16 Histoires des relations avec les enseignants qui ont mis à l’épreuve la force et le sens de l’humour

Histoires
Il y a 2 semaines

Tôt ou tard tous les parents sont confrontés à la problématique de la communication avec les enseignants. Par exemple lors des réunions parents-profs. Certains parents s’assoient au premier rang et écoutent tout ce que dit l’enseignant, tandis que d’autres grincent des dents : «Quand est-ce que ça va finir ?!». Mais personne ne reste indifférent.

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  • La maîtresse a convoqué mes parents : «Votre fille fait du mal à tout le monde». Ma mère venait toujours à l’école, mais cette fois, mon père était présent. Et il a demandé à tout le monde : «Qu’as-tu contre elle ?». Soit on ne répondait pas, soit on répondait : «Rien». La maîtresse poussait les filles à être plus courageuses, mais elles sont restées silencieuses. Mon père leur a dit de ne plus l’appeler sans raison, m’a pris par la main et nous sommes rentrés à la maison.

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  • Lors de la réunion, le professeur principal a dit : «Faites pression sur votre fils, il a de mauvais résultats en maths». J’étais surprise, il adorait cette matière. Je lui ai dit : «Prends le devoir pour le corriger». Mais le professeur ne l’a pas laissé faire. À la fin, il nous a envoyé un message : «En quoi est-ce nécessaire que je lui donne un devoir ? Il va tout faire». Il s’est avéré que mon fils ne se comportait pas bien en classe. Il faisait ses exercices trop vite et passait son temps sur son téléphone ou à discuter avec un voisin. Il s’ennuyait. J’ai proposé au professeur de l’appeler au tableau. «Il a réponse à tout», m’a-t-on répondu. Ce n’est pas un enfant, mais un monstre. Finalement, j’ai dit à mon fils de faire ses devoirs pour les autres matières, si les cours des maths étaient ennuyeux. Et j’ai cessé d’aller aux réunions.

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  • Un nouveau garçon est arrivé dans la classe de mon fils aîné, et il s’est avéré que son père était mon ancien camarade de classe. Pendant les deux années que nos fils ont étudié ensemble, nous avons été expulsés trois fois des réunions parents-professeurs pour un problème de comportement, et je ne sais plus combien d’avertissements nous avons reçus.

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  • Il y a un mois, j’ai assisté à une réunion à laquelle tous les parents étaient tenus de participer. En fin de compte, la moitié n’étaient pas présents, mais pas de problème, tout ce qui était important était écrit dans le chat de la classe. Pendant une vingtaine de minutes, nous avons discuté des progrès des enfants et de leur alimentation. Et puis ça a commencé : la remise des brevets approche, et combien les anciens élèves ont dépensé pour organiser la fête l’année dernière, et où aller, et à qui offrir des cadeaux... Au bout d’une heure, je n’en pouvais plus, j’ai dit que je devais y aller et je suis parti.

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  • Hier, j’ai assisté à une réunion à l’école (5e année). Pendant environ 15 minutes, l’enseignante a fait un monologue dont j’ai vaguement compris que tout allait bien, mais que quelqu’un avait eu de mauvaises notes et qu’un autre élève s’était mal comporté. Quelques personnes sont venues poser des questions, mais se sont rapidement dispersées elles aussi. De quoi s’agissait-il ?

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  • En tant que père, je promets solennellement d’assister à toutes les réunions parents-professeurs de mon fils, car nous savons tous que si un père assiste à une réunion, tu n’as pas à t’inquiéter ou à avoir peur, car il ne se souviendra de rien de toute façon.

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  • J’ai deux réunions à venir. Je diviserais les parents en deux camps. Premier camp : «c’est un bébé». Nous ne devrions pas économiser sur les enfants. «Versons 30, non, 50, ou mieux encore 100 euros. Pourquoi utiliser du papier ordinaire dans les toilettes, si on peut le remplacer par du papier mouillé. Changeons la vaisselle écaillée, achetons des brosses en plumes de hibou polaire uniquement, des tables en chêne massif, des draps en soie...». Et tout le reste. Deuxième camp : «je ne donnerai de l’argent à personne». «Vous n’avez pas le droit, je vais appeler la commission de l’éducation, qu’elle s’occupe de vous.». En même temps, ce type de parents acceptent volontiers des cadeaux pour les anniversaires de leurs enfants (et le reste d’entre nous ont collecté de l’argent pour les acheter). Je dois subir cela deux fois.

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