Malheureusement, on a tous déjà eu un médecin incapable et c'est vraiment catastrophique, surtout avec un petit enfant !
10 Signes qui indiquent que tu devrais éviter un pédiatre et que tu ferais mieux d’en chercher un autre
Les parents ont tendance à consulter leur pédiatre tellement souvent qu’il pourrait remarquer s’ils changent de coiffure ou de vêtements. Ils lui font entièrement confiance comme à un ami proche ou à un parent, et c’est pourquoi cette communauté médicale essaye d’adopter une approche personnalisée pour les patients. Mais, malgré tout cela, il existe des pédiatres dans certains cabinets auxquels tu ne devrais pas du tout faire confiance pour la santé de ton tout petit.
Sympa a rassemblé dans cet article plusieurs points qui te permettront de déterminer si tu dois éviter certains pédiatres à tout prix.
1. Il prescrit des immunomodulateurs
Il ne faut pas confondre les substances médicinales que nos médecins ont l’habitude de prescrire pour maintenir l’immunité (p. ex. l’extrait d’échinacée) avec les immunomodulateurs, qui affectent la structure de l’ADN. Ces derniers sont utilisés en Europe et aux États-Unis pour traiter des maladies graves, dont le cancer.
Les “immunomodulateurs” prescrits par certains médecins n’ont rien en commun avec eux et sont en fait des médicaments à l’efficacité non prouvée. Pour vérifier cela, tu peux te rendre sur le site web de la Base internationale de recherche clinique ou de l’administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments. Il n’y aura pas de noms de médicaments douteux dans leurs listes.
2. Il donne des médicaments expectorants aux enfants de moins de 2 ans
Les mucolytiques ne sont pas destinés aux enfants de moins de 2 ans. Il en va de même pour les médicaments contre le rhume, qui contiennent des décongestionnants et des antihistaminiques. Ils peuvent causer de graves complications telles que des convulsions et une tachycardie. Les chercheurs disent que le rhume ne nécessite généralement pas de traitement intensif et guérit souvent seul.
En 2004-2005, plus de 1 500 effets secondaires mucolytiques ont été signalés aux États-Unis. Par la suite, les fabricants ont augmenté l’âge limite pour la prise de ces médicaments à 4 ans. Les remèdes contenant de la codéine et de l’hydrocodone sont contre-indiqués pour les personnes de moins de 18 ans.
3. Il prescrit des médicaments homéopathiques
Les remèdes homéopathiques ne causent pas de dommages directs à la santé, mais entraînent indirectement des conséquences désagréables, surtout s’ils remplacent un traitement traditionnel. Certains adeptes de l’homéopathie ne conseillent même pas aux parents de vacciner leurs enfants. Mais cela rend le système immunitaire plus vulnérable. L’homéopathie n’a aucune efficacité prouvée. Tout ce que tu peux attendre d’elle, c’est l’effet placebo. La communauté scientifique ne reconnaît absolument pas de tels traitements.
4. Il ne consulte pas ses collègues lorsqu’il établit un diagnostic
Une caractéristique propre aux médecins est la cohésion de la communauté. Si, dans les cas difficiles, le médecin ne fait confiance qu’à sa propre opinion et a peur de consulter ses collègues, c’est un signe alarmant. Un bon pédiatre cherche le meilleur traitement pour son patient et ne refuse pas l’aide d’autres professionnels du domaine. Les recherches confirment que la mauvaise coordination de la communication entre pédiatres est l’un des facteurs à l’origine des erreurs médicales.
5. Il prescrit des probiotiques avec des antibiotiques
Les troubles intestinaux liés à la prise d’antibiotiques surviennent chez 40 % des enfants. Ils se déroulent généralement sans fièvre et ne nécessitent même pas de traitement. Il n’est donc pas nécessaire de prescrire des probiotiques. Ceci est confirmé par les manuels du Conseil des gastroentérologues des États-Unis et de la Société américaine des maladies infectieuses.
6. Il procède à l’examen médical sans gants
Il est tout à fait naturel de porter des gants ou de se laver les mains avant et après avoir examiné un patient. Malgré les progrès scientifiques, certains pédiatres et infirmières négligent encore les procédures d’hygiène de base. Cela se reflète dans des recherches sur le sujet. Fais attention à la propreté du bureau du médecin lors de ta prochaine visite au cabinet.
7. Il attribue la cause de la maladie au virus de l’herpès
Si le pédiatre a du mal à poser un diagnostic, il recommandera probablement un test de dépistage du CMV (cytomégalovirus) et du EBV (virus Epstein-Barr), deux souches du virus herpétique. Selon l’Association mondiale de la santé, 67 % de la population, soit 3,7 milliards de personnes de moins de 50 ans, sont infectées par cet organisme.
Le virus lui-même cause rarement la maladie. Le médecin qui attribue la maladie de l’enfant à cet organisme ignore la véritable cause de la maladie et retarde la guérison puisqu’il ne fournit pas le traitement approprié.
8. Il diagnostique “CIV” et “dysbiose”
Il n’y a pas de maladie “dysbiose” en tant que telle. C’est un nom utilisé pour indiquer un déséquilibre microbien. Il en va de même pour la dystonie végétative, qui est diagnostiquée même chez les enfants plus âgés et les adolescents. La Classification internationale des maladies ne fait état d’aucune affection de ce genre. Il s’agit d’un groupe de symptômes qui surviennent en raison d’une ou de plusieurs maladies. Un pédiatre qui fait de tels diagnostics n’a pas suffisamment étudié la médecine.
9. Il parle dans un langage grossier ou familier
La courtoisie et la capacité à communiquer avec un patient sont des caractéristiques du professionnalisme de tout médecin, et sont particulièrement importantes pour un pédiatre. Ton médecin n’a peut-être pas la “touche magique” qui calme le bébé instantanément, mais si un enfant a peur chaque fois qu’il se rend chez le médecin et qu’il te parle avec mépris, impolitesse ou qu’il crie, on peut douter de ses qualités ou de sa vocation.
10. Il modifie le régime alimentaire sans faire de tests
Les éruptions cutanées sont fréquentes chez les bébés. Par exemple, dans 60 % des cas, la dermatite atopique survient au cours de la première année de vie et, dans 90 % des cas, à un âge pouvant atteindre 5 ans. Ces éruptions provoquent différents déclencheurs qui sont importants pour identifier une allergie possible dans le but de recommander un changement dans l’alimentation.
Les allergies alimentaires sont causées par toute une gamme de produits, des noix jusqu’au lait. La découverte de la cause initiale n’est possible qu’à l’aide de tests sanguins. Si le pédiatre ajuste le régime alimentaire de ton enfant sans y recourir, cette méthode risque de s’avérer inefficace.
Et toi, quels sont les éléments auxquels tu fais attention lorsque tu évalues un pédiatre pour voir ton enfant ? Dis-nous tout dans les commentaires !