Tant mieux. Personnellement, je ne tombe que sur des pourritures !
Découvre 16 histoires qui prouvent que tous les voisins ne sont pas des monstres, au contraire...
Ah les voisins... Entre celui d'en face qui écoute la musique à fond, celui du dessus qui décide que faire des travaux à 7h du matin un dimanche est tout à fait acceptable, ceux du dessous qui se disputent et crient en plein milieu de la nuit, et ceux à côté qu'on ne voit jamais... Les voisins sont l'incarnation du mal universel. Mais en même temps, nous oublions que nous aussi sommes les voisins de quelqu'un, et que nos actions quotidiennes peuvent aussi être mal vues par les autres. Cela nous a inspiré pour créer une compilation géniale, qui vient briser tous les stéréotypes sur nos chers voisins.
Sympa te propose de t’immerger dans quelques histoires que nous avons trouvées sur les réseaux sociaux qui montrent que la plupart des voisins sont, en réalité, de bonnes personnes.
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Il y a quelques semaines, mes voisins ont commencé à faire des travaux de rénovation. Un matin, ils ont commencé à percer un mur et m'ont réveillé. J'étais très en colère et je m'apprêtais à sortir pour leur crier dessus lorsque j'ai vu, sur la poignée de ma porte, un petit sac contentant des chocolats. Ils m'ont laissé une tablette de chocolat pour chaque jour de travaux en guise de compensation pour le désagrément causé. Et aujourd'hui, au lieu du chocolat, j'ai trouvé une invitation pour une soirée chez eux afin de célébrer la fin des travaux. Tous les voisins ne sont pas mauvais.
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J'ai un mode de vie sain, et je fais toujours très attention à ce que je mange, mais ce soir, j'ai craqué et j'ai dévoré un demi-kilo de raviolis. J'étais tellement en colère contre moi-même que j'ai fondu en larmes, et je suis allée sur mon balcon où j'ai un tapis de course et je me suis mise à courir. J'ai remarqué ma voisine, juste en face, les larmes aux yeux et du chocolat partout sur le visage, qui faisait des squats face à la fenêtre. Nous nous sommes fait coucou de la main.
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Certains ont des voisins qui font du sport chez eux, d'autres qui adorent faire des travaux de bricolage et puis il y a mon voisin : un fou de karaoké. Il travaille toute la semaine et nous ne le voyons quasiment jamais, mais alors arrivé le weekend... c'est concert de karaoké, mais jusqu'à 23h seulement. Parfois, il me passe un coup de fil pour s'assurer qu'il ne nous dérange pas et ne nous empêche pas - surtout mes enfants - de nous reposer. Je lui réponds toujours que non, que son karaoké ne nous dérange absolument pas. Nous nous couchons tard et mes enfants adorent chanter avec lui. Parfois, il me demande même quelles chansons nous aimerions entendre, alors j'ai de la musique à la demande juste en dessous !
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Nous avons un balcon en commun dans notre bâtiment. C'est l'endroit où je vais fumer des cigarettes et où je croise parfois mon voisin, avec qui nous échangeons quelques phrases. Dans un coin du balcon, il y a un cendrier que mon voisin a posé. Depuis quelques temps, j'ai commencé à remarquer que si je ne vidais pas le cendrier à temps, les mégots s'accumulaient autour du cendrier. J'ai donc décidé de le vider et le nettoyer, ce qui ne me pose pas vraiment de problème, bien que je fume beaucoup moins que lui. Hier, je suis sorti sur le balcon et j'ai remarqué qu'une fois de plus, le cendrier débordait et de nombreux mégots se trouvaient tout autour. J'ai commencé à tout ramasser, mais il faisait froid et il y avait du vent et toutes les cendres se sont renversées dans mon manteau, ce qui m'a beaucoup agacé. J'ai donc décidé d'écrire un petit mot pour mon voisin : "Cher voisin, merci de bien vouloir garder le balcon commun propre. Merci pour votre compréhension." J'ai laissé ce mot à côté du cendrier et lorsque je suis ressorti aujourd'hui, il avait disparu. Aujourd'hui, voilà ce qui m'attendait :
"Cher voisin, vous avez raison et je vous promets de faire plus attention à l'avenir et de veiller à ce que cela ne se reproduise plus. Je vous présente mes excuses et espère que vous accepterez ces Raffaello en guise de paix."
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Je partage ma chambre avec mon coloc et tous les soirs, nous faisons une course silencieuse pour voir qui va s'endormir en premier, parce que nous ronflons tous les deux. Pourquoi penses-tu que j'écris ceci à 3 heures du matin ? Parce qu'aujourd'hui j'ai perdu.
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Je sortais de mon appartement quand une femme et un garçon d'environ 4 ans montaient les escaliers. Le petit s'est tourné vers elle, a levé la tête et lui a dit : "Maman, je veux dire bonjour." Elle lui a répondu : "Eh bien, dis bonjour." L'enfant s'est alors tourné vers moi avec un air très timide et incertain. J'ai donc décidé de l'aider :
- Bonjour, lui ai-je dit.
Il m'a répondu : "Bonjour"
- Comment ça va ?
L'enfant a continué la conversation :
- Bien. Allez-vous faire une promenade ?
-Oui, je vais faire une promenade. Et toi, as-tu été te promener ?
-Oui, j'ai déjà marché. Maintenant, je vais au lit.
Il s'est retourné et avec un visage satisfait a continué de grimper les escaliers pour aller se coucher après cette discussion fort agréable.
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Il y a deux ans, nous avons déménagé dans un quartier calme dans le centre de la ville dans un immeuble confortable, calme et sans problèmes. Mon mari a attaché une corde entre deux arbres afin que l'on puisse étendre nos vêtements. Un soir, nous sommes rentrés et nous avons remarqué que nos vêtements avaient disparu ! Nous étions très embêtés, bien sûr, mais nous n'allions pas appeler la police pour quelques draps et t-shirts. Le lendemain matin, un voisin est venu nous voir avec nos vêtements secs et bien pliés. Il nous dit qu'il avait commencé à pleuvoir, alors qu'il avait décidé de les rentrer pour nous.
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Je louais un appartement avec une amie. Un jour, nous sommes rentrées d'un concert et avons vu que notre porte d'entrée était grande ouverte. Nous avions le cœur qui battait à cent à l'heure et nous attentions au pire, lorsque nous avons aperçu notre voisin, un homme marié et un papa sans histoires endormi sur notre canapé. Nous nous sommes regardées, sans comprendre ce qu'il se passait. Nous l'avons réveillé, et il s'est avéré qu'il rentrait chez lui lorsqu'il a vu la porte de notre appartement ouverte. Lorsqu'il s'est rendu compte que personne n'était à la maison, il a décidé de rentrer et de nous attendre, mais il s'est endormi en regardant la télévision. Nous lui en sommes éternellement reconnaissantes.
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Une personne incroyable vit dans notre immeuble. Le Wi-Fi de son appart n'a pas de mot de passe. Et la vitesse est excellente. Le réseau internet s'appelle "Utilisez-le". J'ai donc pratiquement Internet gratuit. Il arrive que le nom change pour "Je suis désolé, je dois travailler" ou "Jusqu'à 22h00" par exemple, et un mot de passe apparaît. Mon Dieu, qu'est-ce que j'aime cette personne. J'attends juste impatiemment le moment où le nom de Wi-Fi se change en un numéro de mobile ou le numéro de son appartement pour pouvoir le remercier.
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Je vis dans la rue la plus merveilleuse du monde. Ne ne faisons pas que dire "bonjour" aux voisins, mais nous sommes vraiment devenus amis. Nous avons des discussions de quartier, nous nous donnons des choses, nous échangeons des billets pour aller au théâtre et tout plein de petites choses comme ça. Quand j'ai dû faire des réparations, j'ai demandé une perceuse trois maisons plus loin et ils me l'ont prêtée sans problème. Tout le monde se parle entre eux, quelles que soient les générations : les grands-parents comme les petits jeunes. Nous essayons d'aider les voisins plus âgés comme nous le pouvons ; par exemple, le week-end dernier, nous avons peint les murs de la chambre d'une voisine, un autre week-end, nous avons aidé un autre voisin à faire les courses. C'est comme une sorte de communauté solidaire où on se retrouve et se ressource. Pour rien au monde je ne déménagerais !
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Nous avons tous un voisin dont nous parlons. Chez nous, il s'agit du papa de notre voisine. Il se promène tous les jours avec un tout petit bébé, il monte et descend l'escalier en portant la poussette, chante des berceuses et prend tellement soin de la petite. Un super grand-père !
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Une fois, les ouvriers qui ont changé le tuyau d'égout m'ont laissé un trou si énorme dans le mur que je pouvais littéralement passer tout mon bras et saluer les voisins en bas. Nous n'avions pas d'argent pour le couvrir tout de suite, alors nous avons dû vivre avec le trou pendant plusieurs jours. Un jour, alors que j'étais dans la salle de bain, j'ai entendu le voisin râler et appeler sa femme qui lui a répondu : "Non le papier toilette est fini mon chéri." Il a répondu qu'il n'avait que son journal à disposition. J'ai pensé que je pouvais aider, alors j'ai offert de lui passer un rouleau et il n'a pas refusé. J'ai donc glissé le rouleau à travers le trou et depuis nos familles sont devenues amies. Le trou est maintenant recouvert !
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Quand je me sens triste et seule, il m'arrive d'acheter un ballon avec de l'hélium sur le chemin du retour du travail. Un jour, je suis rentrée avec un ballon et au moment d'ouvrir la porte de mon appart, je me suis dit que ce ballon allait juste se dégonfler sans faire des heureux, alors à la place, je l'ai attaché à la poignée de la porte de mon voisin, un retraité solitaire qui me reproche toujours de faire trop de bruit. J'ai appuyé sur sa sonnette et je suis rentrée dans mon appartement. Environ une heure plus tard, j'ai entendu la sonnette de mon appartement et quand j'ai ouvert la porte, il y avait un petit gâteau sur le palier de ma porte. Cette attention a retiré toute la tristesse et la solitude que je ressentais.
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Je suis une adolescente. Au début de l'été, j'ai décidé de commencer à prendre soin de moi, et chaque fin d'après-midi, je sortais pour m'entraîner, toujours à la même heure, de 18h00 à 19h30. L'automne est arrivé et je suis tombée malade, j'ai donc manqué ma séance de sport. Une nuit, quelqu'un a sonné à la maison et j'ai vu mes voisins sur le palier de ma porte. Ils m'ont dit qu'ils avaient remarqué que je ne m'étais pas rendue à mon entraînement, qu'ils s'inquiétaient et qu'ils avaient appelé ma mère pour savoir ce qui m'arrivait. Elle leur a répondu que j'étais tombée malade alors ils ont apporté un sac avec des médicaments et des fruits, puis ils sont partis. Je me suis sentie tellement bien. Et maintenant, j'ai la certitude que des personnes bienveillantes existent encore dans le monde.
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Je vis dans un vieux bâtiment. L'entrée est toujours terriblement sale, sombre et personne ne prend le temps de la nettoyer. Une jeune femme d'environ 23 ans a récemment emménagé dans l'appartement voisin. Elle a changé des ampoules, a nettoyé les toiles d'araignée des plafonds, lavé les fenêtres et balayé le sol. Un jour, je suis revenu du travail, et elle était encore en train de nettoyer l'entrée, frottant la rambarde de l'escalier. Le bâtiment était lumineux, sentait bon et était tellement propre que c'était un plaisir absolu d'entrer. J'avais honte d'avoir vécu dans un endroit aussi sale tant de temps. J'ai appelé les voisins et nous avons tous décidé de nous y mettre pour maintenir l'entrée du bâtiment propre. Nous avons collecté les déchets, réparé les boîtes aux lettres défectueuses et acheté des fleurs pour l'entrée. Nous avons aussi décidé de faire un pot commun pour réunir de l'argent afin d'acheter un cadeau pour cette formidable jeune femme.
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Je suis rentré chez moi un matin et j'ai vu une note dans l'entrée de mon immeuble : "Chers voisins, aujourd'hui, à 9h20, 10€ ont été perdus dans le hall d'entrée. Si quelqu'un d'entre vous les trouve, merci de bien les emmener à Rosa Pacheco, qui habite appartement 76. Sa pension est de 150 €." J'ai sorti 10 € de mon portefeuille et je suis monté sonner au numéro 76. Une petite grand-mère en tablier a ouvert la porte et lorsqu'elle a vu que je lui tendais un billet de 10 €, elle m'a embrassé avec des larmes de bonheur dans les yeux. Elle m'a dit "Je suis allée acheter de la farine, et quand je suis revenue, j'ai sorti les clés de mon appartement dans l'entrée et j'ai laissé tomber l'argent." Mais elle a refusé de prendre le billet. Il s'est avéré qu'en 2 heures, depuis que le mot avait été affiché, j'étais la sixième personne à avoir soi-disant trouvé l'argent de grand-mère ! Ah ça réchauffe le cœur de savoir qu'il existe des gens si bienveillants !