14 histoires de médecins qui vont te faire rire et pleurer à la fois !

Histoires
Il y a 6 ans

En général, chacun d’entre nous a une histoire incroyable à raconter à propos de sa santé et de sa relation avec la médecine, et les docteurs eux-mêmes peuvent te dire tant de choses que tu ne sais plus quoi penser. Lis ces histoires sur le “médecin à usage unique”, le gynécologue au mauvais caractère, et bien d’autres, et choisis si tu préfères en rire, en pleurer, ou les deux à la fois...

Sympa a recueilli pour toi des histoires de médecins trouvées sur différents sites Internet, et chacune d’entre elles montre que le sens de l’humour est toujours le meilleur remède à tous les maux !

  • Dans mon enfance, j’ai réussi à ramener mon chien à la vie après lui avoir fait du bouche-à-bouche. Ce fait m’a tellement marqué qu’à l’âge adulte, j’ai travaillé comme médecin réanimateur. Je sauve des vies, je travaille 24 heures sur 24, et je sais que c’est ma vocation. Mais récemment, ma mère m’a avoué que notre chien était simplement endormi.

  • Un jour, j’ai dû aller chercher ma meilleure amie à l’hôpital après son accouchement. J’ai marché autour du bâtiment de la maternité pendant environ 10 minutes, essayant de trouver mon chemin. Quand j’ai vu des médecins fumer, je leur ai crié : “Comment on entre ici ?”. Après 30 secondes de fou rire, ils m’ont expliqué que je devais d’abord rencontrer un homme.
  • Aujourd’hui, je suis intimement convaincu que les médecins ont un sens de l’humour très particulier. Je suis allé chez la dermatologue parce que j’avais un truc bizarre au bras. On discutait pendant qu’elle s’occupait de moi. La conversation a porté sur le choix d’un métier. Je lui ai demandé : “Pourquoi avez-vous choisi d’être dermatologue ? C’est un travail effrayant !”. Ce à quoi elle a répondu : “Enfant, j’adorais éclater les bulles du papier bulle, c’est comme ça que tout a commencé.”
  • Il y a quelques jours, j’ai subi une opération de correction de la vue au laser. Après l’opération, je suis resté dans l’obscurité pendant un certain temps, je me suis reposé et j’étais sur le point de partir. Le médecin m’a arrêté et m’a donné les dernières instructions : “Tout d’abord, allez dormir, et quand vous vous réveillerez, vous verrez mieux. Et surtout, ne paniquez pas. Ceux que vous verrez sont de votre famille.”
  • Mon ami psychiatre a un patient, un garçon du nom de Nicolas, âgé de 10 ans. Il est autiste et n’a pas prononcé un mot depuis sa naissance. Il comprend tout, il n’est pas muet, mais il est toujours silencieux. Lors d’une séance (où le père du garçon a été convié), un autre médecin, Allemand, a assisté à la séance. Ce médecin a pris Nicolas dans ses bras et a commencé à lui dire avec un fort accent : “Quel bon garçon...” Et il l’a soulevé et secoué de plus en plus fort, en disant avec son accent allemand : “Bon garçon”. Soudain, une voix très grave, trop grave pour une voix d’enfant, est sortie de la bouche de Nicolas : “Laisse-moi tranquille. Je ne t’aime pas”. Nicolas a parlé pour la première fois. Le père du gamin a failli tomber de la chaise.
  • Je suis allé chez le médecin pour une échographie. Soudain, le médecin a dit : “C’est bizarre, je ne trouve pas votre rein gauche... Vous ne l’auriez pas vendu par hasard ?”
  • Je suis radiologue. J’étais assis, regardant la radio d’un patient. Il se tenait à mes côtés, très agité : dans cinq minutes, il connaîtrait son diagnostic. Et tout à coup, je me suis souvenu que je n’avais pas donné certains documents à un collègue. J’ai décroché le téléphone et j’ai composé son numéro.

    — Allô ? C’est l’anatomie pathologique ? Faites venir le coordinateur à mon bureau. Oui, c’est urgent.

    J’ai raccroché le téléphone, j’ai fini d’écrire mon diagnostic, je me suis retourné et j’ai vu... les yeux de mon patient. Ce n’est qu’à ce moment-là que j’ai compris la peur que je lui avais flanquée.

  • J’ai décidé de divorcer avec mon mari, et j’ai dit à mon amie que je trouvais désagréable de porter mon alliance. Elle m’a dit : “Enlève-la !”. Et elle l’a mis sur son propre doigt pour qu’elle ne se perde pas. Le soir venu, on n’a pas réussi à lui enlever. Le lendemain matin, à l’hôpital, ils lui ont conseillé de couper l’alliance, ce que nous ne voulions pas faire : elle avait été faite sur commande avec une décoration sophistiquée en platine. À peu près au même moment, mon amie a rencontré un jeune homme sur Internet, qui s’est avéré être médecin. Il l’a invitée à lui rendre visite à l’hôpital et l’a aidé à enlever la bague. Ils se sont mariés cet été.
  • Ma fille est à l’école primaire. J’ai remarqué qu’elle écrivait de plus en plus mal. Je lui ai dit que je lui achèterais des cahiers spéciaux, ce à quoi elle a répondu :

    — Ne t’inquiète pas, je serai médecin !

  • Je connais un chirurgien traumatologue, je vais le voir parce que ses honoraires sont pris en charge par mon assurance. Je l’appelle le “médecin à usage unique” : quel que soit mon problème de santé, je n’ai jamais besoin d’aller le voir deux fois, il le résout toujours dès la première fois. Mes collègues ont aussi adopté ce surnom pour lui, car ils le consultent aussi et une seule fois suffit. Mais récemment, ce médecin semble avoir atteint encore un autre niveau. Mon bras a commencé à me faire très mal, mais il n’y avait qu’un seul créneau pour me recevoir sur toute la semaine suivante. Je l’ai réservé et ma douleur au bras a commencé à diminuer le lendemain. Quelques jours plus tard, elle avait complètement disparu. Désormais, je peux l’appeler le “médecin qui soigne à distance”.
  • Mon amie a été témoin de la scène suivante dans une clinique dentaire : un garçon aux yeux globuleux est sorti du cabinet effrayé : ils l’avaient anesthésié pour lui extraire une dent. Il sortait sans cesse sa langue endormie, demandant avec horreur : “Pourquoi m’ont-ils fait une piqûre ?” Sa mère lui a patiemment expliqué que c’était pour qu’il ne ressente pas de douleur lors de l’extraction de la dent. Et le garçon a répondu en criant : “Tu mens ! La dent peut très bien être extraite telle quelle, vous m’avez amené ici pour M’ARRACHER LA LANGUE !” Et il s’est précipité vers la sortie.
  • L’autre jour, je suis allée faire une radioscopie dans une clinique privée. Je l’ai faite et je me suis assise dans la salle d’attente en attendant les résultats. La porte était entrouverte et on entendait les médecins dire : “Regardez ça ! C’est normal ? Quelle horreur ces taches noires !”. Mon monde s’est effondré. J’ai commencé à penser à la façon dont je dirais à ma mère que j’allais me battre pour ma vie. La porte s’est ouverte, j’ai été invitée à entrer dans le cabinet et j’ai reçu un certificat attestant que j’étais en bonne santé. Ils se sont excusés pour l’attente à cause d’une panne d’imprimante : elle fuyait et provoquait des taches d’encre partout.
  • Mon petit ami est médecin. Quand j’explique à l’université que je ne peux pas aller en cours, j’utilise presque toujours le prétexte “je dois aller chez le médecin” ; je n’ai pas honte. Après tout je dis la vérité !
  • La sœur de ma femme travaille comme gynécologue depuis de nombreuses années et a acquis une réputation d’expert, mais de mauvaise humeur. Pourquoi ? En voici un exemple : une nuit, une femme présentant une hémorragie interne a été admise à l’hôpital. Bilan de santé, échographie. Le médecin a prescrit une hospitalisation. La femme a refusé : le lendemain, elle devait aller travailler, elle ne pouvait pas laisser ses enfants avec son mari, etc. Le médecin a imprimé en silence une déclaration de refus d’hospitalisation et l’a présentée à la femme pour qu’elle la signe. Elle l’a signée sans la lire. Le médecin l’a alors lue à haute voix : “Je soussignée, renonce à l’hospitalisation. Je reconnais qu’on m’a averti que je mourrais dans les 12 prochaines heures”. La femme a alors bondi : “Quoi ? Je vais mourir ? Que dites-vous ?” Le médecin : “Je suis obligée de vous avertir alors je vous avertis. Je n’ai pas le temps de vous convaincre, d’autres patients m’attendent”. Alors la femme déchire sa déclaration et demande : “Quel numéro de chambre ?”

Les médecins sont parfois cyniques, et ils semblent ne pas être de très bonne humeur. Leur comportement peut sembler incompréhensible et désagréable, mais ils font une chose très importante pour nous : ils sauvent des vies !

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Photo de couverture huyahanachan / Pikabu

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