12 Personnes qui ont ressenti du dégoût d’une façon des plus étranges


“Couvrir les collègues peut être gratifiant, jusqu’au moment où ça se transforme en des mois de travail supplémentaire non payé. C’est exactement ce qui m’est arrivé. Après avoir repris les responsabilités de deux collègues qui avaient démissionné, j’ai passé six mois à faire trois jobs sans augmentation. Ce n’est que quand j’ai décidé de m’exprimer de façon stratégique que les choses ont enfin changé”, a raconté Sophie.

Salut Sympa,
Je m’appelle Sophie, j’ai 29 ans, et je travaille dans un bureau où la dévotion est souvent tenue pour acquise. Il y a six mois, deux collègues ont quitté l’entreprise du jour au lendemain. Mon patron a demandé à moi et à une autre coéquipière de reprendre temporairement leurs tâches. Il a promis que ce serait “juste le temps de trouver des remplaçants”. J’ai accepté parce que je voulais aider l’équipe, mais six mois plus tard, j’assumais toujours trois postes (sans la moindre augmentation).
Finalement, j’ai décidé qu’il était temps de parler. J’ai demandé une augmentation, et mon patron m’a envoyée promener en disant : “Tu as de la chance qu’on te fasse confiance.” Cette phrase m’a frappée. J’ai compris qu’il ne voyait pas la valeur de mon travail, seulement la commodité que je représentais. Le lendemain, j’ai envoyé un mail à l’équipe, direction et RH inclus. J’ai expliqué :
“En raison du manque de personnel, j’assume trois rôles depuis six mois sans compensation. Puisque la confiance semble remplacer les augmentations ici, je suis ravie d’étendre cette confiance en faisant confiance aux RH et à la direction pour examiner la situation équitablement.”
Une heure plus tard, les RH m’appelaient pour un rendez-vous. Deux semaines plus tard, j’ai eu mon augmentation. Mon patron ne m’a plus jamais appelée “chanceuse”. Ce moment a été une vraie révélation : j’ai compris que s’affirmer de manière professionnelle, même publiquement, peut réellement changer les choses. Mais je ne sais pas... Une partie de moi se demande encore si j’ai mal agi. Qu’en penses-tu ?
— Sophie

Merci Sophie d’avoir partagé ton histoire. Elle montre que s’affirmer n’est ni impoli ni non professionnel. C’est nécessaire pour être reconnue à sa juste valeur.
1. Suis ton travail et tes réussites
2. Communique de façon stratégique
3. Pose tes limites et connais ta valeur

Nelly fait elle aussi face à des tensions au travail après avoir refusé de rendre l’argent qu’elle a touché par erreur en recevant deux salaires.











