15 Personnes qui ont été malmenées au travail, mais ont pu résister

Histoires
Il y a 3 mois

Si les collègues disent “adieu” à l’adéquation, la vie quotidienne se transforme en un spectacle de survie. Mais de nombreuses personnes sont prêtes à affronter de telles situations et elles en sortent victorieuses.

  • Mon patron m’a forcé à déménager seule un bureau de 20 personnes pendant le week-end. Pas de rémunération supplémentaire. Tous les autres employés ont éteint leur téléphone. Le bureau a été déménagé, grâce à une équipe de déménageurs. Le lundi, au lieu de me remercier, mon patron a piqué une crise : pourquoi est-ce que je n’ai pas mis les choses à leur place et n’ai pas branché le matériel ? Puis je suis partie sans me retourner. La vie est trop courte pour la gâcher avec de tels personnages. © Ilona Staller / ADME
  • Une fille qui étudiait à l’université avec moi travaillait également à temps partiel. Elle s’est disputée avec une collègue et a démissionné. Quelque temps plus tard, elle a appelé le service du personnel en se faisant passer pour une employée d’un centre de santé mentale. Elle a demandé si tout allait bien avec cette même collègue, qui aurait manqué la visite médicale prévue. Quelle ingéniosité à l’âge de dix-huit ans ! © Elena Marchuk / ADME
  • J’ai récemment commencé un nouveau travail. L’équipe se compose entièrement des femmes. Même si je suis la plus âgée, elles essaient toujours de me “mordre”. Si j’étais jeune et stupide, je me serais enfuie depuis longtemps. Mais j’ai fait l’expérience de survivre dans des groupes de femmes, alors je m’en fiche. La règle principale est que je ne parle pas beaucoup de soi, je ne me fais pas d’amies. Je me fiche de l’opinion des autres. Je suis venue pour travailler, pas pour susciter des querelles et des ragots. © Eva Adamovic / VK
  • Lorsque j’ai trouvé un emploi, j’ai dit à mon patron, lors de l’entretien, que je ne resterais pas après la fin de la journée de travail. Seulement si ce temps est payé comme des heures supplémentaires. Il a accepté. Mais mes collègues ont commencé à m’attaquer parce que je partais et ils restaient. J’ai continué à partir à l’heure et le patron ne me disait rien. © Podslouchano / Ideer
  • Au travail, il m’arrive souvent de faire des tâches qui ne sont pas les miennes. Je le fais parce que je me sens désolé pour les gens qui n’ont pas le temps de faire quelque chose. Mais un jour, ils commencent à vivre aux crochets de toi. Vous travaillez dur et eux se sentent à l’aise.
    Quand ça s’accumule, je commence à m’énerver et à les mettre à leur place. Ils se sentent offensés. Je suis un superviseur. Et nous sommes tous amis. De toute façon, je n’aurais pas dû me faire des amis au travail. © Podslouchano / Ideer
  • Lorsque j’étais étudiante, j’ai travaillé à temps partiel dans un magasin de sacs à main. Mes collègues étaient deux filles qui me répétaient sans cesse que mes études étaient nulles et que j’aurais mieux fait de ne pas perdre mon temps à l’université. Leur plaisanterie s’est arrêtée lorsqu’une cliente riche et excentrique est entrée et que personne d’autre que moi n’a pu l’aider. Elle demandait quelque chose en anglais. Et personne ne parlait anglais à part moi. Elle a alors dépensé une grosse somme d’argent, et mes supérieurs m’ont offert une promotion.
  • J’ai trouvé un emploi à 22 ans. Toutes les femmes avaient la quarantaine et elles ont commencé à me mettre à l’écart. Elles n’arrêtaient pas de dire que j’étais nulle et qu’elles étaient plus âgées et plus intelligentes. Je n’arrivais pas à les remettre à leur place. En partant, je leur ai souhaité que leurs enfants aient la même équipe. Trois ans ont passé et je suis tombée sur ce poste vacant dans cette même organisation, et j’ai découvert que personne ne pouvait travailler là depuis si longtemps. © Histoires de travail / VK
  • Dans mon ancien travail, j’avais l’habitude de demander de l’argent pour mon aide. Par exemple, une collègue m’a demandé de faire un rapport — 100 euros. Puis une autre personne est venue à sa place. Elle a dit qu’elle ne paierait pas. Elle a dit qu’elle n’était pas bête. Moi non plus. © Podslouchano / Ideer
  • Un jour, j’ai postulé pour un emploi dans une société d’évaluation immobilière. Le directeur m’a posé des questions sur l’histoire de manière désobligeante. Pas une seule question sur le travaili. J’ai répondu à la plupart des questions. Il a fait une remarque sarcastique sur mon intelligence et je suis partie très triste. Le soir, il m’a appelé pour me dire que j’étais embauchée. Bien sûr, je n’ai pas accepté de travailler là-bas. © Podslouchano / Ideer
  • Lorsque je faisais mes études, je travaillais trois heures par jour. Quand j’ai obtenu mon diplôme, j’ai été embauchée à temps plein. J’ai proposé mon ancien poste à mon amie, qui était encore étudiante. Nous travaillions dans le même bureau et, pour une raison ou une autre, mon amie a décidé que si elle étudiait, je devais l’aider. Et lorsqu’elle ne peut pas aller travailler, je dois tout faire pour elle, et elle recevra un salaire. Je n’ai plus d’amie, nous ne nous disons même pas bonjour lorsque nous nous rencontrons. © Podslouchano / Ideer
  • Un jour, je me suis rendue au bureau pour un deuxième entretien. Il y avait de grandes fenêtres donnant sur le parking et j’ai remarqué une voiture similaire à la mienne dans la place réservée aux handicapés. Je suis entrée et le directeur m’a regardée d’un air sombre. Il m’a posé des questions de manière un peu brutale. Mes réponses l’agaçaient. Puis il m’a dit : “Vous garez-vous toujours sur les places réservées aux handicapés ?”. J’étais choquée. Il se demandait comment j’avais le droit de me garer ainsi sur un lieu d’emploi potentiel. Je lui ai répondu : “Ce n’est pas ma voiture !”. Et il m’a répondu : “Prouvez-le !”. J’a attrapé mon sac à main et j’ai quitté le bureau en courant. Sa fierté s’est rapidement estompée lorsque j’ai rejoint ma voiture à un autre endroit et que je suis montée dedans. Je ne me suis même pas retournée en partant. © invisibuni / Reddit
  • J’ai travaillé dans le domaine de l’informatique. Nous n’avions pas d’horaire strict dans notre entreprise jusqu’à l’arrivée d’un nouveau directeur. Il nous a fait travailler strictement de 9h00 à 17h00. La productivité a chuté, car la programmation est un processus créatif qui exige de la flexibilité. Après cela, la direction a organisé une conférence en ligne urgente pour discuter des raisons de notre échec. Elle était prévue pour 16h30. Et à 17 heures précises, l’un des employés a déclaré : “Selon la nouvelle règle du ’9 à 17′, nous devons nous déconnecter immédiatement”. © TheBigCahoona43 / Reddit
  • Lorsque je suis arrivée à mon premier emploi en tant que jeune spécialiste dans une grande entreprise, j’avais très peur de tout le monde et, pour une raison ou une autre, la patronne ne m’aimait pas. Une femme méchante et hypocrite. Les premiers jours, je suis allée la voir avec des papiers à signer, qui sont tombés et se sont éparpillés. Elle a crié : “Vous ne pouvez rien faire !”. J’ai été choquée par cette attitude, je suis rentrée chez moi en larmes et j’ai décidé que je ne resterais pas là un jour de plus que la période indiquée dans le contrat.
    Pendant deux ans, j’ai prouvé que j’étais une grande spécialiste, mon salaire a été doublé, mon travail était de grande qualité, de nombreux projets m’ont été confiés, mes collègues de bureau m’adoraient. Vers la fin du contrat, cette personne m’a appelé, a commencé à me persuader de rester. Et le plus drôle, c’est qu’elle m’a dit : “Peut-être que je t’ai fait quelque chose personnellement. Alors dis-le-moi, on va régler ça”. J’en ris encore. © Podslouchano / Ideer
  • J’ai trouvé un nouvel emploi. La patronne est méchante, mais j’ai été séduite par l’argent, le salaire est vraiment bon. La patronne a une façon terrible de communiquer : elle m’humilie, elle crie. Apparemment, elle pense que c’est la seule façon de réussir. Mais à chaque fois, les filles courent aux toilettes pour pleurer, et quelqu’un n’en peut plus et démissionne.
    J’ai trouvé une solution. Je me suis liée d’amitié avec le département des ressources humaines, et chaque fois que la patronne appelait, j’augmentais le son pour que tout le monde puisse l’entendre crier. Au bout d’un mois, on a fait une enquête concernant les superviseurs. Ils nous ont demandé si nous étions satisfaits de tout. Et quand ils ont vu que tout le monde avait voté à l’unanimité en faveur d’un changement de direction, ils ont supprimé cette patronne méchante et promu notre responsable. Aujourd’hui, tout le monde est heureux et travaille avec plaisir. © Histoires de travail / VK

Ces employés ont quitté leur travail pour des raisons qui mettraient tout le monde d’accord.

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