17 Personnes se souviennent de leurs petits mensonges de l’enfance

Histoires
Il y a 2 heures

Les enfants sont des petits diables notoires, et même les plus sages réservent parfois des surprises qui laissent leurs parents bouche bée. Dans notre article, nous avons rassemblé des anecdotes partagées par des internautes, souvenirs tirés de leur propre enfance.

  • J’avais 6 ans, et mon frère 13. Le matin, il m’emmenait à l’école maternelle avant de partir pour le collège. Il me laissait à la grille et me disait de finir le chemin toute seule. Un jour, j’ai décidé que j’en avais assez de la maternelle. Dès que mon frère disparaissait de ma vue, je rentrais à la maison, je m’engouffrais par la fenêtre (nous habitions au rez-de-chaussée) et je passais ma journée à regarder des dessins animés. Vers 16 heures, quand il était censé venir me chercher, je retournais devant l’école et l’attendais sagement. Et ça a duré deux semaines ! La belle vie s’est arrêtée le jour où ma mère est rentrée du travail non pas le soir, mais à l’heure du déjeuner. © WhiteWoman / Pikabu
  • En CE2, j’ai séché l’école pendant presque un mois. Avec ma copine, on allait jusqu’à l’école, puis on repartait chez elle. On jouait du piano, on dessinait, on regardait la télé.
    Jusqu’à ce que la maîtresse croise ma mère et lui demande : " Qu’est-ce qui vous arrive à toutes les deux pour ne toujours pas être rétablies ? “. Ouah, je me suis fait sérieusement gronder ! © range42 / Pikabu
  • Quand ma mère me limitait en jeux vidéo, je la suppliais : ” S’il te plaît, pas les CD ! " Elle les cachait, mais je jouais quand même aux jeux déjà installés. © AdeptusPikabutus / Pikabu
  • Un jour, maman m’a emmenée avec elle au travail pour la première fois. Elle m’a donné des crayons et du papier et est partie travailler dans le bureau d’à côté. Au bout d’une heure et demie, elle revient et voit mon bureau recouvert de plein de gourmandises. Maman, stupéfaite, demande : " D’où ça vient ? " Je réponds que c’est l’anniversaire de Marie. Maman : " Qui est Marie ? " Moi : " Votre comptable ! " Bref, j’avais décidé d’aller me promener avant ça, j’ai vu une porte ouverte avec une table dressée derrière. À côté, une affiche disait : " Bon anniversaire Marie ! ". J’ai fabriqué une carte maison, je l’ai offerte à la fêtée et j’ai récité un poème. Une minute plus tard, tous ses collègues me remplissaient une assiette de délices, et Marie elle-même me découpait une part de gâteau d’anniversaire ! Cette capacité à dénicher de la nourriture même dans les situations les plus critiques m’est restée jusqu’à aujourd’hui. © barnishka / Pikabu
  • À 5 ans, je me suis coupé les cheveux moi-même et les ai cachés dans l’armoire de l’entrée. Quand ma mère m’a vue avec cette coupe déformée " au bol ", elle s’est mise en colère. Je lui ai alors dit que c’était mon frère qui m’avait coupé les cheveux.
    Et ce n’est que 21 ans plus tard, en prononçant un discours à son mariage, que j’ai enfin avoué la vérité. © scullyismyhomegirl / Reddit
  • Voici comment je rackettais mon père quand j’étais petite.
    — T’as pas un peu de monnaie ?
    — Tiens.
    — Écoute, fais-moi l’appoint.
    — Voilà.
    — De toute façon, tu n’as pas besoin de cette monnaie, hein ?
    Et il me la donnait. © 42nteller / Pikabu
  • On me forçait à manger de la bouillie d’avoine, que je détestais. J’ai donc caché la bouillie dans une boîte en fer qui avait contenu des biscuits.
    Quelques mois plus tard, nous assistions à la naissance d’un monde nouveau. Mon père n’a jamais vraiment compris ce que c’était, et je ne lui ai rien avoué. © Batpillow / Pikabu
  • En CE1, un jour, je n’avais pas envie d’aller à l’école. Je me suis levée plus tôt que tout le monde, j’ai planqué mes affaires et je me suis cachée sous le lit. Je me disais probablement que je sortirais plus tard, qu’on me gronderait un peu et que je n’aurais pas à y aller. Le matin, ils m’ont cherchée partout sans me trouver. Finalement, quand je suis sortie, il s’est avéré que c’était dimanche. Ce fut un fiasco total. © Hefna / Pikabu
  • L’hiver, les mamans nous disaient souvent : " Mets ton bonnet ! " Mais, une fois assez loin de la maison, on pouvait l’enlever et le fourrer dans le sac. Moi aussi, je faisais ça, mais je l’ôtais de manière à ce que ma mère puisse me voir par la fenêtre. Et je m’éloignais sous la menace du poing brandi depuis le 2e étage. Mais dès que j’échappais à son champ de vision, je remettais mon bonnet, car la rébellion, c’est bien joli... mais les oreilles, ça gèle. © Redroud / Pikabu
  • J’étais en première à l’époque. C’était la fin de l’année, et j’avais une tonne de mauvaises notes. J’ai complètement lâché les cours, mais j’étais à l’aise avec l’informatique et Photoshop. Et j’ai eu une idée diabolique pour éviter les reproches de mes parents à cause de ces notes médiocres : retirer la page du cahier de notes, la scanner, corriger les notes et la remettre en place. J’ai mené mon plan à bien avec l’aide d’un copain, mais en rentrant à la maison, j’ai découvert que le professeur principal avait déjà appelé mes parents pour leur annoncer toutes mes " réussites " de l’année. J’ai passé l’été à potasser mes manuels. © SATLIN / Pikabu
  • J’avais environ 7 ans. J’étais puni et contraint de rester à la maison toute la journée pendant les vacances. Inviter qui que ce soit était interdit. Le matin, mes parents sont partis travailler, et un ami est venu me voir. On a décidé de jouer à la console en leur absence. Et soudain, la clé a tourné dans la serrure : mon père était rentré plus tôt. J’ai immédiatement planqué mon ami dans le placard. Mon père entre dans la pièce :
    — Qu’est-ce que tu fais ?
    — Je fais mes devoirs.
    — Bien sûr, avec la console branchée.
    Là, quelque chose éternue dans le placard.
    — T’as quelqu’un avec toi ?
    — Personne !
    Mon père ouvre le placard, et mon ami n’a rien trouvé de mieux que de demander :
    — Bonjour. Denis est là, par hasard ?
    — Oui, mais il ne sortira pas ! a dit mon père en refermant la porte du placard. © denvman / Pikabu
  • À 5 ans, j’ai demandé un piano à ma mère. Elle a dépensé toutes ses économies pour en acheter un et m’a inscrite au conservatoire. Après quelques cours, j’ai tenté de lui expliquer que je voulais en fait " un petit piano jouet ". Mes arguments ne l’ont pas convaincue, et j’ai dû enchaîner 8 longues années de solfège. © Podsluchano / Ideer
  • En CE1, on m’a placé un cancre à côté de moi — vous connaissez ce principe : forcer les bonnes élèves à aider les camarades en difficultés. Eh bien, moi, je lui ai simplement appris à cirer les pages du cahier de notes avec une bougie, pour que les professeurs ne puissent pas y inscrire de mauvaises notes. © VerhovniyMemolog / Pikabu
  • En CM2, après avoir reçu notre première mauvaise note de notre vie, ma copine et moi avons répété pendant une demi-heure comment sangloter pitoyablement devant nos mères. Histoire de fondre en larmes dès le seuil de la porte franchi. Ma copine a réussi, moi un peu moins. Finalement, on ne nous a même pas grondées pour ces notes. © Ischadie69 / Pikabu
  • Un jour, mes parents dormaient, et mon frère et moi avons ouvert un flacon de peinture verte dans la cuisine — et il s’est cassé. Toute la cuisine était couverte de vert ! On a attrapé tous les produits nettoyants à portée de main et on a frotté, récuré, gratté comme des fous. Rien à faire ! Mon frère me dit : " Continue de frotter, moi je vais me rendre utile à tout prix — je vais faire des crêpes ! " J’entends la porte de la chambre grincer — mes parents se réveillaient ! Je cours vers la chambre, j’attrape la poignée et je hurle : " Ne sortez pas ! On vous prépare une surprise ! " Puis je retourne à toute allure dans la cuisine et je me remets à frotter. Au final, ils sont quand même sortis. On devait avoir une tête si paniquée qu’ils ne nous ont presque pas grondés. © Tativa / Pikabu
  • En CE2, je ne voulais pas aller à l’école. Un matin, je colle mon front contre le radiateur et je crie à ma mère : " J’ai de la fièvre ! " Ma mère me met le thermomètre sous le bras et part chercher du paracétamol. Moi, entre-temps, j’ai chauffé le thermomètre pour ne pas me faire griller. Elle revient, sort le thermomètre... et ses yeux s’écarquillent. Elle me regarde, je fais mon plus beau regard innocent. Elle me montre le thermomètre : il affichait 42 degrés. Elle touche mon front déjà refroidi... puis le radiateur. J’ai bien dû aller à l’école. © IvanBrk / Pikabu
  • Avec mon pote, on a décidé de sécher les cours. On a eu faim, alors on est entrés dans une boulangerie et on est tombés sur sa mère ! Les yeux tout ronds, elle nous demande : " Les garçons, qu’est-ce que vous faites ici ? " Et mon pote lui balance : " Madame, vous vous trompez de personne ! " Pendant qu’elle était sous le choc, on a vite pris la poudre d’escampette.
    Il en a pris pour son grade, bien sûr. © Unknown author / Pikabu

Les enfants débordent d’imagination et savent toujours comment s’occuper pour éviter l’ennui.
Le seul hic, c’est que leur ingéniosité a parfois des retombées plutôt fâcheuses pour les adultes.

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