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17 Personnes qui sont tellement mal élevées qu’on en perd les mots
Pour certains, il n’y a pas de mal à être effronté : pire, c’est même une habitude assumée. Après tout, il est normal de toujours vouloir le meilleur pour soi, et tant pis si au passage, il faut écrabouiller la tête des autres ! Voici justement le sujet du jour, évoqué par divers internautes qui ont souhaité partager des histoires ahurissantes concernant le comportement de certaines personnes mal élevées.
Chez Sympa, nous espérons sincèrement que tu rencontreras le plus rarement possible ce type de personnes et que ces histoires t’aideront à les reconnaître en un clin d’œil.
Une aide peu valorisée
Au travail, je suis le seul homme. Un jour, une collègue m’a demandé de faire quelques heures supplémentaires ainsi que de sauter ma pause-déjeuner pour l’aider. Elle disait : “C’est mon anniversaire et je voudrais tout finir à temps !”. Bon, d’accord. Je lui ai proposé de nous mettre immédiatement au travail, afin de tout terminer avant la fin de la journée, mais elle m’a répondu : “Bah, non ! Je vais manger là ! C’est l’heure de ma pause-déjeuner !” Choqué par ce manque complet de respect envers moi et mon propre temps, j’ai fait demi-tour et je suis allé m’occuper de mes affaires. Derrière mon dos, je l’entendais me lancer des méchancetés du genre : “je n’ai pas besoin de toi de toute façon” et “tu n’as aucun respect envers les autres”. Fin de l’histoire. © Gribinogos / Pikabu
“Voici une annonce que j’ai vue aujourd’hui. Mais alors ça marche vraiment ce genre de truc ?”
“Je collecte des fonds pour mener une belle vie”.
“Numéro de carte bancaire”.
Cette grand-mère ne comprend visiblement pas le sens correct de “tout faire pour son enfant”
Avec des collègues pareils, un anniversaire peut facilement devenir une journée très triste.
Hier, c’était mon anniversaire, mais bon, même si c’était mon jour de fête, je devais quand même me rendre au travail à 11 heures. Soudain, je reçois un appel de la faculté où je travaille à mi-temps comme professeur associé. Je décroche et j’entends : “Tu vas venir à la fête de Noël ?” Je réponds : “Non, j’ai d’autres choses à faire”. Mon interlocuteur continue : “C’est ton anniversaire aujourd’hui, non ?” Je m’attendais à entendre des félicitations et des vœux, et je m’apprêtais déjà à répondre quelque chose du genre : “Oh, merci ! C’est trop gentil...”, mais à la place, j’entends : “La boulangerie fait une promotion pour ceux qui fêtent leur anniversaire. Alors va donc nous acheter quelques tartes à prix réduit”. J’ai à peine eu le temps de répondre : “Heu...”, qu’on m’avait raccroché au nez. © kosyag / Pikabu
“J’adore mes voisins. Hier, c’était ma facture d’électricité qui a été ouverte, maintenant, il s’agit d’une lettre. Demain, je vais aller acheter une boîte aux lettres et une énorme serrure”.
Tellement attentionné...
Cette caméra vidéo se trouve juste au-dessus des cabines d’essayage dans un magasin de vêtements
Le confort avant tout !
C’était il y a cinq ans, je travaillais dans une librairie. Une collègue a reçu une nouvelle livraison, puis a apporté la nouvelle boîte de livres dans le hall pour les disposer sur les étagères. Elle s’est penchée pour disposer des livres sur la rangée du bas et a senti quelque chose sur son dos. Elle s’est retournée pour jeter un œil et a aperçu une acheteuse qui choisissait des livres : elle en sortait un, le regardait, et déposait ceux qui l’intéressaient sur le dos de ma collègue. Celle-ci s’est indignée : “Madame, que faites-vous ?!” La cliente a lancé : “Bah quoi, ça vous dérange ? Vous êtes là de toute façon, déjà penchée !”, puis elle a pris ses livres et s’est empressée d’aller à la caisse. © Valetas / Pikabu
Essaye d’accueillir les patients avec un sourire aux lèvres après ce genre de situation.
“Je suis assis devant mon ordinateur. Mon frère dort à côté. Et là, je reçois un message soi-disant de sa part — en fait, d’un escroc qui a piraté sa carte” :
Les enfants sont bien évidemment les fleurs de la vie, mais pas dans ce cas précis.
Au travail, nous avons collecté de l’argent pour notre homme à tout faire qui a récemment eu un sixième enfant. Nous savons qu’il est pauvre, alors nous avons rassemblé 250 euros, et la compagnie lui en a offert encore 450. Plus tard, dans le vestiaire, je l’ai entendu se plaindre en disant que nous étions tous radins et que nous aurions pu en collecter beaucoup plus. Après tout, il est père de famille nombreuse. Je suis sortie de mon coin et je lui ai dit que la prochaine fois, nous lui ferions un cadeau beaucoup plus utile : une boîte de préservatifs. © Дарья Ким / Facebook
Un degré de curiosité extrême
Et il est aussi interdit d’apporter de la nourriture, d’entrer dans le hall sans billet et après la séance, ne surtout pas raconter la fin du film.
“L’administation du cinéma se réserve le droit de choisir les clients”.
Les liens de parenté sont bien plus importants que les secrets.
Une amie m’a raconté l’histoire d’un couple de sa ville natale qu’elle connaît personnellement. Ils vivent ensemble depuis longtemps et ont un fils, mais au bout d’un certain temps, le mari a trouvé une maîtresse qui a donné naissance à un garçon. Tout allait bien, jusqu’à ce que sa femme découvre tout et pique une crise. Sais-tu comment elle l’a découvert ? Son bien-aimé a emmené leur fils commun faire connaissance de son “frérot”. © MaxRyder / Pikabu
“Je ressemble à la Femme invisible ou quoi ?”
Quand le sans-gêne se mêle à la créativité, ça donne ça — le panneau dit : “Ici, c’est ma place!”
Si tu as décidé d’aider, aide quoi qu’il en coûte
Un jour, alors que je faisais mes achats dans un supermarché, un homme s’est approché de moi et m’a demandé un peu d’argent. Quand je lui ai dit que je n’avais que ma carte de crédit et pas du tout d’argent liquide, il m’a demandé de payer ses achats : du pain et quelques tomates. Bon, d’accord. Je lui ai répondu que je n’avais pas encore fini et je lui ai proposé de m’attendre à la caisse où je paierais ensuite son pain et ses tomates. Quelque temps plus tard, je m’approche de la caisse et je le vois m’attendre patiemment avec un chariot rempli de courses. J’ai aperçu quelques bouteilles d’huile, des paquets de riz, des pâtes, des sacs de fruits et légumes, de la viande, du poisson, des fromages, des saucisses, ainsi que beaucoup de boîtes de conserve. Il tenait le chariot en me lançant un regard plein d’espoir, mais je lui ai dit : “pas question, ce n’est pas sur ça qu’on s’était mis d’accord”. Il y a un quart de mon salaire là, désolé. À quoi s’attendait-il au juste ? © Елена Акодус / Facebook
Et toi, as-tu déjà dû faire face à une insolence inouïe ? Partage ton expérience dans les commentaires !