18 histoires amusantes sur la vie des employés de bureau

La vie quotidienne des employés de bureau est comme un océan rempli de créatures fascinantes et d’événements intéressants : il suffit de découvrir les histoires de radeau fait de chaises de bureau, de pommes de terre en guise de salaire, ou encore d’échange de couches contre des biscuits... Les employés de bureau n’ont vraiment rien à envier aux travailleurs indépendants ennuyeux qui exercent leur profession chez eux sur leur canapé confortable.

Sympa a compilé pour toi les meilleures histoires d’Internet sur le travail de bureau, racontées par des utilisateurs qui se sentent comme des poissons dans l’eau dans cet univers impitoyable.

• C’était l’été, il faisait très chaud ; notre bureau fait 15 mètres carrés, et nous étions très nombreux à l’intérieur. Nous avons décidé de demander à notre supérieur d’acheter un climatiseur, ce n’était plus possible de travailler dans ces conditions ! Avec un collègue, nous sommes allés voir le patron, nous lui avons fait part de notre requête, il a réfléchi un moment et a dit non, arguant que les demandes d’achat d’équipement se faisaient au début de l’année. Soudain, comme dans un film, l’une des bretelles de ma robe s’est déchirée et a dévoilé ma poitrine ! Le patron m’a regardée et a dit : “Toujours pas !”

• Un employé de notre bureau s’est endormi devant son ordinateur. Il a dormi longtemps. Soudain, le directeur est entré, l’employé s’est réveillé et a commencé à faire semblant d’être actif en tapant sur le clavier et en bougeant la souris. Et puis le directeur a dit : “Laurent, on a une coupure d’électricité depuis une heure et demie.”

• Le voleur de nourriture de notre service a finalement été puni ! Ce filou anonyme a sorti du réfrigérateur, déballé et croqué... une briquette de vers congelés, que mon collègue utilise pour nourrir les poissons dans son aquarium ! J’imagine ce qu’il a ressenti lorsque ce “délice” lui a lentement fondu dans la bouche.

• Je suis au bureau, je me mets des trombones au bout des doigts, et j’essaie de taper sur mon clavier comme le font les femmes aux ongles longs... C’est amusant !

• Mon dernier travail était très difficile : des sanctions constantes, des heures de travail interminables, presque aucun jour de congé. Je n’en pouvais plus. J’ai décidé de partir. Après déduction de toutes les retenues, le salaire mensuel était très bas. Je suis allée chercher mon argent, ils ne m’ont même pas laissé entrer dans le bureau, ils m’ont juste sorti une enveloppe. Je suis partie en pleurant et en pensant à la façon dont j’allais pouvoir survivre à partir de ce jour. Et puis j’ai découvert que l’enveloppe contenant le salaire du directeur adjoint était collée à la mienne. La justice a triomphé !

• Au travail, si notre patron trouve de la vaisselle sale, il la jette. Nous devons donc débarrasser nos verres et assiettes de nos bureaux avant l’arrivée de la femme de ménage ; sinon, au revoir verres et assiettes !

• J’ai travaillé dans une agence de voyages. Un de nos bureaux se trouvait dans l’hôtel “Cosmos”, et il y avait une directrice dont le prénom était Fleur. Quand elle appelait le siège, elle se présentait à la secrétaire d’une belle voix féminine : “Ici Fleur du Cosmos...”

• Tous les matins, je fais une série d’exercices de souplesse et je filme le tout avec mon portable pour analyser mes points faibles. Et ce n’est que ce matin que j’ai réalisé que la vidéo est disponible quotidiennement pour tous les employés de l’entreprise : je n’avais jamais désactivé le mode “Meeting” (et il y a 32 filiales dans le pays).

• Dans mon ancien travail, les gens étaient si bienveillants que la plaisanterie la plus mesquine du 1er avril était de mélanger des Skittles et des M&M’s dans le bocal à bonbons.

• Un magasin d’accessoires pour enfants a récemment fermé près de notre bureau, et ils nous ont donné des articles : rouges à lèvres, bracelets, bagues, perles, etc. Désormais, lorsque notre directrice est de mauvaise humeur, elle se met une couronne sur la tête et se promène dans le bureau avec. Et si elle est de bonne humeur, elle se met des perles sur la tête, comme dans les films de Bollywood. Si bien que chacun sait quand on peut lui demander quelque chose ou non.

• Afin de ne pas partager mes bonbons au bureau, je coupe soigneusement les extrémités de l’emballage avec des ciseaux, puis je le coupe dans le sens de la longueur, pour qu’il ne fasse pas de bruit, et je ne me fais pas remarquer.

• Mes supérieurs sont de grands enfants. Cela fait un an que je travaille avec eux, et tout le magasin de farces et attrapes est déjà passé par le bureau (les chewing-gums électriques et les coussins péteurs ont été les plaisanteries les plus “soft”) ; ils se sont cachés dans le bureau du comptable ; ils ont interrompu plus d’un vendredi avec du whisky ; et le samedi matin, ils n’hésitent pas à m’appeler en me disant “tu es en retard au travail”, puis ils éclatent de rire — je ne comprends toujours pas comment l’entreprise arrive à fonctionner avec des directeurs comme ça !

• Il y a eu une coupure d’Internet dans le bureau : problèmes techniques sur la ligne. Nous sommes donc sortis dans le couloir sur nos chaises de bureau, en ramant comme sur des canots, et nous sommes passés devant toutes les portes ouvertes des autres bureaux. Nous sommes le service de sécurité de l’entreprise, et le plus jeune d’entre nous a 40 ans.

• J’ai travaillé pendant un temps dans un immeuble de bureaux où il y avait plusieurs entreprises au même étage. Nous étions tous lassés des commerciaux qui venaient nous vendre toutes sortes de choses. Un jour, j’ai accroché un panneau à la porte : “chers démarcheurs, les employés de ce bureau sont payés avec des pommes de terre récoltées l’an dernier. N’aggravez pas leur dépression en leur montrant vos produits de qualité. La semaine suivante, certains employés des autres bureaux ont collé des pièces de monnaie sur notre porte, avec le message : “Résistez !”

• Mon supérieur est le meilleur de tous ceux que j’ai rencontrés : intelligent, prévoyant et ferme. Il payait bien et exigeait un travail de qualité. Avec à la fois des récompenses et des mots durs, il inculquait la discipline dans l’équipe, et l’atteinte d’objectifs précis. Un retard entraînait une amende de 5 € toutes les 10 minutes. Ne pas répondre à son appel était puni de 75 € pour les chefs de service et 15 € pour les employés ordinaires. Tout le monde avait peur de rater ses appels, mais les “infractions” ne manquaient pas : un tel n’entendait pas le téléphone sonner à cause du bruit des voitures, un autre ne pouvait pas répondre parce qu’il était au volant. Lors de la soirée du Nouvel An, le directeur a pris la parole, il a parlé du succès de l’entreprise, a sorti une grande enveloppe et a rendu toutes les amendes. Les employés étaient heureux. Je l’ai regardé et je me suis dit : quel fin stratège, il a réussi à faire passer leur propre salaire comme un cadeau ! Sa popularité venait de grandir d’un coup.

• Pendant longtemps, une femme qui vendait des couches louait un local à côté du nôtre. Quand elle est partie, le local a été loué à une entreprise qui installait des portes et des fenêtres. Ils ont accroché un énorme panneau à la vitre indiquant le changement de locataire, mais cela n’a pas empêché les mères de venir demander des couches. Au bout d’une semaine, le gérant a acheté un lot de couches en gros et l’a stocké dans la réserve. Désormais, le vendeur les propose aux mères, et avec l’argent que cela rapporte, ils achètent des biscuits pour le bureau.

• J’ai compris que j’avais de la chance avec mes supérieurs quand j’ai vu mon directeur se promener dans le bureau, chantonner la mélodie de Star Wars et prétendre être Dark Vador.

• Au cours de l’entretien, j’ai réalisé que je ne voulais pas de ce poste, et quand on m’a demandé quels étaient mes points forts, j’ai répondu : “La discrétion et la capacité à renvoyer les rayons gamma...”

Que penses-tu de ces histoires de bureau ? Raconte-nous les tiennes, et écrivons ensemble un nouvel article pour Sympa !