La femme de Pierce Brosnan est métamorphosée sur cette nouvelle photo

Bien souvent, on ne peut déroger aux difficultés que la vie nous envoie. Les psychologues suggèrent qu’accepter des circonstances désagréables est bien plus paisible que se laisser abattre et les subir. Face à des problèmes de santé, la tyrannie, ou la parte d’un proche, on risque de perdre espoir. Cependant, si nous essayons d’accepter les changements, comme l’ont fait les héros de cet article, il sera plus simple de se relever.
Chez Sympa, nous avons eu l’idée de dresser une liste des personnes qui ont choisi de ne pas baisser les bras et d’accepter les difficultés qu’elles devaient affronter alors que tout espoir leur semblait perdu. Et nous croyons que ces exemples vont te motiver à rester tout aussi solide mentalement.
“Cela fait quatre ans que j’ai abandonné l’unihockey à cause d’une maladie de pieds. Ce week-end, j’ai à nouveau joué pour la première fois, en tant que double amputé. J’ai même utilisé ma propre chaise roulante personnalisée !”
American Ninja Warrior est une émission télévisée américaine de compétitions sportives.
“À 16 ans, mon conseiller d’orientation m’a dit que je n’étais pas assez douée en mathématiques pour me diriger dans des études spatiales. Pourtant, je viens d’obtenir ma licence en mathématiques appliquées, et dans deux semaines, je commencerai à travailler sur mon Master en Ingénierie et Sciences de l’espace. Accroche-toi et bosse dur !”
“Ma porte de la victoire
375 raisons de changer
100 livres
confiance”
“Récemment, je me suis sentie déprimée, alors j’ai décidé de faire une porte de la victoire, en retraçant mon parcours de perte de poids avec des photos. J’ai commencé à 170 kilos (photos du haut) et je suis aujourd’hui à 122 kilos (photos du bas). J’ai du mal à m’arrêter de sourire”.
“Durant des années, j’ai été malheureux, en mauvaise santé, et j’avais abandonné tout espoir de reprendre un jour mes études après avoir abandonné en Licence. Me voici quelques années plus tard : heureux, en forme, et j’ai commencé un nouveau parcours universitaire, il y a un mois !”
“C’était en 1986. Le bébé, c’est moi. Les docteurs ont dit à mes parents que je ne marcherai jamais. Ils n’ont pas écouté et ont demandé un Xème avis. Ce Xème docteur m’a mis des attelles aux jambes et j’ai fait mes premiers pas le lendemain du jour où cette photo a été prise”.
Y a-t-il une chose à laquelle tu n’as pas renoncé alors que c’était loin d’être simple ? Raconte-nous dans les commentaires ci-dessous !