Elle fait le choix audacieux de déscolariser sa fille de 12 ans pour qu’elle puisse devenir “influenceuse”

Gens
Il y a 11 mois

L’univers florissant des influenceurs connaît une croissance remarquable ces derniers temps, révélant progressivement de nouveaux protagonistes. Les jeunes se tournent de plus en plus vers cette carrière, souvent bien plus lucrative qu’on ne l’imagine. C’est le cas de Deja, une jeune de 12 ans qui s’immerge entièrement dans ce domaine en plein essor.

La raison derrière ce choix

Une mère a partagé son choix de retirer sa fille de 12 ans de l’école pour se concentrer sur son émergence en tant qu’influenceuse. Kat Clark, résidant sur la Gold Coast dans le Queensland, est une figure TikTok avec 5,2 millions d’abonnés, récemment couronnée créatrice de l’année. Elle anime un podcast populaire, “Basically Besties”, avec ses filles Latisha, 20 ans, et Deja, 12 ans, pour qui Kat impose des règles parentales strictes. Pour expliquer ce choix, elle a mentionné dans le podcast “It’s All Her” animé par Jody Lucas que l’horaire scolaire ne convenait plus à leur mode de vie en raison des opportunités croissantes dans le monde de l’influence et des voyages fréquents vers Sydney.

“Nous ne voulons pas qu’elle rate ces opportunités”

Kat a décidé d’opter pour l’enseignement à domicile pour Deja l’année prochaine, souhaitant préserver ces opportunités sans compromettre son éducation. " Nous pensons que c’est mieux pour elle, simplement parce que nous ne voulons pas qu’elle rate ces opportunités. TikTok prend beaucoup de temps. C’est exactement ce qui fonctionne pour notre famille. " Elle a souligné que ce changement est réversible, offrant à Deja la possibilité de revenir à l’école traditionnelle si elle le souhaite.

Quant à sa fille aînée, Latisha, bien qu’elle ait brièvement poursuivi des études en droit après le lycée, elle a choisi de se consacrer au podcasting, ce qui a conduit Kat à souligner qu’elles soutiendraient Deja, peu importe son chemin professionnel, mettant l’accent sur l’importance de la liberté dans les aspirations de leurs enfants. " Avec Deja, si elle voulait devenir médecin ou avocat, nous l’encouragerions à poursuivre ses rêves. Mais actuellement, ce ne sont pas ses objectifs. Nous sommes prêts à travailler avec elle quoi qu’il arrive ", a ajouté la mère de famille.

Elle adore travailler avec ses filles

Kat a aussi partagé qu’elle avait enseigné à ses filles l’importance d’être authentiques et de ne pas se plier aux attentes des autres. La maman a également partagé sa joie de travailler étroitement avec ses filles : " Honnêtement, j’aime travailler en étroite collaboration avec mes filles. C’est tellement amusant, c’est comme travailler avec mes meilleures amies ".

L’avis des internautes

Plusieurs Australiens ont exprimé leurs avis sur ce sujet :

— " Je soutiendrais pleinement mon enfant s’il avait une vision claire et la maturité nécessaire pour quitter l’école “.

— ” J’ai eu du mal avec l’école, mes parents étaient contre, ils m’ont obligé à terminer et j’ai réussi un semestre à l’université “.

— ” De nos jours, il est bien plus facile et accepté de se réinscrire en tant qu’étudiant adulte si l’on décide de reprendre des études secondaires ou supérieures “.

— ” En tant que professeur de lycée, je trouve cela parfaitement acceptable ! Pourquoi forcer un enfant à rester à l’école s’il ne s’y épanouit pas ? ", a questionné un éducateur.

Il est essentiel de reconnaître que l’exposition des enfants sur les réseaux sociaux comporte des risques. La vigilance des parents est primordiale pour prévenir tout danger. Si internet offre des ressources éducatives, il présente également des risques d’entrer en contact avec des individus malveillants. C’est pourquoi une surveillance attentive est indispensable pour assurer la sécurité des enfants en ligne.

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