15+ Amis qui semblent avoir séché tous les cours de solidarité et de tact

Histoires
Il y a 1 heure
15+ Amis qui semblent avoir séché tous les cours de solidarité et de tact

Parfois, l’amitié ne se résume pas aux rires, au soutien et aux souvenirs chaleureux. Elle nous réserve aussi des situations inattendues et des anecdotes hilarantes. Dans cette sélection, découvre des histoires qui montrent que les relations amicales prennent toutes sortes de formes, et que c’est précisément ce qui les rend si vivantes et authentiques.

  • Je suis tombée amoureuse de l’ex-mari de ma meilleure amie. Une relation s’est développée entre nous. Ils sont divorcés depuis cinq ans. Et là, elle m’appelle pour me dire qu’il lui manque. Je ne peux pas trahir sa confiance comme ça. Je suis déchirée. Et pourtant, hier encore, j’étais si heureuse... © Ne vse poimut / VK
  • Ma première relation a volé en éclats à cause d’une amie de ma copine qui s’en mêlait constamment. Passons les détails, mais depuis, j’ai un principe : n’avoir absolument aucune interaction avec les copines ou les femmes de mes amis. Les apercevoir, juste pour m’en souvenir le visage, et c’est tout. Même lors d’un mariage, j’évitais au maximum la fiancée de mon meilleur ami ; quand j’ai porté un toast aux jeunes mariés, je n’ai mentionné que lui. Ce n’est pas de la haine, c’est simplement que je ne veux à aucun prix, même par accident, devenir cet ami qui détruit un couple. © Podsluchano / VK
  • J’avais une amie depuis le lycée. Lorsque j’étais en deuxième année de fac, un grave problème familial a fait chuter nos revenus. Je survivais à peine avec très peu d’argent, et souvent, je n’en avais plus pour manger. Une fois, je me suis tournée vers cette amie pour lui emprunter de l’argent pour le déjeuner (elle était au courant de ma situation). Elle m’a répondu qu’elle ne pouvait pas m’aider car elle devait s’acheter un nouveau pull. En revanche, une bonne connaissance, également étudiante, m’a prêté sans hésiter de l’argent pour la nourriture. C’est à ce moment-là que j’ai compris que la première n’avait jamais été une véritable amie. © Podsluchano / Ideer

“Mon collègue a demandé à un ami de lui couper les cheveux”

  • J’étais amie avec elle depuis le CP, nous avions toujours été inséparables, et nous avions maintenant plus de quarante ans. Chacune avait derrière elle un mariage, nous avions partagé toutes les fêtes et les moments difficiles, nous nous étions toujours soutenues. Il y a quelques années, je suis devenue cheffe du service commercial dans mon entreprise. Et c’est là que ça a commencé... Chaque rencontre était ponctuée de remarques du style : " Pourquoi tu parles/regardes/penses comme ça ? T’es devenue trop grande chef, c’est ça ? " Puis elle a complètement cessé de me parler, comme pour me punir. Et lors d’une réception, nous avons fait semblant de nous réconcilier... Mais je n’en avais déjà plus besoin. © Podsluchano / Ideer
  • C’était il y a une dizaine d’années. Je venais de divorcer et, dans mon nouvel emploi, j’ai fait la connaissance d’une jeune femme. Elle louait un appartement et, pour payer moins cher, elle m’a proposé d’emménager avec elle. L’appartement était très cosy et parfaitement équipé. Nous avons vécu ensemble environ un an, en parfaite harmonie. Elle a rencontré un homme et a décidé d’aller vivre avec lui. J’étais en déplacement professionnel à ce moment-là, et à mon retour, j’ai été un peu estomaquée. Il ne restait littéralement plus que le canapé et le réfrigérateur dans l’appartement. En soi, je ne lui en veux pas, je pensais que tout ça appartenait à la propriétaire. Mais c’est mon problème, après tout, j’aurais dû vérifier. © tata30ar / Pikabu
  • Dans ma jeunesse, après mon divorce, j’ai décidé de partir travailler à l’étranger avec ma meilleure amie. Nous avons loué un studio et, au bout de quelques jours seulement, j’avais déjà trouvé un emploi. Mon amie, elle, restait à la maison, se plaignait et me reprochait : “Je m’ennuie et je me sens très seule, tu travailles tout le temps et tu ne t’occupes pas de moi !” C’est à ce moment-là que j’ai compris ce que pouvait ressentir un homme qui travaille dur, avec une femme qui lui casse les pieds à la maison. Heureusement, cette amie est restée dans le passé. © Podsluchano / Ideer
  • Nous avions convenu avec des amis de partir en voyage organisé à la mer. Nous avions planifié pendant six mois, choisi une date où tout le monde pouvait prendre des jours de congé. Une semaine avant le départ, la femme d’un des amis a annoncé que tout devait être reporté. La raison ? L’anniversaire de sa sœur, avec qui elle était brouillée, mais avec laquelle elle venait soudainement de se réconcilier. Naturellement, nous n’avons pas pu tout annuler et nous sommes partis sans eux. À notre retour, elle a affirmé que puisque nous lui avions gâché ses vacances, nous devions lui verser une compensation pour préjudice moral. © Podsluchano / VK
  • Mon amie pense que je l’ai trahie. Nous nous sommes connues au travail et sommes devenues amies. L’autre jour, on m’a appelée de son nouvel employeur potentiel pour me demander des références. J’ai répondu honnêtement, en disant les choses comme elles sont. Ensuite, mon amie m’a appelée et s’est mise à hurler, disant que je lui avais donné une mauvaise référence. Eh bien, premièrement, pourquoi aurais-je dû mentir ? En tant que collègue, elle n’est vraiment pas géniale. Et deuxièmement, elle aurait au moins pu me prévenir qu’elle avait donné mon numéro et qu’elle cherchait un autre travail. Là, c’est tombé comme un cheveu sur la soupe. © Podsluchano / Ideer
  • Le fils de mon amie a un an de moins que ma fille. Quand ma fille avait cinq ans, je partais en session d’examens, j’étudiais par correspondance. Je rentrais à la maison le week-end. Lors d’un de mes retours, je lui avais acheté un ballon très coloré, elle l’adorait, elle ne le lâchait pas. C’est à ce moment-là que cette amie est venue me rendre visite avec son fils. Le petit s’est mis à hurler, exigeant que ma fille lui donne le ballon qu’elle venait de recevoir. Mon amie m’a prise à part et m’a dit : “Reprends-lui le ballon, donne-le à mon fils, et je te rembourserai, sinon il va pleurer.” J’ai bien sûr été sidérée par cette demande. Je lui ai répondu : comment tu imagines ça ? Je lui arrache son ballon, le cadeau de sa maman qu’elle n’a pas vue de la semaine, pour le donner à ton fils ? Il va arrêter de pleurer, et qu’est-ce que ma fille est censée ressentir, elle ? Mon amie s’est vexée contre moi. Une ex-amie. © Kstepa / Pikabu

“Une amie m’a demandé de lui couper les cheveux. J’ai fait de mon mieux. J’espère que nous sommes toujours amies”

  • J’ai trouvé l’offre d’emploi de mes rêves. Mais mon amie Irène m’a convaincue de ne pas envoyer mon CV. Une semaine plus tard, on m’appelle : " Comment pouvons-nous joindre Irène ? " Il s’est avéré que ma chère amie avait non seulement postulé à “ma” place, mais avait aussi donné mon numéro. J’ai décidé de lui donner une leçon sur-le-champ. J’ai simplement dit qu’elle avait déjà trouvé un autre emploi. Qu’elle se débrouille maintenant pour chercher, comme moi.
  • J’avais une meilleure amie, notre amitié a duré de nombreuses années. Tous nos week-ends étaient toujours ensemble, nous faisions même des nuits les unes chez les autres. Mais une opportunité de carrière dans une autre ville s’est présentée à moi de façon inattendue, et j’ai déménagé en l’espace de trois jours. Et cette “amie” m’a reproché de l’avoir abandonnée, de l’avoir laissée seule, d’affirmer que je n’aurais pas dû partir. Mais bon sang, c’était mon ticket gagnant, j’ai saisi ma chance, j’ai travaillé dur, j’ai réalisé la carrière dont je rêvais. Depuis, je n’ai plus jamais tissé d’amitié aussi proche. © PodsluchanI / VK
  • J’avais ce genre d’amie. Elle ne poussait pas trop le bouchon, mais c’était toujours un coup de main : soit emmener son chien chez le vétérinaire, l’attendre, le ramener, soit faire les courses, puis l’aider à tout monter dans son appartement, soit encore aller récupérer quelque chose pour le lui apporter. Je n’étais pas particulièrement contre, pourquoi ne pas aider puisque j’ai une voiture et elle non. Bien sûr, personne ne m’a jamais remboursé l’essence. Mais ces petits trajets ont pris fin lorsqu’elle a eu besoin que je lui livre du fumier pour son potager, en sacs. J’ai refusé, car je n’avais vraiment pas envie de devoir nettoyer mon coffre ensuite, ayant justement passé des heures à faire briller toute ma voiture. Elle m’a alors reproché de ne pas prendre la voiture de mon mari. Lui a un pick-up, évidemment ça aurait pu se transporter, et le nettoyer ensuite aurait été plus simple, mais j’ai tout de même refusé. J’ai dit que j’avais peur de conduire de si grosses voitures. Mais le plus vexant, c’est quand je lui ai demandé pourquoi son propre mari ne le lui apportait pas, si c’était si urgent. Elle m’a répondu qu’ils n’avaient pas envie de devoir laver leur voiture ensuite, et que ça allait sentir. Donc, ils sont trop paresseux, et moi, apparemment, je suis censée en être ravie. Une logique renversante. Je ne fais plus le taxi gratuit. Et mes contacts avec elle se sont réduits au strict minimum. © Nychtotakoe123 / Pikabu
  • Je suis là, furieuse, parce qu’une amie est venue me voir avec sa fille. Je les ai merveilleusement bien accueillies, je les ai emmenées partout, les ai nourries avec des petits-déjeuners et des dîners, à la maison et au restaurant. Et ce, alors que j’ai moi-même un bébé allaité. Et aujourd’hui, quand mon amie a payé l’entrée du parc et que sa fille (13 ans) a demandé : " Mais pourquoi on paie pour elle ? “, la mère ne s’est même pas donné la peine de lui expliquer que jusqu’à présent, c’est moi qui avais tout payé. J’ai été outrée et j’ai répondu que ce n’était pas agréable à entendre. La mère a dit à sa fille : ” Tu es une enfant, tu dois dire tout ce que tu penses. " Il n’y a qu’une conclusion à en tirer : " Je me passe volontiers de ce genre d’amies. Et de leurs enfants mal élevés aussi. “. © Upadi2403 / Pikabu
  • Une de mes amies a un enfant en bas âge. Nous sommes toutes les deux mariées. Je n’ai pas d’enfants. Elle est en congé parental, je travaille. Son mari gagne presque deux fois moins que le mien. Du coup, je lui raconte où nous sommes allés, ce que nous avons acheté. Et elle, elle n’a pas grand-chose à partager. Ils ne sortent nulle part. J’ai honte de vivre mieux qu’elle. Mais lui donner de l’argent n’est pas une solution. Je l’invite à se promener, au café à mes frais, elle accepte parfois. Son mari ne peut même pas l’emmener prendre un café. Ça me fait de la peine pour elle, son mari n’est pas très débrouillard. Je ne sais pas comment continuer cette amitié. © Podsluchano / Ideer
  • Il y a quatre ans, mon père a quitté le foyer. Il n’est pas parti avec n’importe qui, mais avec ma “meilleure” amie, qui a 20 ans de moins que lui. J’en ai longtemps souffert, et ma mère n’arrivait tout simplement pas à sortir de sa dépression. Mais nous nous sommes soutenues mutuellement, nous avons essayé de recommencer une nouvelle vie et nous y sommes parvenues. Ma mère a trouvé un homme merveilleux, gentil et attentionné, avec qui tout se passe bien. La douleur s’est estompée, je suis heureuse parce que maman est heureuse. Mais cette “amie”, elle, ne comprend toujours pas pourquoi j’ai cessé de lui parler. © Ne vse poimut / VK

Nous comptons souvent sur nos amis pour trouver réconfort et force dans les moments difficiles, en attendant d’eux loyauté et compréhension. Pourtant, la vie met parfois ces attentes à rude épreuve. Bien que ces expériences puissent être profondément blessantes, elles nous enseignent aussi d’importantes leçons et nous aident à grandir en les surmontant.

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