15+ Personnes racontent leur premier amour avec une touche de tendresse et de nostalgie

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15+ Personnes racontent leur premier amour avec une touche de tendresse et de nostalgie

Tu te souviens de ce sentiment ? Quand le monde tout à coup se remplissait de couleurs, que ton cœur battait à toute allure, et qu’un simple message valait plus que tous les trésors du monde. C’était le premier amour. Celui qui sentait la pluie de printemps, les premiers baisers et l’espoir d’un " ils vécurent heureux pour toujours ".

  • Il avait 21 ans, moi 16. J’étais son premier amour. Pendant deux ans, il m’a courtisée : fleurs, messages, attentes sous ma fenêtre — il n’osait même pas respirer trop fort près de moi. Ses parents lui ont acheté un appartement pour qu’il se marie, et j’étais presque prête à dire oui. Jusqu’au jour où il m’a invitée à découvrir notre " futur chez-nous “. Là, il a fait cuire un paquet de raviolis... et m’en a servi six (j’arrivais tout droit des cours, affamée). Et la sauce tomate ? Il l’a gardée pour lui — ” c’est la dernière ", qu’il a dit. Des raviolis du destin, en somme. © Podsluchano / Ideer
  • Je faisais du tri dans mes vieilles affaires, fouillant dans des boîtes pleines de souvenirs. Ma fille, assise à côté, farfouillait elle aussi. À un moment, elle sort une petite pile de lettres liées par un ruban et me demande :
    — C’est quoi, ça ?
    J’ai senti mon cœur se serrer. C’étaient ses lettres. Celles de mon premier amour. Celui qui promettait de m’épouser, de m’emmener dans une grande ville, de vivre avec moi dans une mansarde avec vue sur les toits, et de me préparer du café tous les matins. Il ne m’a emmenée nulle part. Il a juste disparu. Je ne les ai jamais jetées — je ne sais même pas pourquoi je les ai gardées.
    Ma fille s’est assise, a commencé à lire, puis a ri :
    — Dis donc, maman, c’était un vrai romantique !
    Et là, ma gorge s’est nouée. Les larmes sont montées.
    Pas parce que je regrettais... Mais parce que je me suis souvenue de celle que j’étais.
    Naïve, pleine d’espoir, vivante. © Mamdarinka / VK

" J’ai fait ma demande à l’amour de ma vie au même endroit où nous avons eu notre premier rendez-vous "

  • Nous ne sommes plus ensemble depuis presque 10 ans. La dernière fois qu’on s’est vus en vrai, ça doit bien faire six ans. Mais chaque année, pour mon anniversaire, je reçois de lui le message le plus sincère, le plus attendu. Et il reçoit le même de ma part. Ah... le premier amour. © Podsluchano / Ideer
  • C’était mon meilleur ami, et le premier garçon que j’ai rencontré quand je suis entrée à l’université. Je suis tombée amoureuse de lui en deuxième année. Il était tout ce que j’avais toujours voulu : gentil, attentionné, réfléchi, incroyablement intelligent. Pendant un an et deux mois, je l’ai aimé de tout mon cœur, et j’étais heureuse. Nous ne nous sommes jamais vraiment disputés, on prenait soin l’un de l’autre. Puis les choses se sont un peu figées. On était tous les deux très pris, on s’est éloignés. Aujourd’hui encore, on reste amis... mais je n’arrive toujours pas à l’oublier. © istilloveyoubruh / Reddit

" Je l’ai rencontrée quand j’avais 11 ans, elle a été ma première petite amie, mon premier amour, mon premier baiser. Et maintenant, elle est ma femme "

  • Mon premier amour m’a trouvée au camp d’été. On avait 12 ans tous les deux. Je l’ai vu — et c’était le coup de foudre. Apparemment, c’était réciproque. Une passion d’enfants, mais quelle intensité ! À l’époque, pas d’internet ni de téléphone portable : on s’était promis de s’écrire des lettres. En rentrant du camp, il m’a terriblement manqué. Et cet été-là, il m’a retrouvée — dans une grande ville, presque par miracle. J’étais folle de joie. Je lui ai demandé comment il avait fait ; il m’a juste répondu : " C’est mon cœur qui m’a guidé. " Aujourd’hui, j’ai 48 ans et je suis heureuse en mariage. Mais je n’ai jamais oublié ce tout premier amour. © Podsluchano / Ideer
  • J’avais 15 ans et c’était ma première vraie relation. Par une chaude journée d’été, nous nous promenions en ville quand un orage a éclaté soudainement. Nous nous sommes réfugiés à un arrêt de bus, mais la pluie ne cessait pas et l’eau a commencé à pénétrer dans mes baskets par un trou dans la semelle. Mon petit ami m’a alors immédiatement mise sur ses baskets blanches et m’a serrée très fort dans ses bras. Quand la pluie s’est calmée, il m’a même portée sur ses épaules jusqu’à la maison. Vingt ans ont passé, nous avons rompu depuis longtemps et perdu tout contact, mais personne n’a jamais fait pour moi quelque chose d’aussi romantique et touchant. © Podsluchano / Ideer

" Mon copain et moi fêtions notre anniversaire, et je lui ai offert une fleur avec un mot d’amour. Je pense que les garçons méritent aussi ce genre de romantisme "

  • J’ai déménagé dans une nouvelle ville et trouvé du travail seulement dans une ville voisine. Après le boulot, j’attends à l’arrêt de bus quand un jeune homme s’arrête en voiture et propose de me déposer. Je comprends que c’est une approche classique et refuse. Il me dit alors que c’est le coup de foudre, que je suis sa destinée, et que nous finirons par nous rencontrer et être ensemble. Un mois plus tard, je trouve un emploi dans ma ville, juste à côté de chez moi. Une semaine après, je croise ce garçon. Il travaillait comme commercial et était venu dans notre magasin pour une commande. Nous avons discuté, et le soir, il m’a promis de venir me raccompagner. Il m’a déposée jusqu’à l’entrée de mon immeuble, en riant. Je lui demande ce qui est drôle et il répond : “J’habite dans l’immeuble en face.” Résultat : quatre ans ensemble, trois mariés, un fils qui grandit. Il faut faire confiance au destin. © Mamdarinka / VK
  • Nous avons eu une courte relation en terminale. J’étais son premier amour. J’ai rompu, flânant et flirtant avec d’autres. Plus de 20 ans ont passé ; j’ai ma famille, lui aussi. Lors de la réunion d’anciens élèves, je me suis excusée pour tout ce qui s’était passé. Je regrette mon comportement. Il a eu les larmes aux yeux et m’a dit qu’il attendait ces mots depuis tout ce temps. Sa femme porte mon prénom, m’a-t-il dit. Puis il m’a prise dans ses bras et embrassée sur le front. Pourquoi ai-je ressassé ce sujet après tant d’années ? Je ne sais pas. Mais quelque chose me tourmentait. Maintenant, je me sens comme soulagée. © Podsluchano / Ideer

" J’avais déjà battu tous les gars à l’époque. Il y a 27 ans, à la maternelle. C’est là que ma femme et moi nous sommes rencontrés "

  • On a commencé à sortir ensemble quand on était encore ados. On était jeunes, passionnés, et tout le monde autour de nous répétait que ça passerait, que le premier amour ne dure jamais. Même après notre mariage, certains de nos proches n’y croyaient pas vraiment — beaucoup nous prédisaient un divorce dans les six mois. Certains me disaient que je finirais par vouloir autre chose, quelqu’un d’autre. Mais je ne comprenais pas. Comment pourrais-je vouloir quelqu’un d’autre, quand je la regarde dans les yeux et que j’ai l’impression de m’y noyer ? Quand je la vois et que je me rends compte qu’il n’y a personne d’autre au monde dont j’aie besoin ? Quand elle est là, le monde entier peut bien s’écrouler — tant qu’elle est à mes côtés, tout va bien. Quinze ans plus tard, et je l’aime encore plus fort qu’au premier jour. © Mamdarinka / VK
  • Mon premier amour a donné mon prénom à sa fille. Le plus ironique, c’est qu’il m’a quittée pour la mère de cette fille, puis a complètement disparu. Des années plus tard, il m’a retrouvée sur les réseaux sociaux et m’a " fait cadeau " de cette révélation. Il m’a envoyé une photo de sa fille de 16 ans en ajoutant qu’elle était aussi belle que moi. C’est à la fois touchant... et un peu déroutant ! © Podsluchano / Ideer

" Moi à 4 ans avec ma future femme "

  • En rangeant mon placard aujourd’hui, je suis tombé sur mon vieux lecteur MP3. Quelle nostalgie ! À l’intérieur, les chansons que j’écoutais en 2011. D’un coup, une vague de souvenirs m’a submergé : celles-là, je les passais en jouant avec mes potes ; celle-ci, on l’entendait partout ; et ce morceau de rap, c’est lui qui m’inspirait quand j’écrivais des poèmes pour mon premier amour. Je ne pensais pas que la musique pouvait réveiller des souvenirs aussi vifs. C’est à la fois un peu triste et terriblement doux. Depuis trois jours, je réécoute mes vieilles playlists, pensif. C’était une époque si simple, si spéciale. © Ne vse poimut / VK
  • Dernière année de lycée. Les nerfs à vif, les attentes trop hautes, la pression insupportable. J’étais à bout. Je pleurais dans le couloir quand mon copain a appelé. J’ai menti à la surveillante et j’ai filé en douce. On a roulé en ville, été au cinéma, mangé plein de bonnes choses. C’était une journée de printemps douce et lumineuse, pleine d’insouciance, de rires et de regards complices. La plus belle journée de ma vie. Et le plus beau geste qu’un garçon ait jamais eu pour moi. C’était mon premier amour. © Podsluchano / Ideer

" Il était follement amoureux de sa femme "

  • Le premier garçon avec qui je suis sortie, mon premier amour, m’a fait un compliment que je n’ai jamais oublié : " Tu es tout entière comme le thé. Tes cheveux ont la couleur d’un thé noir bien fort, et toi aussi, tu peux à la fois réveiller, apaiser, apporter douceur et chaleur. La vie sans toi, c’est comme la vie sans thé : froide et sans réconfort. " Depuis, les années ont passé, j’ai connu d’autres hommes, mais jamais aucun compliment n’a égalé celui-là ! © Ne vse poimut / VK
  • Comme tout le monde, j’ai eu ma première histoire d’amour. Nous nous connaissons depuis plus de 14 ans, c’était une relation intense, passionnée. Je pensais vraiment que c’était ma moitié. Puis la vie nous a séparés : deux villes différentes, deux chemins. Aujourd’hui, nous avons chacun une famille, des enfants. Mais parfois, on s’appelle, on se revoit une fois par an ou tous les deux ans. Je sais que ce n’est pas bien... mais c’est plus fort que moi. © Podsluchano / Ideer
  • J’étais assise dans la cuisine, portant le vieux t-shirt de mon copain, celui avec lequel je venais d’essuyer mes mains après la vaisselle. Les cheveux en bataille, une tasse de thé bon marché à la main. En plus, j’étais un peu malade, le nez bouché, pas très glamour. Il m’a regardée, comme s’il me voyait pour la première fois, et il a dit simplement : " Je t’aime. " Sans raison, sans contexte, juste comme une évidence. Et j’ai compris que c’est sans doute comme ça que ces mots devraient sonner — quand tu ne t’y attends pas du tout. © Ne vse poimut / VK

Pour certains, le premier amour a marqué le début d’une grande histoire ; pour d’autres, il n’a été qu’un bref épisode dans une longue série. Mais rares sont ceux qui restent indifférents au souvenir de ce moment, car il s’agit de la personne qui a fait naître en eux leurs premiers sentiments amoureux.

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