14 Histoires de personnes dont l’avarice n’a pas de limite

Histoires
Il y a 5 ans

Les économies et la bonne gestion de notre budget sont des qualités importantes qui nous permettent d’avoir un certain bien-être matériel. Cependant, nous courons parfois le risque d’aller aux extrêmes et de devenir des personnes avares, même envers ceux que nous aimons...

Sympa a trouvé quelques histoires de personnes avares qui ne se rendent même pas compte de leur fâcheux comportement, et qui font rire tous les internautes !

  • Ma sœur cadette travaille en tant que créatrice et adore la photographie. Un beau jour, elle a pris en photo une amie blogueuse à titre gratuit. Elle a fait la séance photo, elle a traité les images et les a envoyées à mon amie. Elle lui a demandé si elle pouvait ajouter à la publication des photos son lien de photographe. Celle-ci lui a répondu que oui, et que comme elles étaient amies, elle ne devait payer que 70 euros. © ZhoraLiberman / pikabu

  • Ma mère est décédée quand j’étais très petit. Tout le monde disait à mon père qu’il était impossible d’élever un enfant sans sa mère, de sorte qu’au bout d’un an, une femme et sa fille (un peu plus âgée que moi) ont déménagé chez nous. Du coup, on a eu deux frigos à la maison. Le leur était fermé avec un ruban afin que personne n’ouvre la porte. Un beau jour, la curiosité m’a poussé à voir ce qu’il y avait dedans. J’ai trouvé des fruits et un gros sac de bonbons, que sa fille mangeait quand je n’étais pas là. Je n’ai pas pu m’empêcher de manger deux ou trois bonbons sans demander l’autorisation. On m’a un peu grondé, mais papa a ramené la femme et sa fille chez elles. © vllv / pikabu

  • Dans le centre du district habitait une grande famille qui avait huit enfants. Ils ont fini leurs études et ont quitté le foyer. Seul le plus jeune est resté avec ses parents. Une fois par an, toute la famille se réunissait dans la maison paternelle. Le temps passa, les parents moururent l’un après l’autre, et les frères et sœurs ont commencé à faire la division des biens. Ils se battaient ne serait-ce que pour un chiffon. Un soir, la maison a pris feu. En fait, le frère cadet avait trop bu et avait brûlé la maison avec tout ce qu’il y avait dedans. Je ne connais pas la fin de l’histoire. © serojaD25S / pikabu
  • J’ai décidé d’acheter un vélo pour mon fils aîné. J’ai regardé sur un site internet et j’en ai choisi un. Le propriétaire affirmait qu’il ne l’avait presque pas utilisé, mais le vélo avait l’air très usé. Le prix : 130 euros. Je lui ai demandé combien il l’avait acheté neuf, et le vendeur m’a dit sans hésiter : “il coûtait 185 euros en magasin, mais on m’a fait un prix spécial et j’ai payé 120 euros. Je vous fais donc une remise de 55 euros”. Difficile à réfuter ! © Im.Alex / pikabu
  • Dans notre compagnie, il y avait un gars très avare. Un beau jour, il nous a invités à dîner dans un resto cher parce que c’était son anniversaire. Nous avons rassemblé une somme raisonnable pour lui acheter un cadeau. À la fin de la soirée, tout le monde s’apprêtait à rentrer chez soi, quand tout à coup, il a crié : “Où vous allez ? Vous devez me donner le reste !” En fait, il avait fait le calcul de ce que nous lui avions offert et il a réalisé que le prix du cadeau ne coïncidait pas avec la somme dépensée au restaurant. Le pire, c’est qu’il a été très étonné de voir qu’aucun de ses amis ne soit allé à son mariage. © Donotworry1 / pikabu
  • Jusqu’à récemment, une amie à moi travaillait comme vendeuse dans un supermarché. Elle avait devant elle le rayon boulangerie, et elle voyait comment la femme chargée des ventes trompait à tous les coups les clients, pesant mal la marchandise. Un beau jour, un homme qui passait devant a demandé : “Qui a laissé tomber une chaîne en or ?” Et en effet, il y avait une chaîne en or par terre. La femme du guichet a crié tout de suite “Elle est à moi !” Elle a ramassé le bijou et a regagné son poste. En fait, la chaîne n’était pas en or, mais l’argent qui avait disparu de sa caisse était bien réel. © Shutok.ru / pikabu
  • Dans notre bureau, on a changé la serrure. Il y avait une clé commune et tous les employés devaient faire faire leur propre double. Une collègue m’a demandé si je pouvais commander une clé pour elle aussi. J’ai accepté et, en rentrant, je lui ai remis sa clé et je lui ai dit : “J’ai payé 2,5 euros”. Elle m’a regardé toute étonnée et m’a répondu “Ce ne sont que quelques centimes !” Le lendemain, je lui ai rappelé à plusieurs reprises de me payer. Elle s’est fâchée et m’a tourné le dos, indignée. Les témoins de notre conversation m’ont demandé ce qui se passait. Je leur ai expliqué, et j’ai été l’objet d’une pluie de critiques : “Tu es un homme”, “Elle, c’est une femme”, “Les hommes ne sont plus comme avant”, et ainsi de suite. Je leur ai dit de rassembler l’argent entre eux pour me payer, et ils m’ont traité de mesquin. © gp800 / pikabu

Une annonce affichée dans un centre d’affaires :

“Veuillez ne pas mettre les pieds sur le WC. Ce ne sont pas des toilettes anciennes dans une cabine en bois. Nous vous demandons aussi de bien vouloir cesser de voler les ampoules... Bonne chance dans vos affaires !”

  • J’étais dans l’autobus, assis sur le siège qui se trouve au dos du chauffeur. J’ai sorti l’argent de mon portefeuille, et une pièce est tombée par terre. Le jeune homme qui était assis à côté de moi s’est penché en silence, a pris la pièce et l’a donnée à la femme qui était assise devant moi. La dame l’a remercié sérieusement et a tranquillement rangé ma pièce dans sa poche. © RiaSkoosa / pikabu
  • Au mois d’avril, nous avons refait la cuisine à neuf. Les anciens meubles étaient en bon état, et je n’osais pas les jeter. J’ai appelé mon voisin et je lui ai demandé s’il avait besoin de meubles pour sa cuisine. Il m’a dit non, alors je lui ai demandé de m’aider à les jeter dans la benne à ordures. En rentrant chez moi, j’ai regardé par la fenêtre, et j’ai vu mon voisin en train de traîner les meubles dont il “n’avait pas besoin” chez lui. Alexeich56 / pikabu

“Attention !

Pour la personne qui a jeté une télé ORION le 24 janvier :

Donne-moi la télécommande, de toute façon, tu n’en as plus besoin.
Tél...”

  • J’ai grandi avec mon père et ma belle-mère. Quand j’étais petite, il y avait une chambre qui était toujours fermée à clef. Ma belle-mère y rangeait des biscuits, des bonbons et autres délices pour ses propres enfants. J’ai surmonté cette situation. Je me suis mariée et j’ai un enfant. L’autre jour j’ai vu ceci : mon fils de quatre ans était par terre et regardait par une fente de la porte ma belle-mère donner de la glace à ses petits-enfants ! © anybodyindark / pikabu

Connais-tu des personnes avares dans ton entourage ? As-tu des anecdotes mémorables de leur vie à raconter ? N’hésite pas à les partager dans la section des commentaires !

Photo de couverture Morrigansir / pikabu

Commentaires

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et tu ne donnes pas les friandises à un enfant et pas à l'autre, ça c'est de la mesquinerie et de la goujaterie

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