15 Anecdotes de bureau à raconter en disant “Toute l’équipe en est morte de rire”

Histoires
Il y a 1 jour
15 Anecdotes de bureau à raconter en disant “Toute l’équipe en est morte de rire”

Parfois, le travail ressemble à un éternel recommencement : les mêmes tâches, les mêmes visages et le bruit des claviers. Mais il arrive que cette routine bien huilée déraille, donnant naissance à une anecdote qu’on se raconte ensuite en riant autour de la machine à café. Ce sont ces instants qui transforment les collègues en amis et font sourire même lors du lundi le plus chargé.

  • J’ai travaillé de nombreuses années pour un journal qui publiait notamment des textes officiels. Un jour, notre maquettiste m’a confessé une vieille boulette : elle avait accidentellement inséré dans un document un message copié depuis sa messagerie instantanée — une conversation avec son mari. Et c’est ainsi que c’est parti à l’impression. Ni le correcteur, ni le rédacteur en chef, ni la mairie, ni même un seul lecteur ne s’en était aperçu. © Stroiu jizn / Dzen
  • J’ai été embauchée comme couturière. Un métier que j’ai toujours adoré depuis l’enfance. Je suis là, à travailler avec plaisir en chantonnant. Tout irait pour le mieux si nous n’avions pas une contremaîtresse adepte des cris. Elle semblait incapable de parler normalement, alors elle hurlait, un point c’est tout ! Et elle s’approchait toujours par derrière. Je sursautais à chaque fois en poussant un petit cri de frayeur. La scène s’est répétée à plusieurs reprises. Au point qu’elle a fini par avoir peur de moi elle-même. Les filles en riaient, et depuis, la contremaîtresse ne m’aborde plus par derrière. Elle fait désormais un détour pour que je la voie, m’agite la main, et seulement alors elle s’approche. Mais elle continue de crier, cela va de soi ! © Ne vse poimut / VK
  • Mon mari est mécanicien automobile et travaille loin de chez nous, par roulements. Récemment, on l’a rappelé urgence pendant ses congés. Quand il m’a appelée, j’ai tout de suite senti à sa voix qu’il était furieux, même s’il essayait de se contenir. On entendait des rires en fond. Il m’a alors demandé : " Peux-tu aller voir dans les jouets du petit ? " J’ai ouvert le bac... et j’ai compris immédiatement. À l’intérieur, il y avait un marteau, un tournevis, des pinces. Les vrais.
    Tandis que dans la valise de mon mari... il n’y avait que leurs versions en plastique. En faisant sa valise, il n’avait pas remarqué que notre fils avait échangé ses outils contre les siens. Il avait préparé papa pour le travail — à sa manière. © Mamdarinka / VK
  • J’ai acheté un jean, je l’ai porté au travail. Mes collègues étaient ravies, mon moral était au beau fixe ! Mais j’ai fini par remarquer que tous les compliments suivaient le même modèle : " Sympa ce jean ! Il doit être cher, non ? " Et juste avant de quitter le bureau, j’ai découvert l’énorme étiquette de prix qui dépassait de la poche arrière. Personne n’avait donc rien dit ! Bon, au moins, le jean était vraiment cher, cela restait une consolation. © Ne vse poimut / VK
  • Je cherchais désespérément du travail. J’ai essayé de me faire embaucher comme manutentionnaire dans l’entrepôt le plus proche. J’étais assis à discuter avec le responsable quand, à un moment donné, il m’a déclaré : " Non, voyez-vous, vous n’êtes pas assez ambitieux pour travailler ici. " En réponse, j’ai saisi la table autour de laquelle nous étions assis, je l’ai soulevée et l’ai tranquillement transportée à l’autre bout de la pièce. Il m’a dévisagé, interdit, avant de lâcher : " Bon, d’accord... on vous prend ! " © Ne vse poimut / VK
  • Je venais d’être embauchée. Je ne connaissais pas encore la cheffe de service puisqu’elle était en congés. La collègue assise à côté de moi ne cessait de parler de “joaillerie”. Mais je n’écoutais qu’à moitié, trop absorbée par mon travail. Je me disais, après tout, chacun ses passions. Et là, la cheffe est revenue de vacances. J’ai alors découvert qu’elle s’appelait Madame Joaillier, et que ma collègue essayait justement de me parler d’elle depuis le début. © Podsluchano / Ideer
  • Un collègue s’endormait régulièrement dans son fauteuil de bureau, qu’il trouvait “trop confortable pour travailler”. Il a finalement “résolu” le problème en dévissant tout simplement le dossier. Je lui ai alors demandé : “Mais pourquoi ne pas avoir tout simplement pris un tabouret ?” Il m’a répondu avec une parfaite sincérité : “Un tabouret ? Et qu’est-ce que j’aurais dévissé, alors ?” © Ne vse poimut / VK
  • Nous discutions entre collègues d’un parfum et du fait qu’il est devenu rare de croiser cette fragrance mythique. Une collègue d’un autre service passe à ce moment-là. Nous nous sommes exclamées : " La voilà ! La vraie ! " Nous nous sommes précipitées pour lui demander quel parfum elle portait. Gênée, elle nous a répondu : " Les filles... je viens tout juste des toilettes. J’ai utilisé le nouveau désodorisant. " Quels fous rires nous avons eus ! © Natalia / Dzen
  • Dans notre bureau, nous avions un programmeur, appelons-le Gérard. C’était un excellent spécialiste, toujours bien vu par la direction. Mais il avait un défaut que toute l’équipe lui reprochait : il adorait picorer la nourriture des autres dans le frigo commun. Je l’ai surpris à plusieurs reprises en train de décoller le scotch du goulot de ma bouteille de lait. Sa réponse était toujours la même : " C’est juste pour alléger mon café ". Nous avons tout essayé pour le faire arrêter. Il se plaignait de vivre seul, de ne pas savoir cuisiner, bref, il jouait sur la corde sensible. Tout a changé en un jour. Un matin, Gérard est arrivé, a fièrement déposé au frigo une bouteille de lait et un tupperware de boulettes et de pommes de terre sautées. C’est ainsi que nous avons tous compris qu’une femme était entrée dans sa vie. Depuis, il ne touche plus à la nourriture des autres. © POZOR / VK
  • Je travaille à distance avec une charge de travail assez intense. J’ai pris plus de responsabilités que prévu, ce qui affecte parfois mon sommeil. Lors d’une visioconférence avec l’équipe, je me suis endormi sans m’en rendre compte. Je ne me suis réveillé que six heures plus tard, le cou complètement bloqué, pour découvrir quarante appels manqués. Mes collègues avaient tenté de me réveiller, mais mon téléphone était en mode silencieux et mon sommeil, apparemment, très profond. Je m’attendais à des remontrances de mon supérieur, mais il m’a félicité ! Il s’est avéré que j’avais murmuré dans mon sommeil, et toutes mes paroles concernaient le travail. Mon chef m’a même accordé quelques jours de repos et a repoussé les échéances, déclarant que j’incarnais un véritable engagement professionnel. Finalement, être un bourreau de travail n’est pas toujours un défaut. © Rabochie istorii / VK
  • Une nouvelle collègue nous a rejoints. C’était une personne pour le moins étrange. J’avais même alerté notre responsable, mais il n’avait pas voulu m’écouter. Un jour, alors qu’elle travaillait sur ordinateur, elle s’est cassé un ongle. Cette dame a non seulement exigé que l’entreprise lui paie une nouvelle pose, mais elle a aussi réclamé une compensation pour préjudice moral. Puis elle a fini par démissionner. Nous plaisantons maintenant en disant qu’elle ne doit postuler ailleurs que pour renouveler sa manucure. Après tout, nous ignorons toujours les véritables raisons de son départ dans ses trois emplois précédents. © Caramel / VK
  • Je me suis rendue à un entretien d’embauche. En chemin, j’ai rencontré une petite dame âgée, nous avons discuté. Elle m’a affirmé que dans cette entreprise, les hommes étaient sans cesse en train de harceler les femmes, et m’a déconseillé d’y postuler. Je suis arrivée sur place. Je n’ai vu que des femmes. Quand j’ai posé des questions sur ces hommes, elles m’ont répondu presque en chœur : " Ah, vous avez croisé Anne-Marie ? Elle raconte ça à tout le monde. Elle garde le poste de comptable pour sa petite-fille, qui est encore à la fac. " Or, je postulais justement pour le poste de comptable. Belle tentative, mamie, j’ai bien failli m’y laisser prendre ! © Caramel / VK
  • J’avais des doutes sur la relation de mon mari avec sa collègue. J’ai décidé de prendre les choses en main. Son entreprise organisait un événement où les conjoints étaient invités. Je m’y suis rendue. Cette collègue s’est précipitée vers moi, toute souriante et amicale, au point que cela m’a immédiatement mise en alerte. Mais au fil de la conversation, une révélation : cette femme était géniale ! Elle est mariée, et mon cher époux ne l’intéresse absolument pas. Nous avons découvert tellement de points communs que nous sommes devenues amies. Et le plus drôle dans l’histoire : c’est elle qui me tient maintenant au courant de ce que mon mari fait vraiment au bureau. La jalousie, c’est une chose, mais grâce à elle, j’ai trouvé une alliée précieuse. © Mamdarinka / VK

Au final, il faut bien l’admettre : la vie de bureau réserve parfois des situations si imprévisibles et insolites qu’elles dépassent souvent la fiction.

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