17 Histoires chaleureuses de Noël, remplies d’arômes de clémentine, de sapin et de magie

Histoires
Il y a 3 ans

À l’approche des fêtes de fin d’année, lorsque les rues scintillent de lumières colorées, couvertes de guirlandes et autres décorations, que l’air est embaumé d’une odeur de bois vert, d’aiguilles de sapins et de résine, que des foules joyeuses de clients battent le pavé des rues à la recherche des derniers cadeaux ou autres mets et délices dans les rayons des magasins, nous attendons avec impatience un miracle, et nous croyons réellement que quelque chose de bon se passera dans l’année qui vient. Et ça arrive ! Quand cela pourrait-il mieux tomber que la nuit de Noël ou du réveillon du Nouvel An ?

Chez Sympa, nous n’avons jamais douté que les vacances de fin d’année soient une période où toutes sortes de miracles peuvent se produire, même si souvent nous les créons par nous-mêmes. Les internautes ont confirmé nos suppositions. Nous ne pouvions pas laisser passer l’occasion de partager avec toi ces belles histoires de Noël qui peuvent te réchauffer le cœur pour ces 3 longs mois d’hiver.

  • C’était le soir du 31 décembre vers 10 heures que nous sommes partis fêter le Nouvel An. Nous avions dans nos mains 3 sacs remplis de bouteilles, que nous avions déjà bien entamé. Nous étions presque arrivés à la soirée quand soudainement, une voiture de police stoppa et un sous-officier s’approcha. Nous pensions que nous allions avoir de gros problèmes... Comme tout le monde le sait : On passera la nouvelle année comme on la quittera.

    Le sous-officier nous a dit :

    — Mettez les sacs sur le sol ! — nous avons obéi.

    À mon ami :

    — Tendez les mains ! — il l’a fait.

    — Pas comme ça ! Donnez-moi les paumes de vos mains.

    — D’accord — Mon ami était étonné.

Le sous-officier a mis sa main dans sa poche et a sorti une poignée de bonbons, puis il est retourné à sa voiture en disant : Vous avez attendu un miracle pour le Nouvel An, le voilà ! © Aleksssey / Pikabu

  • Chaque année, le soir du 24 décembre, nous avions pris l’habitude avec ma famille et des amis de nous réunir pour chanter des chants de Noël dans un parc près d’un immense sapin richement décoré. Une année, un homme se trouvait sous l’arbre de Noël, ivre. Nous pensions que c’était un sans abri. Une fille qui nous accompagnait commença à pleurer, insistant qu’il fallait aider cette personne en cette nuit de Noël. Nous étions en vacances, et personne ne voulait s’encombrer avec lui, mais la fille a finalement réussi à persuader quelqu’un de le prendre avec elle dans sa voiture. Elle conduisit l’inconnu chez elle. Elle lava les vêtements de l’homme et elle le traîna sur le canapé. Le matin, l’homme ne comprenait pas où il se trouvait et ce qui se passait, puis il a écouté l’histoire de la jeune fille. Toute la matinée, il s’est confondu en excuses, expliquant qu’il buvait rarement, mais que cette fois-ci, il avait un peu " exagéré " et n’était pas rentré chez lui. Requinqué, il partit travailler. Le soir, il revint avec un énorme bouquet de fleurs et du vin — pour la remercier et aussi pour faire connaissance avec elle. Il s’est avéré qu’il était dans les affaires, qu’il avait réussi dans la vie, mais qu’il n’avait pas eu la même chance avec sa vie personnelle. La chose la plus surprenante est qu’ils se sont mariés. À la question : " Où avez-vous trouvé un tel homme ? " - elle répond simplement : " Sous le sapin de Noël ". © Ghykinio / Pikabu

  • Enfant, mon amie était dans un orphelinat, et comme tous les enfants dans cette situation, le soir de Noël elle rêvait de trouver une famille. Au fil du temps, elle avait perdu la foi d’être un jour emmenée, et elle avait aussi fait une croix sur le gros chien affectueux qui l’attendrait dans son nouveau foyer. Elle avait associé dans l’image de ses rêves : Famille, chien, maison. Une année, à la grande surprise de ses amis, elle a été adoptée par une famille merveilleuse. À son arrivée à la maison, elle vit un doux et immense Labrador, elle fondit en larmes. Elle réalisa alors, qu’elle était chez elle. Ils grandirent ensemble, et la chienne fut sa fidèle amie pendant des années. La chienne a fait des chiots, dont l’un vit avec mon amie et l’autre avec moi. Quand je regarde mon chiot, qui n’en est plus un depuis bien longtemps, mais un gros adulte farceur, je pense à cette petite fille qui a tellement et sincèrement souhaité que ses vœux se réalisent, que finalement, un soir de Noël, ses prières furent exaucées. © Подслушано / VK

  • J’avais environ 8 ans et lors du soir de Noël, on a frappé à la porte. Ma mère m’avait envoyé voir qui était là. J’ouvris, et là, il n’y avait personne, seulement de grandes traces de bottes menant à la deuxième entrée de la maison ! Je courus vite vers l’autre porte, entendant une cloche tinter, je réalisai que ce ne pouvait être que le père Noël et qu’il allait bientôt se tenir devant moi, dans notre maison. Le voici, pensais-je, LE MIRACLE de Noël se déroulait ici et maintenant ! J’ouvris la porte, et là, personne encore, mais devant moi se tenait seulement une immense cage avec le hamster que j’avais tellement souhaité ! Ma mère ainsi que ma grand-mère avaient un sourire complice, et avaient joué la surprise malicieusement. © Подслушано / VK

  • Dans mon enfance, nous célébrions Noël avec toute la famille. Une grande table, un sapin décoré de guirlandes colorées, des cadeaux et des bougies : La magie était bien là. Nous avons grandi, le temps et les distances nous ont séparés. Depuis de nombreuses années, j’appelle ma mère sur Skype dans la nuit du 24, et chaque année, elle se prépare une table et fête seule Noël. Cette année, j’ai décidé de changer les choses, et même si je vis à 3000 kilomètres, j’ai acheté un billet et j’ai pris l’avion pour Paris le 23 décembre. Je suis allé sur le marché et j’ai acheté de belles orchidées roses. Le 24 décembre au soir nous nous sommes assis autour de la table. Après minuit nous sommes sortis assister à la messe de minuit. Je n’avais jamais vu ma maman aussi heureuse. © Подслушано / VK

  • Le plus gros miracle de Noël de mon enfance était la “culture” des pères Noël en chocolat. 2 ou 3 mois avant Noël mes parents achetaient un tout petit père Noël en chocolat et ils le mettaient dans une boite qu’ils plaçaient sur une étagère. De temps en temps je le nourrissais avec des chocolats et des cookies. Le jour de Noël, j’ouvrais la boîte et j’y trouvais un gros père Noël en chocolat, mes parents s’occupaient soigneusement de les échanger en cachette les remplaçant régulièrement pour me faire croire que les pères Noël en chocolat grandissaient. © Подслушано / VK

  • Deux années de suite, nous avons célébré Noël avec des collègues et nos enfants.
    J’avais revêtu une tenue de mère Noël et mon collègue celle du père Noël. Bien sûr, j’ai souhaité un joyeux Noël à ma fille qui a reçu les cadeaux dont elle rêvait des mains du père Noël. Cette année, en cette veille de Noël, ma fille a raconté à tout le monde à l’école maternelle que sa mère était la mère Noël. C’était si drôle et gentil de voir tous ces petits venir me demander :
    “Est-ce que c’est vrai que vous êtes la mère Noël ?”. Ils me demandaient au passage, de transmettre leurs souhaits au père Noël, ce que j’ai raconté à leurs parents. Je voudrais que les enfants croient aux miracles. © Подслушано / VK

Quand on voit pour la première fois de sa vie les illuminations de Noël

  • J’avais décidé de fêter le Nouvel An dans ma maison de campagne. Je prévoyais de m’y rendre tôt pour pouvoir allumer le poêle et réchauffer la maison, préparer des salades, mettre la dinde à cuire dans le four, et aussi avoir le temps de m’habiller pour la soirée. Ma journée de travail, finalement écoulée, a été très longue et stressante comme chaque veille de Nouvel An. Il était presque 20 heures en ce 31 décembre. Je me précipitais et roulais en direction de ma maison de campagne et tout le trajet durant, je pensais : “Je n’ai plus le temps ! Il va falloir encore que je déblaye la neige, que j’aille chercher du bois. La neige sur la route me retarde, je ne vais jamais pouvoir arriver avant minuit, et je n’aurais même pas le temps de boire le champagne”. Finalement autour de dix heures et demie, je suis arrivé chez moi ... Qu’est-ce que c’est ?! La lumière était allumée, le chemin et les abords de la maison étaient dégagés me permettant de garer facilement ma voiture. Je n’arrivais pas à imaginer qui avait bien pu faire ça, que se passait-il ? J’ai alors couru le long du chemin éclairé me dirigeant vers la maison en pensant : Excellent, la moitié de la bataille est terminée. Je vais rapidement allumer la bouilloire me préparer un thé pour me réchauffer. Je vais aussi pouvoir garnir le poêle et préparer les salades. Je n’aurai pas le temps pour la dinde. Tant pis. Je suis entré dans la maison : Personne, il faisait chaud, l’atmosphère était légère. Le four laissait échapper de délicieuses effluves : Une dinde était cuite de la meilleure façon possible. J’ai atteint la bouilloire, elle était remplie et chaude ! À ce moment, mes larmes ont coulé... Il s’est avéré que c’était mes 2 voisins, qui, ne me voyant pas venir, avaient deviné que j’étais en retard et que je n’aurai pas le temps de tout préparer. Ils ont décidé de me faire cette belle surprise. Entre voisins, nous nous remettons les clés de nos maisons, les uns les autres. Juste au cas où.

  • Une amie m’a raconté une histoire. Elle se promenait avec son chien un 24 décembre lorsque la voiture de son voisin, transportant un sapin de Noël sur son toit, se gara. En sortant de sa voiture, le voisin se précipita chez lui, et ressortit au bout de 5 minutes avec un vieil arbre de Noël, sur lequel il ne restait plus aucune aiguille, juste les branches nues. Puis il fit entrer le nouvel arbre à l’intérieur de sa maison. © Подслушано / VK

  • Nous célébrions le Nouvel An dans un bar. Par coïncidence, mon ex petit copain et ses amis se sont retrouvés là-bas. Je faisais semblant de ne pas l’avoir remarqué, car notre séparation s’était mal passée : J’avais découvert sa trahison et l’avais chassé de l’appartement. Au douze coups de minuit, en me regardant et en débouchant le champagne il m’a dit : " Je te souhaite une mauvaise année, imbécile ! " Soudainement le bouchon a sauté directement dans son œil. Un cri, suivi de mon rire homérique. © Подслушано / VK

  • J’avais commandé une pizza avec une amie. Le livreur s’est avéré être un gars sympa. Sous le charme de la nouvelle année, j’ai ouvert la porte et je l’ai joyeusement félicité de tout mon cœur. Plus tard dans la nuit, j’ai reçu un SMS me demandant comment j’avais trouvé la pizza, et quel était mon nom, ma profession, ou encore quelles étaient mes loisirs et ma musique préférés en passant aussi par les fleurs. J’étais sous l’effet du champagne. C’est seulement le lendemain que mon amie m’a expliqué que ce n’était pas le questionnaire d’une enquête de la pizzeria. Le soir, devant mon entrée, le jeune homme se tenait avec un bouquet de mes lys préférés. © Подслушано / VK

  • C’était en1984. Pour le réveillon de Noël, Papa avait apporté le cadeau que lui avait fait son entreprise. C’était un panier contenant : des calissons, des marrons glacées, des truffes au chocolat, et d’autres papillotes. Dans le panier, nous avons pris le sachet de papillotes. Dans ce sachet, il y avait de gros chocolats emballées individuellement dans du papier fantaisie, argenté, tortillé. Ces chocolats aux différentes garnitures étaient merveilleux et délicieux. Une fois le sachet vide, et alors que nous étions sur le point de le jeter, soit par curiosité, soit par inadvertance, j’ai enlevé le support doré sur lequel reposaient les chocolats, et voici que le miracle de Noël s’est produit : sous le support, nous avons trouvé un nouvel étage de chocolats que nous avons partagé équitablement en famille et dégusté. Au fond du panier, ramené par Papa, se trouvait une petite carte sur laquelle était inscrit : " Joyeux Noël et bonne année ! “. De nombreuses années sont écoulées, mais ces moments resteront gravés dans ma mémoire, pour toujours. © Yakamozwadozz / Pikabu

  • Dans mon enfance, Papa a toujours mis un vrai sapin de Noël dans notre salon. Il l’apportait entre le 20 et le 23 décembre. Il le laissait toujours geler pendant quelques jours dans notre cour, de sorte que lorsqu’il faisait chaud et qu’il dégelait, l’odeur résineuse des aiguilles de pin devenait plus forte. Une fois, autour du 23 décembre, il n’y avait toujours pas de sapin de Noël. Je devais être au collège en 4e ou 5e, je ne me souviens plus exactement. J’ai pris une hache, j’ai mis mes bottes, et, accompagné de notre chien-bâtard Bima, j’ai fait 4 kilomètres dans la forêt (j’habitais à la campagne). Arrivé à destination, j’ai trouvé un sapin d’une majestueuse beauté verte, je l’ai coupé, et aidé d’une corde, je l’ai attaché à moi pour le traîner. Ces 4 kilomètres de route furent terrible. Il faisait sombre. Autour de moi, tout était recouvert d’un blanc immaculé, et la neige recommençait à tomber à gros flocons... Je m’approchais du village, les lampadaires étaient déjà allumés, un vrai conte de fées ! À la maison, bien sûr, il y avait une terrible agitation (l’enfant était parti !). J’ai eu droit à une bonne remontrance. Il s’est avéré plus tard que papa, lui aussi avait apporté un sapin de Noël et qu’il l’avait caché pour me faire la surprise. Nous en avions deux ... De nombreuses années ont passé, mes parents ont vieilli, Bima est parti depuis longtemps, mais je n’oublierai jamais ce voyage. © Подслушано / VK

  • C’était Noël et le père Noël était venu voir ma petite sœur. Heureusement, j’arrivais en même temps avec un cadeau pour mes parents. Lorsque le père Noël a voulu partir, je l’ai arrêté juste devant la porte, en lui disant : ” Vous, père Noël, vous avez oublié de donner un cadeau pour mes parents. Vous l’avez peut-être laissé sur le canapé ? " C’était un gentil gars, il a joué le jeu et il a même fait chanter une chanson de Noël à ma mère ! Elle s’était levée et elle avait chanté avec ferveur et passion ! Elle était si heureuse ! © Подслушано / VK

"J'ai fait une surprise à ma mère en venant la retrouver pour Noël"

  • Dans notre famille, à la naissance de notre deuxième fils, nous avons instauré une nouvelle tradition qui s’est enracinée : Acheter un immense sapin vivant qui monterait jusqu’au plafond de notre appartement — environ 4 mètres. On l’apportait du marché des arbres de noël, traversant des rues bondées et autres ponts de la ville. Habituellement, nous le faisions tard en soirée. Nous portions le sapin sur nos épaules sur presque 3 kilomètres, haletant et chantant à tue-tête tout le répertoire de Noël ! Les énormes branches, bosselées avaient l’odeur de la résine, les aiguilles du conifère nous procuraient des sensations de joie indescriptible. © Подслушано / VK

  • Dans mon enfance, Noël était traditionnellement célébré chez nos grands-parents. Quand nous rentrions de chez eux, sous notre arbre, il y avait toujours des cadeaux. Mon frère, plus âgé que moi, était le dernier à sortir, vérifiant qu’il n’y avait rien sous le sapin, et le premier à entrer dans l’appartement à notre retour. Il y avait toujours des cadeaux qui étaient apparus. Ma mère prétendait que c’était le Père Noël qui les avait apportés. Mon frère et moi avons maintenant déjà plus de 40 ans, et nous ne savons toujours pas comment maman réussissait à mettre les cadeaux sous le sapin de Noël, mais nous avons décidé de ne pas la questionner à ce sujet pour que cela reste son petit secret et la magie de notre enfance. © Подслушано / VK

  • Il ne restait pas beaucoup de temps avant Noël. Je me suis souvenu que je n’avais pas encore acheté des clémentines pour notre association qui visite les enfants gravement malades à l’hôpital. J’ai fait demi-tour en voiture et je me suis précipité au marché. J’ai pris 3 cageots de clémentines et j’ai demandé au vendeur s’il pouvait m’aider avec ma charge. On a déposé le tout dans un chariot et on s’est dirigés vers la sortie. Près de la sortie, j’ai été ralenti par un beau melon qui me suppliait de le prendre pour la table de Noël. Le vendeur l’a pris et l’a mis sur la balance, puis en regardant le chariot avec les cageots, il me demanda en rigolant si je n’avais pas trop pris de clémentines pour moi. J’ai expliqué que c’était pour le Noël des enfants malades. Soudainement, l’homme est devenu très serieux et il a pris un cageot de kakis et l’a mis dans mon chariot. Il m’a demandé si les enfants avaient des parents, et j’ai répondu que oui, mais que malheureusement les enfants étaient gravement malades. Le vendeur a pris alors une caisse de belles tomates et me les a données, cela m’a beaucoup touché. J‘ai essayé de lui dire que les enfants ne pouvaient peut-être pas manger cela, mais il n’a rien voulu entendre. Ils peuvent, a-t-il dit. Avec mon chariot rempli de cadeaux, je suis allé vers la voiture... Des larmes coulaient sur mes joues. © Irina Fesenko / Facebook

C'est ce vendeur qui a offert aux enfants des kakis et des tomates.

As-tu déjà vécu des miracles le jour de Noël ou du Nouvel An ?

Photo de couverture Irina Fesenko / Facebook

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