Je voulais aller à l’université, mais elle a dit : “Commence à travailler au restaurant.”
    Frustrée, j’ai crié : “C’est TA faute si on est pauvres !” Elle a juste souri. J’ai commencé à travailler, tout en étudiant dès que je pouvais.
    Des années plus tard, j’ai découvert qu’elle prenait des shifts supplémentaires pour économiser de l’argent pour moi, pour que je puisse aller à l’université. Elle voulait que je travaille pour apprendre la valeur de l’argent.
    Elle m’a donné toutes ses économies pour mon anniversaire. Maintenant je pars en fac de médecine, et je suis tellement reconnaissante. Je l’aime.

Une de nos lectrices nous a écrit récemment pour expliquer pourquoi elle refuse de continuer à payer pour des vacances de famille auxquelles elle ne participe même pas, un choix qui a fait éclater les tensions cachées. Lis son histoire ici : Je refuse de continuer à payer pour des “voyages en famille” auxquels je ne participe jamais

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