17 Animaux qui sont de vrais petits malins

Animaux
Il y a 2 heures

Quand on adopte un animal, on s’attend surtout à recevoir des câlins et à profiter de son adorable ventre tout doux à grattouiller. Mais certains compagnons à quatre pattes enchaînent des tours si inattendus qu’on finit par se dire : côté malice et intelligence, ils n’ont vraiment rien à nous envier.

  • Notre chien est arrivé un an après la naissance de notre fils, et à l’époque il vivait chez nous depuis peu. Un jour, j’avais laissé le petit faire sa sieste dans sa chambre pendant que je préparais le déjeuner. Quand je suis revenue, la scène m’a coupé le souffle : le chien se tenait debout sur ses pattes arrière et retenait doucement mon fils, qui, dans son sommeil, avait roulé jusqu’au bord du lit. Impossible de dire depuis combien de temps il tenait ainsi, mais ce pitbull robuste et endurant tremblait déjà de fatigue. Je ne l’oublierai jamais. Merci à lui. © Sova / Dzen
  • Ma chatte a récemment mis au monde six chatons. Je vaquais tranquillement à mes occupations quand la maman est venue vers moi en miaulant avec insistance. J’ai fini par la suivre dans la chambre et j’ai compris qu’elle était en panique : elle cherchait ses petits. Alors nous avons commencé les recherches ensemble : je me penche sous le canapé — elle aussi, je regarde derrière le frigo — elle passe devant moi pour vérifier elle-même. On a fouillé tout l’appartement, coin par coin mais pas de chatons ! Épuisée, je me suis assise sur le canapé... et là, j’aperçois une minuscule patte rose qui dépasse d’un coussin. Je soulève le coussin : et voilà les six chatons alignés comme des petites saucisses, chacun le museau collé à la queue du précédent. Sans cette petite patte qui dépassait, je ne sais pas combien de temps encore nous les aurions cherchés ! Je me suis tournée vers la chatte et je lui ai dit : " Voilà tes enfants, maman ! “. © Chorok / Dzen
  • Nous avons adopté notre Mimine adulte, directement du refuge. Un vrai caractère de chat ! Chaque fois que quelqu’un ouvrait le frigo sans lui donner à manger, elle s’effondrait théâtralement par terre — paf, sur le dos, les pattes croisées sur la poitrine. Un soir, mon mari se dirige vers le frigo, Mimine retombe dans les pommes comme d’habitude. Et là, il lui lance : ” Ma belle, les grosses minettes, ça ne joue pas très crédiblement la famine... Il faut penser à changer de rôle. " Depuis ce jour, plus aucun “malaise” de comédienne. © Elina Linberg / Dzen
  • Un ami a un chat très pudique. Il refuse d’utiliser la litière et ne fait ses besoins que dans les toilettes. Un jour, il était tranquillement installé sur la cuvette quand sa maîtresse est entrée par inadvertance dans la salle de bain. Pris de panique, le chat a glissé et — plouf ! — est tombé directement dans les toilettes. On l’a repêché et lavé au shampoing. Depuis ce jour, chaque fois qu’il est assis sur “son trône”, il hurle à pleins poumons, comme pour prévenir : " Ocupéééé ! " © Constantin / Dzen
  • Nous avions en famille une petite pensionnaire : Bagheera, une jeune chatte noire, toujours affamée. On la nourrissait pourtant copieusement avec notre chatte Minou, mais non : il lui fallait sans cesse ronger quelque chose. Un jour, elle a découvert un sac en toile rempli de croûtons de seigle sur le balcon — elle l’a carrément percé de ses dents et s’est mise à les grignoter ! On a rangé les croûtons dans un nouveau sac et les a mis au garde-manger. Et puis, un soir, impossible de retrouver Bagheera. Ma mère demande : " Minou, où est donc passée Bagheera ? " Minou nous regarde, s’approche de la porte du placard et fixe la poignée. On ouvre... et là, Bagheera, l’air innocent, assise au milieu du sac : " Ce n’est pas moi ! Ce sont les croûtons, ils se sont percés tout seuls... " Après ça, chaque fois qu’on perdait Bagheera, il suffisait de demander à Minou : " Alors, où est-elle ? " Et Minou nous menait tout droit à sa camarade gourmande. © Svetlana / Dzen
  • Quand j’étais petite, mon chat m’a sauvée. Ma grand-mère avait fermé trop tôt le clapet du poêle et était sortie de la maison. Je dormais. À mon réveil, je me suis sentie très mal, la tête qui tournait. Mais je n’aurais jamais eu l’idée de sortir seule de cette pièce remplie de monoxyde de carbone. Heureusement, ma chère Grisette a commencé à réclamer de sortir dans le jardin. Elle se tenait à la porte et miaulait bruyamment. Pourtant, elle aurait facilement pu passer par le petit trou du plancher pour sortir toute seule. Mais elle insistait pour que je la suive dehors. Je me souviens avoir à peine réussi à atteindre la porte, l’ouvrir et sortir avec elle. Dehors, j’ai repris mon souffle et attendu ma grand-mère. C’est elle qui a compris ce qui s’était passé. © Elena / Dzen
  • Je suis allergique. Un jour, j’ai eu une crise de bronchospasme très sévère. Allongée, je ne pouvais ni respirer, ni me tourner. Ma chère chatte Suzanne est venue, s’est posée sur ma poitrine et comme pour me dire : " Regarde, je vais t’apprendre ! " Elle m’a réchauffée, m’a aidée à respirer et, toute contente, est repartie s’installer sur son fauteuil. Je repense encore avec émotion à ma petite tricolore adorée. Elle nous a quittés à l’âge de 21 ans. © Marine / Dzen
  • J’avais une chatte, Antonine, qui adorait dormir sur ma poitrine. Un jour, je suis tombée malade : presque 40° de fièvre, je me sentais horriblement mal, le cœur battant à tout rompre, le bras gauche engourdi... Allongée dans mon lit, incapable de bouger un doigt. Soudain, Antonine a sauté sur le lit. Je me suis dit : " Elle va venir sur ma poitrine et m’étrangler... " Mais non ! Elle s’est allongée tout le long de mon côté gauche et s’est figée. Étrangement, j’ai senti ma douleur se dissiper un peu. J’ai commencé à la caresser de ma main gauche, et ma douleur s’atténuait, mon cœur se calmait... Nous sommes restées comme ça jusqu’à ce que je m’endorme. Et puis, elle pouvait aussi hurler comme une folle et courir partout lorsque, dans ma cuisine, un tuyau fuyait. Elle venait me chercher. Les chats sont vraiment des créatures intelligentes. © Olga / Dzen
  • Mon petit frère venait de naître et dormait dans son berceau. Les parents avaient adopté un chiot, qui avait bien grandi et était maintenant un grand chien, mais continuait à vivre dans la maison. Cette petite harmonie a duré jusqu’au jour où ils ont remarqué qu’au milieu de la nuit, le chien venait au berceau, tirait la couverture du bébé, s’y enroulait et y dormait jusqu’au matin. Les animaux, vraiment, réservent parfois de drôles de surprises ! © volgdud / Dzen
  • Ma tante habitait au rez-de-chaussée. Un jour, elle a accidentellement claqué la porte en laissant les clés à l’intérieur. Elle a demandé à un voisin de passer par la fenêtre. Avant de se lancer, il a demandé s’il y avait un chien. Ma tante a répondu : " Non, juste un petit chat inoffensif. " À peine a-t-il mis la tête à l’intérieur que le chat s’est jeté sur son visage... La situation est vite devenue très embarrassante. © Nathalie / Dzen
  • Quand Marta était plus jeune, elle adorait chasser mes pieds pendant que je dormais. Le temps a passé, elle a grandi, mais il y a quelques jours, elle a décidé de se rappeler ses vieux jeux et a attrapé mes pieds qui dépassaient de la couverture. J’ai réagi immédiatement : ses griffes sont bien acérées ! Je me suis enroulée dans la couverture et suis restée immobile. Marta a essayé plusieurs fois d’atteindre mon pied, mais sans succès : la couverture était trop épaisse. Très contrariée, elle est montée sur moi, m’a mordillé le bras... puis est partie, fière d’elle, comme pour dire : " Mission accomplie ! ". © Coucou / ADME
  • Mon chat a dressé mon mari : chaque matin à 4 heures, elle le réveille et le conduit à la cuisine pour qu’il lui mette ses friandises dans la gamelle, restant à ses côtés pendant qu’elle mange. Un jour, mon mari est parti à la campagne. Le chat est resté avec moi et a dormi tranquillement jusqu’à 9h30, sans réveiller personne. Puis, quand elle a été emmenée elle aussi à la campagne, mon mari m’a appelée tôt le matin : " Tu passes cet après-midi ? Prends les friandises du chat, elle ne me croit pas qu’il n’y en a plus et va me réveiller un million de fois demain matin ! " © Koza_pedalnaya / ADME
  • L’une de nos chattes détestait profondément le son du réveil sur le smartphone de mon mari. Elle supporte très mal les sons aigus en général. Un jour, elle a tenté " d’enterrer " le téléphone et, par accident, a touché l’écran avec sa patte, coupant le réveil. Depuis ce jour, elle s’est mise à éteindre le réveil volontairement pour ne pas entendre ces sons insupportables et mon mari se retrouvait à râler chaque matin parce qu’il avait fini par dormir trop longtemps. © SON5SON / ADME
  • Mon chat est un vrai Laurence Olivier dès qu’il s’agit de pâté ou de friandises en sachet. Le matin, il court vers le premier réveillé et le conduit au placard où sa nourriture est rangée. Comme chacun se lève à des heures différentes, il réussit à obtenir une portion supplémentaire deux ou trois fois. Un véritable talent d’acteur ! © Ilona Staller / ADME
  • Chez nous, notre chat faisait pareil. Mon mari se lève bien avant moi, nourrit le chat, prend son petit-déjeuner et part au travail. Ensuite, quand je me lève, le chat se met à miauler comme s’il n’avait pas été nourri de la nuit entière. Je culpabilise toujours et je le nourris. Le chat a ainsi vécu confortablement pendant un mois... jusqu’au jour où j’ai demandé à mon mari pourquoi il ne nourrissait pas le chat le matin. © Sova / ADME
  • Le chat de ma tante la réveillait tous les jours à 5 heures du matin. Quand il a compris que ses miaulements ne servaient à rien, il a commencé à s’approcher de ses rideaux préférés et à les menacer du regard, prêt à les déchirer. À ce moment précis, ma tante se levait et allait le nourrir. © Boris / ADME
  • Mon chien ne dérange jamais le sommeil de personne. Le matin, il respire à peine pour ne pas réveiller ses maîtres. C’est lui qui a décidé ainsi, et pour une raison étrange, il trouve ça terriblement important. Il y a des règles strictes : ne jamais pousser, griffer, mordre, prendre quelque chose qui ne lui appartient pas, voler de la nourriture — ça, c’est absolument interdit. Mais dès que le frigo s’ouvre et qu’un morceau de fromage apparaît dans les mains... là tout change. Ta main est encore dans le frigo, tu t’apprêtes à attraper le fromage... et le chien, qui dormait dans la pièce au fond, bouge légèrement la patte en dormant et grogne. Tu tournes la tête, et il est là, assis, le regard affamé fixé sur toi. Quand ? Comment ? Moi, je ne sais même pas si j’ai envie de ce fromage. Mais mon chien, lui, l’a bien compris. Et ça ne fonctionne avec aucun autre aliment. © Salivan / ADME

Peut-être qu’avant d’accueillir un animal, avons-nous eu des doutes : était-ce trop de travail, trop de responsabilités, étions-nous trop occupés pour nous engager à prendre soin d’un autre être vivant ? Mais tous ces arguments s’évanouissent comme par magie dès que se présente à nous celui qui deviendra, à partir de ce jour et pour le reste de sa vie, notre futur compagnon adoré.

Commentaires

Notifications
Petit chanceux ! Ce sujet ne comporte aucun commentaire,
ça veut dire que tu seras le premier.
Profites-en !

Lectures connexes