14 Internautes racontent leurs histoires avec le prof le moins sympa de leur école

Gens
Il y a 1 an

Nous savons tous qu’un professeur peut faire la différence auprès d’un élève. Il peut par exemple lui faire aimer une matière et l’inspirer, comme Miss Honey, l’institutrice de Matilda dans le film et le livre éponymes. Et même si nous devrions tous remercier les professeurs exceptionnels, il y a des fois où les élèves tombent sur des Agatha Legourdin.

Chez Sympa, nous souhaitons aujourd’hui partager avec toi des anecdotes de lecteurs sur les professeurs les moins agréables qu’ils ont rencontrés.

  • Ma fille est allée à la crèche, par conséquent, elle avait appris à reconnaître les voyelles, et elle savait compter. Quand elle est entrée en maternelle, c’était la première à terminer ses exercices en classe, et comme à la crèche, elle aidait ceux qui avaient du mal. À l’école, elle a voulu faire la même chose, et la prof la grondait. © Juan Francisco Antimil Campos / Facebook
  • Quand j’étais en CM1, j’ai eu un professeur prénommé Patrick, et il était toujours très formel avec ma mère, jusqu’à ce qu’il corrige mes contrôles. Il me mettait toujours de mauvaises notes. Heureusement, ma mère les relisait et elle est allée faire une réclamation. Mes notes ont remonté, et j’ai appris par la suite qu’ils avaient été camarades de classe et qu’il aimait bien maman, mais qu’elle l’avait repoussé. C’était sa manière à lui de se venger. © Dianita Sanchez / Facebook
  • J’étais très bonne élève et j’étais très calme au lycée. J’avais une bonne moyenne et j’étais au tableau d’honneur. J’allais à l’école pour filles et nous avions un prof d’éducation physique qui pensait que je n’étais pas de taille pour figurer dans l’équipe officielle. J’ai finalement réussi, mais j’avais tellement perdu confiance en moi que j’ai dû lutter pendant des années. En plus, il y avait un groupe de filles qui étaient mes camarades, mais qui parlaient souvent de moi avec ce prof, à tel point qu’un jour, je n’avais plus d’amies. Je me suis réfugiée dans mes livres et j’ai fini le lycée. Jusqu’à aujourd’hui, je ne comprends toujours pas cette antipathie envers moi, alors que les autres profs m’aimaient bien. © Mila Fran / Facebook
  • En primaire, j’avais la matière Activités Pratiques. La maîtresse disait toujours que c’était ma mère qui faisait mes devoirs, parce que c’était trop bien pour que ce soit moi qui les ai faits. Alors qu’en vérité, j’ai toujours eu un don pour les activités manuelles, mais elle ne me croyait pas alors elle me mettait de mauvaises notes. Une fois, nous avons fait un travail en classe, elle a vu le mien et elle m’a mis seulement 12/20. Un jour, j’ai dit à ma prof principale ce qui se passait. Elle est allée lui parler pour lui dire que c’était bien moi qui faisais mes devoirs. En plus, mes dessins étaient choisis chaque année pour l’exposition de l’école. Mais ça ne suffisait pas pour qu’elle me donne une meilleure note. Quand on ne t’aime pas, on te met de mauvaises notes. À 39 ans, j’aime toujours autant les travaux manuels, et je n’ai jamais cessé d’en faire. © Romina Rd / Facebook
  • Mes profs ne m’ont jamais rien dit de mal, ou du moins je le pensais, jusqu’à ce que je rende visite à mes parents. Nous sommes sortis manger une glace. Je venais d’être embauchée en tant que journaliste et je travaillais pour une chaîne de télévision importante. Mes profs m’ont vue, m’ont saluée et m’ont demandé ce que je faisais de ma vie, car elles ne me voyaient plus dans le village. Je leur ai résumé mon parcours, et les deux m’ont répondu : “Regardez un peu ce qu’elle est devenue, alors qu’on pensait qu’elle n’arriverait à rien et qu’elle serait seulement mère au foyer !”. J’ai presque fait une attaque en entendant ça. Je les ai remerciées et je leur ai demandé de ne jamais dire à un enfant qu’il n’arriverait jamais à rien. © Anabela Yanina Oyola / Facebook
  • Ma prof de maths nous a demandé ce que nous aimerions faire une fois adultes. À ce moment-là, j’étais très intéressée par le journalisme, et quand je le lui ai dit, elle m’a répondu : “Comment pourrais-tu être journaliste alors que tu as tant de mal avec les chiffres ? Imagine que tu doives donner une information chiffrée, tu n’y arriverais pas”. Et à 13 ans, l’idée de devenir journaliste me quittait définitivement. Au bac, on m’a dit, ainsi qu’à une camarade, que nous ne devrions pas passer de concours, et que nous n’obtiendrions pas de diplôme d’études supérieures. Nous nous sommes présentées et nous avons réussi. Mes notes n’étaient pas très hautes, mais suffisantes pour entamer les études que je voulais et pour les terminer. © Sandra Niza / Facebook
  • En terminale, en début d’année, on avait un prof de maths assez vieux, qui entrait en classe, s’asseyait et nous donnait des exercices à faire. Pendant ce temps, il s’endormait. Comme j’étais délégué de classe, mes camarades m’ont harcelé pour le balancer auprès de la direction afin qu’on nous attribue un nouveau professeur. C’est ce que j’ai fait. Nous avions donc un nouveau prof de maths. Quelques jours après, en entrant en classe d’électronique, quelle ne fut pas ma surprise en découvrant que c’était lui qui nous faisait cours. Il ne m’a jamais mis de bonne note, même si je faisais de mon mieux. Je me suis présenté six fois à l’examen, mais je n’arrivais jamais à obtenir la moyenne. Je lui ai donc demandé pourquoi, et il m’a dit : “Tu te souviens, quand vous m’avez balancé avec ta classe ? Tant que je serai là, tu ne passeras jamais ton examen”. Du coup, je l’ai passé un jour où il n’était pas là, et je l’ai eu. De supers souvenirs. © Juan Mateo Juarez Gonzalez / Reddit
  • Oui, ça arrive. Moi, c’était une prof de chimie de la fac qui s’est énervée parce que je savais répondre à toutes les questions de son examen. Alors elle m’a mis un 16/20 au lieu de la note maximale. Je lui ai demandé pourquoi, et elle m’a répondu qu’il était impossible d’avoir toutes les bonnes réponses sans tricher. Je lui ai dit que je pouvais refaire l’examen devant elle, mais elle n’a pas voulu. Selon elle, sans même m’avoir vu, elle savait que j’avais triché. Quand je lui ai avoué que j’avais déjà fait une année de chimie, elle m’a regardé droit dans les yeux en me disant : “Ça ne prend pas avec moi”. Et je ne pouvais pas me plaindre parce que même sa hiérarchie la craignait. La seule chose que j’ai pu faire, ça a été de leur demander de me mettre un autre professeur parce que nous étions déjà trop d’élèves pour une seule prof. Ils ont accédé à ma demande. J’ai pu étudier la matière avec un autre prof qui était d’ailleurs bien meilleur qu’elle. © Usagy Cheito / Facebook

Alors, quel professeur a indéniablement marqué ta vie ? Raconte-nous dans les commentaires !

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