15 Endroits Qu’il Vaut Mieux Ne Pas Explorer Via Google Maps

Derrière ces énormes portes d’acier se trouve l’un des endroits les plus surveillés de la planète. Il est connu sous le nom de “Site-R” ou “complexe montagneux de Raven Rock”. Tu le trouveras en Pennsylvanie. La construction se trouve 60 étages sous terre et on dit que c’est un abri sûr pour les gens, en cas de catastrophe naturelle ou origine humaine... Il n’y a pas beaucoup d’informations en ligne sur ce lieu mystérieux, mais ce que nous savons, c’est qu’il est équipé de pas moins de 38 systèmes de communication ! Il n’est évidemment pas possible de le “visiter” via Google Earth, mais tu peux jeter un coup d’œil rapide aux deux portes massives qui font face au complexe.

La Cité du Vatican est l’une des enclaves les plus célèbres au monde. Et elle vaut certainement la peine d’être visitée, en raison de sa merveilleuse architecture et de sa vaste gamme d’œuvres d’art. Un lieu, cependant, sera toujours interdit aux visiteurs : les Archives secrètes du Vatican. Elles recèlent certains des livres les plus anciens et les plus rares de la planète. Ces archives ne sont accessibles qu’à un nombre très limité de personnes. Et comme elles n’ont été consultées que par très peu de gens jusqu’à présent, elles sont aussi la source de beaucoup de théories bizarres — par exemple, qu’il y aurait des ouvrages prouvant la vie en dehors de notre planète !

Si tu es fasciné par les épaves, tu seras intéressé de savoir que l’une des plus grandes épaves que tu puisses voir sur Google Earth se trouve sur l’île de North Sentinel, en Inde. Ce navire se nommait autrefois le S.S. Jassim. C’était un ferry bolivien qui a coulé dans cette zone en 2003.

La raison pour laquelle les gens ne peuvent pas la visiter en personne n’est pas à cause du navire en lui-même, mais parce que l’île abriterait la tribu la plus dangereuse au monde. Nous ne savons pas vraiment combien de personnes y vivent, mais on estime qu’entre 50 et 400 individus y ont élu domicile. Et ils n’aiment vraiment pas les touristes. Aucune personne qui ait tenté de les joindre n’y a survécu. Aussi, afin de préserver leur mode de vie et leur statut particulier, l’île est étroitement surveillée par les autorités indiennes. C’est surtout parce que l’on pense que les habitants ne sont pas immunisés contre les maladies modernes... Ainsi, entrer en contact avec des étrangers pourrait être très dangereux pour les membres de la tribu, puisqu’ils n’ont jamais vu le monde extérieur.

En 2005, un énorme lapin rose est apparu, de nulle part semble-t-il, dans les montagnes italiennes de Colleto Fava. En plus des habitants du coin, certains sont tombés dessus en ligne. Et cette découverte les a rendus perplexes.

Malheureusement, ce lapin de 60 mètres de haut a complètement disparu aujourd’hui. Mais tu peux encore en trouver des images en ligne. Cet objet insolite avait été conçu par des artistes viennois. Ils encourageaient les touristes à grimper, sauter ou même faire une petite sieste sur le très grand lapin. Le but du projet était de permettre aux gens d’éprouver ce que ce serait que de vivre en étant des créatures plus petites. Aucune date n’avait été arrêtée pour un jour déplacer ce lapin et il devait durer au moins jusqu’en 2025... Mais Mère Nature avait d’autres projets...

Une artiste japonaise a décidé de retourner vivre dans son petit village natal, du nom de Nagoro. Mais elle a vite découvert que l’exode rural avait pratiquement vidé la petite localité. Pour faire face à la solitude, elle a commencé à assembler des poupées semblables à des épouvantails japonais — les fameux Kakashi — et à les placer un peu partout dans son jardin. Mais elle ne s’est pas arrêtée là. L’artiste a bientôt commencé à faire de même avec de nombreux autres endroits du village, créant des poupées et les disposant comme si elles participaient encore à diverses activités humaines.

Ces poupées ne cessent de se déplacer, elles aussi. Mais l’artiste campe sur son histoire et insiste qu’elle n’y touche jamais... Tu peux voir les images de ce village excentrique sur Google Maps.

Cet étrange “portail” a été découvert via des cartes en ligne de New Baltimore, dans l’état de New York. Et il a refilé aux gens toutes sortes de cauchemars ! Avec ses bâtiments à l’allure effrayante et toutes sortes de silhouettes floues, cette zone est rapidement devenue la source de nombreuses théories étranges sur Internet. Il s’avère que ce n’était rien d’autre qu’un problème technique, qui a fait que ces images ont été rendues de manière déformée. Quoi qu’il en soit, si tu cherches un jour ces images sur Google, tu ne pourras plus les sortir de ta tête.

Cette adorable carte du monde miniature a été créée par un artiste danois. Il a continuellement travaillé sur ce projet fastidieux de 1944 à 1967, en utilisant principalement ses mains et seulement quelques outils pour déplacer les lourdes pierres. Il les a rassemblées au bord de l’eau, puis a recréé une carte du monde à la surface du lac. Pendant l’hiver, il a pu employer un traîneau pour transporter de plus gros morceaux de roche sur la glace, puis les placer dans la position parfaite. Outre les continents eux-mêmes, la carte présente aussi des rivières et des lacs, ainsi que d’autres repères célèbres.

Tu veux jeter un coup d’œil à une mer sans côtes ? Recherche donc la mer des Sargasses. Tu la trouveras dans l’océan Atlantique Nord. Cette mer bizarre est entourée de quatre courants océaniques et d’aucune terre ferme. Elle doit son nom à l’algue qui y pousse : le sargassum.

Des empreintes digitales sur l’objectif d’une caméra satellite ? C’est ce que tu pourrais croire si tu recherches le “Fingermaze”. Il se trouve dans la ville de Brighton, au Royaume-Uni, et c’est une immense empreinte digitale créée à Hove Park. Il comporte aussi un labyrinthe en son centre.

Il peut être vraiment long et fastidieux de trouver des animaux sauvages sur Google Earth... Mais le géo-navigateur a une fonction sympa qui peut t’y aider si tu es impatient de voir des hippopotames et des flamants roses dans leur habitat naturel. Essaie de rechercher “Animaux vus du ciel” et commence à faire défiler les images. Cette fonctionnalité unique peut t’emmener du Kenya à la Namibie et même jusqu’en Antarctique, où tu pourras distinguer des colonies de manchots empereurs !

Il y a certains endroits sur Google Maps qui, pour des raisons spécifiques, sont indisponibles au public en ligne. Comme le Palais Royal d’Amsterdam. Si tu visualises cet endroit via Google Earth, tu verras que tout ce qui entoure le Palais Royal néerlandais est encore visible, comme la végétation et les routes environnantes. Mais la construction elle-même est floue sous tous les angles. C’est probablement parce que les autorités locales réservent les charmes uniques du palais aux seuls yeux des visiteurs.

Il en va de même pour le parc national de Tantauco au Chili. Celui-ci est une réserve naturelle privée, qui ne peut être vue que de loin sur Google Maps. Une fois que tu as atteint un certain point, la fonction de zoom cesse de fonctionner. Certaines personnes disent que, puisque c’est une réserve naturelle, elle pourrait abriter des espèces en voie de disparition, et des mesures extrêmes auraient été prises en vue de leur protection.

Tu sais comme une célèbre marque de poulet frit arbore un certain Colonel sur son logo ? Eh bien, tu ne verras jamais aucun de ces logos en haute résolution sur Google Maps. C’est parce que le géo-navigateur emploie des algorithmes spécifiques pour détecter les visages des gens et les estomper automatiquement. Et comme tu peux le voir, ce n’est pas toujours très précis...

Elle s’appelle l’île aux serpents, et les autorités brésiliennes interdisent aux gens de la visiter — pour une très bonne raison. Tu trouveras l’île non loin des côtes de Sao Paulo. On dit qu’elle abrite plus de 4 000 serpents. Certains des reptiles les plus venimeux de la Terre ont élu domicile ici. Et si ce n’est pas assez effrayant en soi, que dire de ceci : certains sont si dangereux qu’une petite goutte de leur venin suffit à ronger la peau humaine de façon permanente. Tu peux distinguer la forme de l’île sur Google Earth, mais plus tu zoomes, plus elle devient floue...

Et voici encore un truc cool que tu peux faire sur Google Earth : voyager dans le temps ! Du moins en quelque sorte... Tu ne pourras pas littéralement remonter le temps pour te prévenir de réviser davantage en vue d’un examen délicat. Mais tu peux voir certaines images passées de lieux célèbres. Tu peux toujours vérifier si cette fonction est disponible en regardant dans le coin supérieur gauche de l’écran. Si tu peux voir une petite icône d’horloge, elle peut te permettre de faire défiler quelques années en arrière. Tu peux aussi voir comment la lumière du soleil affecte la Terre, en activant la fonction “sunlight”.