19 Photos dont le niveau de bizarrerie est difficile à égaler

De temps en temps, à la recherche d’un plan spectaculaire, les cinéastes font de petits oublis et passent à côté de certaines erreurs. Il est difficile de dire ce qui est à l’origine de ces imprécisions : paresse, inattention ou volonté délibérée d’attirer l’attention sur le film. Mais une chose est sûre : rien n’échappe à l’œil aiguisé des spectateurs méticuleux.
Sur la scène du bal de fin d’année de ses parents, qui a eu lieu en 1955, le protagoniste joue une guitare Gibson ES-345, fabriquée en 1958. Même le fait qu’il ait voyagé dans le passé n’explique pas comment Marty a pu se procurer cette guitare trois ans avant sa commercialisation.
Pendant toute la scène de la rencontre avec la victime d’un crime, la journaliste fait mine de prendre des notes, mais on voit pourtant que le carnet est vierge.
En raison de l’énorme quantité de déchets organiques dans l’océan, son eau n’est pas claire. Mais dans le film, elle est pourtant transparente.
Pendant la scène du dîner, le personnage de Kate Beckinsale s’en va et laisse derrière elle son mouchoir. Le problème est qu’au moment où elle part, il n’y a pas de mouchoir sur la table — il est apparu miraculeusement après quelques secondes.
Lorsque le personnage principal, interprété par Hugh Grant, entre en collision avec le personnage de Julia Roberts, elle lève les yeux et l’on peut voir toute l’équipe du tournage dans le reflet de ses lunettes de soleil.
Dans la réminiscence du personnage de Christopher Walken, la montre indique une certaine heure, mais dès que la caméra s’approche du cadran, on voit que les aiguilles de la montre sont placées dans une position complètement différente.
Au début du film, lorsque le vieux Ptolémée Ier Sôter parle d’Alexandre, on voit à l’arrière-plan le phare d’Alexandrie en fonctionnement. En réalité, sa construction n’a été achevée qu’après la mort de Ptolémée Ier, sous le règne de son fils, Ptolémée II Philadelphe.
La plupart des personnages du film portent des lunettes de soleil avec des verres antireflets. Cependant, le traitement antireflet a commencé à être largement utilisé dans les années 1980, et sa qualité laissait à désirer. Sharon Tate n’aurait pas pu porter des lunettes de ce type en 1969.
Au début du film, on voit un groupe d’hommes transporter Frida, qui est alitée. Allongée, elle se regarde dans un immense miroir au-dessus de sa tête, et ses boucles d’oreilles pendent vers le bas, révélant au passage un secret de coulisses. Dans ce plan, Salma Hayek est debout, et non allongée comme on nous l’a montré précédemment.
Selon l’intrigue, le héros du film se rend à Berkeley, une ville située sur la côte est de la baie de San Francisco. Mais le spectateur peut voir le personnage de Dustin Hoffman conduire sur le tablier supérieur du pont, qui se trouve dans la direction opposée.
La caméra est clairement visible dans le reflet de la poignée de porte dans cette scène. Les réalisateurs ont fait de leur mieux pour la cacher, et ils ont même essayé de la recouvrir d’une veste. Mais cela n’a pas arrangé la situation et les spectateurs attentifs ont remarqué l’erreur.
Dans une scène, les fines bretelles de la robe de Nicole Kidman sont remplacées par des bretelles larges pendant quelques secondes.
En regardant de près, on peut voir des extensions de cheveux sur la tête du fils de la reine.
Tout au long du film, Natalie Portman, qui incarne Anne Boleyn, porte de nombreux modèles de coiffes françaises. Elles sont devenues populaires en Angleterre au XVIe siècle et ont même remplacé la coiffe anglaise traditionnelle. Mais dans une scène du film, les costumiers ont commis une petite erreur : ils ont oublié de peigner les cheveux de l’héroïne en arrière, ce qui contredit totalement les règles du port de la coiffe française. Cette erreur a bien sûr échappé à la plupart des spectateurs, mais les historiens de la mode n’ont pas été satisfaits.
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