12 Histoires réelles plus imprévisibles qu’un scénario de film


Perdre un être cher s’accompagne souvent de défis inattendus, surtout lorsqu’il est question de famille, de biens ou d’argent. Les émotions peuvent être à fleur de peau, et les décisions prises dans le chagrin risquent de créer encore plus de tensions. Récemment, l’une de nos lectrices nous a écrit pour nous raconter la situation difficile qu’elle a vécue avec la fiancée de son fils défunt.
Chère rédaction de Sympa,
Mon fils, âgé de 25 ans, est décédé il y a un mois après une longue maladie. Sa fiancée refuse toujours de déménager.
La maison qu’ils partageaient m’appartient, et je souhaite la louer. Elle m’a dit : “Je me suis occupée de lui comme une infirmière pendant deux ans. C’est ainsi que tu me remercies ?!” Je n’ai donc pas eu d’autre choix que de sortir ses affaires.
Quelques heures plus tard, j’ai eu un véritable choc en apprenant que mon fils lui avait légué ses parts dans l’entreprise que nous possédons ensemble. Son avocate m’a appelée pour m’informer que 20 % de l’entreprise lui appartiennent désormais.
Mon fils ne m’en avait jamais parlé, mais il semble que, dans ses derniers jours, alors que sa santé déclinait, il ait signé les papiers pour officialiser tout cela.
À présent, je suis légalement obligée de la voir chaque jour et de partager nos bénéfices avec elle.
Cette femme était la fiancée de mon fils, même pas son épouse. Ils n’avaient même pas d’enfants.
Je n’ai vraiment pas envie qu’elle reste “collée” à notre famille maintenant qu’il n’est plus là. Tout cela me paraît terriblement injuste.
As-tu un conseil à me donner sur la façon de gérer cette situation ?
Affectueusement,
Héléna
Voici une autre histoire qui a suscité beaucoup de discussions. Sophie cuisine pour la famille de son mari tous les dimanches, mais elle en a eu assez. Lui insiste pour continuer à les recevoir, car ils ont contribué à l’achat de la maison. Voici ce qui s’est passé ensuite.











