14 Histoires sur les belles-mères qui en font voir de toutes les couleurs

La première rencontre avec sa belle-mère, c’est toujours un peu comme une loterie. On ne sait jamais à quoi s’attendre : un accueil chaleureux, un interrogatoire en règle ou un festin pour toute la famille. Ensuite commence la partie la plus intéressante : les fêtes en commun, les conseils et les frasques inattendues. Cette sélection regroupe des histoires sur les belles-mères qui savent étonner, faire rire et parfois, carrément déconcerter.

• Je rencontrais la mère de mon copain et j’étais très nerveuse. Nous sommes entrés, elle m’a installée au salon et s’est précipitée dans la cuisine. Je l’ai suivie et j’ai alors entendu : " Quelle peste ! " Stupeur de ma part. Elle s’est retournée, m’a vue et a sorti cette explication géniale : " La peste de chatte a mangé tout le jambon pendant que j’allais ouvrir la porte ! " Et elle s’est mise à rire. J’ai éclaté de rire moi aussi. Une rencontre inoubliable, en somme. Mais au final, j’ai plu à la fois à la mère et à la chatte.
• Nous vivions ensemble, mon copain et moi. Je me suis libérée plus tôt et j’ai décidé de lui faire une surprise. Je prépare le dîner quand j’entends soudain la porte s’ouvrir. Je décide de lui jouer un tour, de lui faire peur. Je saute de derrière le coin et me prends un bouquet de fleurs en plein front. Je regarde : c’est une femme que je ne connais pas. Et là, mon chéri déclare : " Oh, chérie, je te présente ma maman ! Tu te souviens, je t’ai dit que je vous présenterais bientôt, je voulais organiser une surprise. " Là, nous n’avons pas pu nous retenir et nous nous sommes tous mis à rire, il fallait vraiment être doué pour en arriver là. Sa mère s’est excusée de m’avoir lancé le bouquet de peur. Ce n’est pas comme ça que j’imaginais notre rencontre, mais c’était peut-être mieux ainsi, cela a immédiatement dissipé toute gêne. Ma belle-mère est une femme de caractère, mais elle est chaleureuse avec moi.
• Ma belle-mère n’avait pas vu sa petite-fille depuis longtemps et commençait même à s’offusquer qu’on ne la lui amène pas. Mais c’était toujours pareil : la petite était malade, ou elle-même, ou nous étions pris. Enfin, nous sommes allés lui rendre visite. Elle est partie avec sa petite-fille dans une autre pièce, et là j’entends : " Ah, mon petit cœur, mon soleil, viens dans mes bras. " Je me suis inquiétée, me demandant si ce n’était pas trop lourd pour elle, à son âge, de porter un enfant qui a grandi. C’est alors que ma belle-mère revient... avec son chat dans les bras ! Bien sûr, bien sûr, vous ne vous étiez pas vues depuis si longtemps, quelle joie de vous retrouver ! © Ne vse poimut / VK

• Mon copain m’a présentée à ses parents. Le père a dit : " J’espère que vous êtes un peu dérangée. " Sa mère a approuvé d’un signe de tête et a ajouté : " Oui, oui, parce qu’ici, on est tous un peu cinglés. " J’ai répondu : " Dans ce cas, c’est parfait. Être dérangé, c’est notre style. " Nous avons tous ri ensemble et sommes passés à table. Cela fait déjà trois ans que nous sommes mariés, ma belle-mère m’appelle " ma fille dérangée " et je l’appelle " maman cinglée “. Oui, notre petite famille est plutôt étrange. © Ne vse poimut / VK
• L’autre jour, je me plaignais à mon mari de ma belle-mère, disant qu’elle ne nous laissait pas une vie tranquille. Elle fourre constamment son nez dans nos affaires, essayant de s’immiscer dans toutes les situations. Ça m’énerve, mais mon mari dit que ça pourrait être pire. Il connaît quelqu’un dont la belle-mère s’est pointée à 3 heures du matin dans leur chambre à coucher et a demandé : ” Mon fils, tu sais combien coûtent les pruneaux au marché en ce moment ? " © Palata № 6 / VK
• Nous vivons avec ma belle-mère. Aujourd’hui, elle s’est simplement approchée de moi et m’a demandé doucement : " Élie, quel est le sens de la vie ? " Je suis restée stupéfaite : " Euh... je ne sais pas. " Elle a répondu : " Eh bien, réfléchis. Tu sais, je me pose aussi souvent cette question et je n’arrive souvent pas à comprendre quel est ce sens... Mais je sais une chose avec certitude : ce n’est certainement pas de laver tes tasses sales à ta place ! " Il va falloir qu’on trouve un appart... © Ne vse poimut / VK

• Lors d’une fête de famille, ma belle-mère a commencé à raconter une histoire de sa jeunesse par ces mots : " Nous étions cinq garçons et cinq filles, ou l’inverse, je ne me souviens plus très bien. " Elle a mis du temps à comprendre pourquoi nous étions tous pliés en deux de rire ! © Uboinye istorii / VK
• Notre fille a commencé à être propre. J’ai partagé la nouvelle avec ma belle-mère, et elle s’est exclamée : " Et tu sais, elle a un tel potentiel ! Il faudrait la mettre à la gym, elle pourrait devenir championne ! Ou au moins à la danse classique ! " Ça m’a fait rire, la petite n’a que deux ans. Une autre fois, j’ai mentionné que Sophie savait faire des puzzles. Et ma belle-mère d’enchaîner : " Tu vois, elle a un esprit analytique ! Il faudrait en faire une programmeuse ! Il faut chercher des cours ! " Je me marre, et elle est sérieuse. J’ai l’impression qu’elle essaie de réaliser tous ses rêves inassouvis à travers ma fille. Je ris, mais j’ai bien remarqué qu’elle me souffle maintenant à l’oreille comment élever un enfant génial. Tantôt elle me conseille des livres, tantôt des cours spécifiques. Et je me demande : comment lui expliquer doucement que je veux que Sophie choisisse elle-même ses activités ? © Situacia / VK

• Quand ma future belle-mère a appris que j’avais déjà été mariée, ce fut l’ouragan. Sous le volume de sa voix, les vitres tremblaient et le cristal résonnait. Mon fiancé a interrompu sa mère d’une seule phrase : " Mais papa, c’est ton troisième mari, non ? " Elle a répliqué : " Exactement, mon fils. Je sais de quoi je parle. " Je pressens que la vie de famille ne sera pas de tout repos.... © Caramel / VK
• Récemment, mon mari et moi avons rendu visite à ses parents. Mon mari a un frère cadet qui a six ans. Nous avons tous dîné ensemble et étions tranquillement assis avec mes beaux-parents à boire du thé. Pendant ce temps, mon mari et son petit frère couraient partout, jouaient et criaient à tue-tête. Ma belle-mère et moi les observions en souriant doucement quand elle m’a soudain demandé : " À ton avis, est-ce qu’on ne devrait pas les envoyer au lit ? Ou bien on les laisse encore s’énerver un peu ? " © Uboinie istorii / VK
• Un jour, je suis allée regarder sous la baignoire pour voir d’où venait une fuite et j’y ai trouvé une dizaine de pots de confitures diverses, dont les dates de péremption remontaient à 1976-1985. J’ai gratté ma tête, j’ai appelé mon mari et lui ai demandé si je pouvais les jeter. Mon mari a éclaté de rire et a dit : " Quel manque de respect pour nos aînés, tu devrais avoir honte ! " Il ne savait pas d’où venaient ces confitures. Apparemment, c’est ma belle-mère qui les avait cachées là. Notre maison a été construite en 2010. Nous avons estimé que, lorsque ces pots avaient déménagé sous notre baignoire, ils avaient déjà environ 30 ans. Nous avons appelé ma belle-mère pour lui demander si c’était à elle. Elle a répondu : " Oui, c’est à moi, ne les jetez pas, je viendrai les chercher ! " Et elle l’a fait. © Uboinie istorii / VK

• Ma belle-mère a acheté un kit intitulé " Reptiles " à notre enfant. Le kit comprend un tricératops, un ptérodactyle, un crocodile, quelques cactus, un palmier, un pingouin, un lion et un chat blanc... Je crois que j’ai dû rater quelques cours de biologie. © Uboinie istorii / VK
• J’ai un chaton qui passe son temps à manger, quémander de la nourriture, et qui est tout simplement insatiable. Il nous épuise tous. Je me couche tard. Une nuit, je traverse le couloir et je vois de la lumière dans la cuisine. Du couloir, on n’aperçoit qu’une partie de la cuisine : la table et le réfrigérateur. Et là, devant ce réfrigérateur, le chat est assis et dévore quelque chose avec enthousiasme, probablement volé sur le plan de travail. Comme il avait déjà mangé le soir même, je demande à voix haute et agacée : " Tu es encore en train de bouffer, espèce de petite bête ? " Une seconde plus tard, de l’angle de la cuisine qui était hors de ma vue, la voix pleurnicharde de ma belle-mère répond : " Mais non, Pauline, je n’ai rien mangé de toute la journée... " © Uboinie istorii / VK
• J’avais à l’époque environ 18 ans. Une fois, nous passions, une amie et moi, devant un chantier. Il n’y avait encore rien, juste une baraque et de la terre retournée. Mon amie est entrée dans la baraque, où se trouvait une dame. Surprise par cette visite inattendue, elle est immédiatement allée faire chauffer la bouilloire. Nous avons passé environ une heure chez elle. Nous, étudiantes affamées, avons été nourries, abreuvées, et nous avons bavardé de tout et de rien. Puis nous sommes simplement parties, tranquillement. Nous n’avons jamais revu cette dame, mais l’impression était restée agréable, bien sûr. Dix ans ont passé. Un jeune homme me courtisait et m’a invitée à une fête du Nouvel An dans un grand groupe d’âges variés. Il m’a présenté à beaucoup de monde. Une conversation s’est engagée avec une dame qui me semblait vaguement familière ; nous étions tous les trois à discuter... C’est là qu’il a dit : " Ah, oui, au fait. C’est ma mère. " Et oui, c’était bien cette même dame qui avait nourri les étudiantes dans la baraque du chantier... Nous l’avons réalisé ensemble en recoupant tous les détails. © Dosifeya / Pikabu

Il arrive fréquemment que les belles-mères cherchent à s’immiscer dans la vie d’un jeune couple. Convaincues de détenir la meilleure façon d’élever les enfants, de gérer le foyer ou de répartir le budget, elles peinent parfois à garder leurs conseils pour elles. C’est alors que ce comportement, bien intentionné mais envahissant, devient souvent source de malentendus et de tensions.