17 Clients bizarres à qui on ne veut même pas demander de payer

Histoires
Il y a 6 mois

Nous avons tous nos bizarreries, mais certaines personnes sont légendaires. Et ceux qui travaillent avec les gens en ont certainement vu beaucoup. Comme cette femme qui mange du beurre tout droit sorti d’une vitrine ou cette dame qui dit que le service pour un dollar symbolique, c’est cher.

  • J’ai dépassé la trentaine, je ne suis plus une jeune fille. Je travaille dans un magasin. Hier, un client m’a interpellée : “Mademoiselle !”. Je me suis approchée et il m’a dit : “Oh, vous n’êtes donc plus une jeune fille !”. J’ai souri et je lui ai dit : “C’est bon, je pensais que vous étiez aussi un gentleman”. L’expression de son visage à ce moment-là était sans prix ! Je ne prétends pas être une jeune femme, mais il a manqué de tact. © Podslouchano / Ideer
  • Je travaille dans un magasin qui vend des choux farcis. Il suffit de les faire bouillir et c’est tout. Un jour, un homme est entré et s’est mis à crier que nos choux farcis avaient du riz croustillant sur les dents. J’ai été choquée et je lui ai demandé comment il les cuisinait. Les yeux de l’homme se sont arrondis et il a demandé : “Doivent-ils être cuits ?”. Après mon signe de tête affirmatif, l’acheteur a rougi et s’est rapidement enfui. Nous ne l’avons plus jamais revu après ça. Jamais. © Podslouchano / Ideer
  • J’ai hésité à m’engager dans cette aventure, mais j’ai finalement décidé de vendre la poussette. Elle n’a été utilisée que pendant neuf mois, mais je voulais acheter une autre poussette, plus légère et plus compacte. On me l’a presque immédiatement achetée, mais avant cela, une femme m’a appelée et m’a proposé de lui donner gratuitement la poussette. Je pensais que de telles histoires en ligne étaient inventées, mais non. Elle m’a dit que puisque j’avais de l’argent pour des poussettes aussi chères, je pouvais lui donner. Voilà sa logique brillante. © Alina / ADME
  • Je travaille dans un magasin d’électroménager. Une femme d’une cinquantaine d’années est venue acheter un hachoir à viande électrique. Elle a apporté un morceau de viande pour tester la façon dont l’appareil le hacherait. © Vitaly Soroka / ADME
  • J’ai travaillé dans un atelier de photographie. Il y avait beaucoup de choses à faire. Une fois, des gens sont entrés, nous ont demandé de scanner une photo tirée d’un magazine, puis de retourner les personnes qui se tenaient dans le cadre de dos (!) et d’insérer les photos qu’ils avaient apportées à la place de leurs têtes....
    Et une vieille dame a fait un scandale : nous avons dû lui offrir un cadre photo presque gratuitement, sous prétexte qu’elle était honorée de quelque chose.
    Une autre fille a apporté un fichier en petite définition, s’indignant longuement qu’il soit mal imprimé. Elle a répondu à toutes nos explications qu’elle travaillait elle-même dans un salon photo, qu’elle savait tout et qu’on ne pouvait pas la tromper. Puis elle a insisté pour que nous, en tant que collègue, le réimprimions gratuitement. Elle a ensuite admis qu’elle travaillait comme caissière et qu’elle ne savait rien de tout ça. © Jochkina kochka / ADME
  • Je suis allé au magasin pour acheter des légumes. J’ai regardé et j’ai vu une fille qui choisissait des concombres, pas simplement des concombres, mais elle les cassait en deux. Elle prenait ce qu’elle aimait, sinon elle les remettait cassés. Je lui ai demandé :
    — Pourquoi faites-vous cela ?
    — Pour sentir, je peux distinguer les bons des mauvais par l’odeur.
    — Et les mauvais ? Vous n’allez pas les payer ?
    — Euh... *s’éloigne*
    J’ai rapidement trouvé l’agent de sécurité. Je ne sais pas ce que c’était.
    P.S. Je me demande comment elle choisit les autres aliments ? Par exemple, les tomates — est-ce qu’elle les écrase ? © DarkRou / Pikabu
  • Je travaille dans un magasin. J’ai vu beaucoup de clients mécontents, le plus souvent à cause des files d’attente, des étiquettes de prix, etc. Mais l’autre jour, j’ai été surpris par une femme : son mécontentement était dû au fait qu’elle avait été servie très rapidement à la caisse ! © Podslouchano / VK
  • Une fois, je vendais une poussette qui était restée dans un garage pendant quelques années. Avant de publier l’annonce, je l’ai soigneusement inspecté et tout était en ordre. L’acheteuse est venue, nous l’avons examinée avec elle et tout était parfait. Elle l’a achetée. Le lendemain, elle m’écrit pour me dire que j’étais sans scrupules parce que j’avais vendu une poussette dont la housse était déchirée, et elle avait même envoyé une photo. Mais nous avons tout vérifié ensemble, rien n’était déchiré. J’ai par bonté d’âme proposé de lui verser sur la carte une partie de l’argent en guise de remise, au cas où ce serait vrai et que nous n’aurions pas bien regardé toutes les deux. Elle m’a répondu qu’elle comptait en fait sur un remboursement complet, et que la poussette resterait chez elle... © Mama Dorogaja / ADME
  • J’ai personnellement vu une vieille dame qui a pris du beurre dans la vitrine d’un magasin. Elle l’a ensuite ouvert et, à l’aide de son ongle, en a retiré un morceau et l’a mis dans sa bouche. Face à mon étonnement, la femme m’a dit qu’elle vérifiait si le beurre avait le goût de la margarine ou du beurre. © AstroVladik / Pikabu
  • Un jour, j’ai mis en vente sur un site web un objet insignifiant — un porte-bijoux en forme de silhouette de femme. J’ai indiqué un paiement symbolique — juste une barre de chocolat. Une dame inconnue m’a alors écrit un seul mot à propos de cela : “Cher”. © Menthe*** / ADME
  • Une jeune fille blonde est venue dans notre magasin pour une commande spécifique, par référence de produit. Je lui ai donc apporté un rouleau de film à bulles de l’entrepôt.
    — Ce n’est pas ce que j’ai commandé !
    — Celui-là, madame. Voici la référence de produit, voici les dimensions.
    — Mais non, je vous dis ! La photo montrait un petit rouleau, mais celui-ci est énorme !
    Je me suis rendu compte qu’il était trop tard pour expliquer quoi que ce soit. Je lui ai simplement vendu un petit rouleau du hall. Elle est repartie heureuse. © Nezaboudka / ADME
  • Je suis passé au magasin aujourd’hui pour acheter un petit pain au fromage. Tous les produits étaient exposés, avec des pinces et des sacs à côté. Je me suis approché du point de vente et j’ai vu une femme âgée, bien qu’habillée avec soin, vérifier chaque petit pain avec ses mains (!), à plusieurs reprises. On a eu le dialogue suivant. Moi :
    — Madame, il y a des pinces, il faut les utiliser, c’est une question d’hygiène !
    — C’est plus pratique pour moi comme ça ! © Dobro.22rus / Pikabu
  • Je travaille chez Jysk, un magasin de meubles et de textiles d’intérieur scandinaves. Un jour, deux messieurs âgés et respectables ont sérieusement exigé que je leur vende des pièces détachées pour automobile. © Natasha Shishlo / ADME
  • Un jour, je vendais des fraises sur l’autoroute. Une voiture s’est arrêtée, je ne me souviens plus laquelle, mais une voiture étrangère coûteuse. Un homme sérieux en est sorti :
    — Combien coûtent les fraises ?
    — Cinq euros le pot.
    — C’est cher, laissez-moi acheter deux pots pour dix.
    Il les a achetés et il est parti. © metezhnik / Pikabu
  • Une femme (environ 70 ans) et son fils (environ 50 ans) se sont dirigés vers les cabines d’essayage. Il y en avait cinq, mais les rideaux étaient fermés partout. Et là, j’ai entendu leur dialogue. Maman :
    — Vérifie, il y en a peut-être des libres.
    — Les rideaux sont fermés, ça veut dire que c’est occupé.
    — Et si quelqu’un avait fermé les rideaux par inertie ?
    — Non, maman, attendons.
    — Et s’il n’y a personne, on va attendre pour rien ?
    — Et s’il y a quelqu’un ?
    Ils ont discuté pendant quelques minutes et maman a convaincu son fils de regarder à l’intérieur ! Mais d’abord, elle a regardé vers le bas et a dit qu’il n’y avait personne dans la cabine. Le pauvre a tiré le rideau et il y avait un homme ! © Svetlana Svetlana / ADME
  • La rubrique : “Citations d’or de nos clients”. Une femme d’âge moyen dit qu’elle a besoin de faire un tapis en surjet. Elle est arrivée à 13h30. L’artisan déjeune de 13 à 14 heures tous les jours. Elle était donc indignée : “J’étais là hier, il déjeunait aussi. Pourquoi, il déjeune tous les jours ?”. © George79spb / Pikabu
  • Je travaille dans un point de livraison de commandes en ligne. J’aime beaucoup mon travail, mais depuis quelque temps, j’ai commencé à être agacé par une action des clients réguliers. Ils commencent à dicter le numéro de la commande dès qu’ils me voient. Je leur demande : “Attendez, s’il vous plaît, je vous dirai quand vous pourrez dire le numéro”. Ils ignorent alors la demande, dictent le numéro jusqu’à la fin, et lorsque je leur demande de me redire le numéro, ils me répondent : “Je vous ai déjà dit le numéro”. © Podslouchano / VK

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