Ce que ma belle-mère a dit par “erreur” nous a ouvert les yeux pour toujours

Parfois, les mots que l’on prononce lorsque nous croyons que personne n’écoute sont ceux qui révèlent le mieux qui nous sommes. Dans l’intimité d’une conversation privée, sans témoins —ou du moins le croyons-nous—, émergent des pensées, des jugements et des vérités qui ne sont pas toujours destinés à être entendus. Mais que se passe-t-il lorsque ces mots parviennent aux mauvaises oreilles ? C’est exactement ce qui est arrivé dans le cas de cette histoire. Un appel qui semblait se terminer comme n’importe quel autre est devenu, par une simple inadvertance, le début d’une tempête familiale.

"J'ai été avec mon mari pendant deux ans, et nous sommes mariés depuis trois mois. Nous avions prévu de passer ce week-end avec mes beaux-parents, mais nous avons annulé, car ma tante est décédée. Les funérailles ont eu lieu cette semaine et j'étais très proche d'elle. Dire que je suis triste et en deuil est un euphémisme.

Ma mère traverse également cette perte et honnêtement, je veux être là pour elle autant que possible, donc nous avons prévu d'aller au cimetière ce dimanche pour visiter ma tante et aussi la tombe de mon père, car c'est l'anniversaire de sa mort. Les dernières semaines ont été difficiles".

"Étant donné la situation, mon mari a appelé sa mère pour reprogrammer et essayer de réfléchir à un nouveau plan. Il s'est même proposé d'aller déjeuner seul avec elle. La conversation se passait bien, mais elle semblait contrariée et lançait des sous-entendus, comme : 'Eh bien, ma mère et ma belle-mère sont décédées la même année'.

Quand ils ont terminé de parler, ma belle-mère a pensé qu'elle avait raccroché, mais mon mari l'a entendue dire : 'Tu es tellement aveugle, elle ne peut pas être avec nous, mais elle peut être avec sa mère'. Alors mon mari lui a dit : 'Maman, je t'entends, tu n'as pas raccroché'. Et il a raccroché".

" Elle l’a appelé et lui a envoyé un message disant quelque chose comme : ’Ta femme ne se soucie pas de notre famille et j’aimerais que tu t’en rendes compte. Je sais que tu es heureux, mais je suis contente que vous m’aies écoutée. Rapproche-toi de tes frères, ils ressentent la même chose.’ Il n’a pas répondu. Il est contrarié et sait qu’elle a tort.

La vérité est que sa mère fait des caprices quand nous ne faisons pas ce qu’elle veut. D’après ses commentaires, je sais qu’elle essaie de me faire passer pour la méchante et de me monter contre la famille parce que j’ai une bonne relation avec mes beaux-frères, tout comme mon mari. Mon instinct me dit qu’elle est toxique, mais je ne veux pas être la cause de sa rupture avec sa famille. "

Comment gérer une relation tendue avec les beaux-parents

Lorsque, comme dans ce cas, la relation avec l’un des beaux-parents est tendue, des conflits peuvent rapidement surgir. Non seulement entre les personnes directement concernées, mais cela peut également affecter l’union du couple. Cependant, ces recommandations peuvent aider à mettre de côté les différences :

• Garde ton calme et ta courtoisie : Aborde toujours les situations avec respect et tranquillité pour éviter les confrontations inutiles.
• Pratique l’empathie : Essaie de comprendre les perspectives et les sentiments de tes beaux-parents, ce qui peut aider à réduire les tensions et les conflits.
• Recherche des moments positifs : Tente de trouver des intérêts ou des activités communes qui pourraient améliorer votre relation et créer des moments agréables.
• Implique ton partenaire : Travaille en équipe avec ton partenaire pour gérer les tensions et t’assurer que vous êtes tous les deux sur la même longueur d’onde en ce qui concerne les dynamiques familiales.
• Priorise le respect : Maintiens toujours le respect dans tes interactions, même en cas de désaccords, pour favoriser un environnement plus harmonieux.

Certaines relations avec les beaux-parents sont orageuses, mais d’autres, prouvent tout le contraire et renversent la mauvaise réputation qu’ils ont acquise. Découvre ces 20+ beaux-parents qui brisent les stéréotypes en aimant leurs belles-filles et gendres comme leurs propres enfants.