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La grossesse n’est pas une mince affaire, c’est tout à fait entendable. Mais qu’en penser lorsque cela impacte la vie professionnelle d’un collègue ? J’ai choisi de tenir tête à ma collègue exigeante et enceinte, et cela s’est totalement retourné contre moi.
Bonjour chers lecteurs ! Ma collègue a annoncé sa grossesse au travail comme si elle avait gagné à la loterie. Tout le monde a applaudi et l’a acclamée, et honnêtement, j’étais heureux pour elle aussi. Mais cet enthousiasme n’a pas duré longtemps une fois qu’elle a commencé à agir comme si j’étais sa roue de secours.

Elle a commencé à dire des choses comme : " J’ai des nausées matinales, s’il te plaît, tu veux bien m’aider ? " et " tu comprendrais si tu étais une femme ", en me refilant un peu plus de son travail, à chaque fois. Au début, je ne voulais pas paraître impolie, alors j’ai dit oui. Mais ensuite, elle n’arrêtait pas de demander des faveurs. Elle arrivait en retard, partait tôt ou me disait simplement par message qu’elle allait chez le médecin, en s’attendant à ce que je la remplace en m’occupant de ses tâches.
Un matin, elle m’a envoyé un autre message me demandant de gérer à nouveau ses rapports, et j’ai finalement craqué. Je lui ai dit : " Je le ferai si tu me paies une partie de ton salaire. " Ça n’était pas méchant, c’était plutôt comme mi-blague, mi-vérité. Elle ne l’a pas pris de cette façon. Elle est restée silencieuse, et le lendemain, j’ai eu un choc en recevant un e-mail des RH. J’étais convoqué à un entretien.

Il s’est avéré qu’elle s’était plainte au motif que je la “jouais perso” et que je la “discriminais parce qu’elle est enceinte” et que j’étais “méchant au lieu d’être compréhensif”.
Lors de la réunion, j’ai tout expliqué. Je leur ai dit que j’étais heureux d’aider une fois de temps en temps, mais que je ne pouvais pas continuer à assumer du travail supplémentaire non rémunéré. Heureusement, j’avais des messages écrits pour le prouver. Les RH les ont examinés et ont dit que je n’avais pas tort de fixer des limites, mais que j’aurais dû être plus “délicat” dans mon approche.

Ils ont également appelé ma collègue, et j’ai découvert qu’on lui a “demandé” de gérer tout son travail par elle-même, dans les temps et sans donner d’excuse, ou de prendre un congé sans solde. Elle a complètement arrêté de me parler, et tous mes collègues me traitent comme si j’étais le méchant du bureau. Je les entends parfois chuchoter des : “ça ne coûte rien d’être gentil”. Je ne comprends pas. En quoi est-ce ma responsabilité de m’occuper d’elle ou de l’aider ? Je ne fais pas la charité et je ne suis pas son petit ami. Ai-je tort de penser de cette manière ?
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