La confession poignante de Mathilde Seigner sur ses complexes face à la “beauté spectaculaire” de sa sœur

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Il y a 11 mois

Lors de sa récente apparition dans une émission, Mathilde Seigner a abordé en détail les complexités qu’elle a ressenties en raison des différences physiques entre elle et sa sœur aînée. Cette discussion a permis de mettre en lumière les défis qu’elle a dû surmonter en grandissant aux côtés de sa sœur.

Dans l’émission télévisée Quelle époque ! diffusée sur France 2, Mathilde Seigner a partagé des informations précieuses sur la pièce de théâtre Bungalow 21, dans laquelle elle partage pour la première fois la vedette avec sa sœur aînée, Emmanuelle Seigner. La pièce aborde le passionnant triangle amoureux entre Simone Signoret, Yves Montand et Marilyn Monroe.

Au cours de l’entretien, Mathilde a également fait des confidences sur sa relation personnelle avec Emmanuelle, tout en réfléchissant sur sa perception de l’image et de l’apparence physique. Cette interview a offert un aperçu unique de la vie et des pensées des sœurs Seigner.

Un rôle exigeant

L’actrice a partagé son sentiment de fierté à l’idée de jouer le rôle de l’icône de Casque d’or sur scène, mais elle avoue avoir eu des doutes considérables avant d’accepter ce rôle. Elle confie : " Je n’étais pas très confiante. J’avais des craintes que les gens puissent dire : “Elle est moins belle que ne l’était Signoret.” C’était quelque chose de pas évident à incarner, c’est un rôle exigeant. "

“J’étais très complexée”

Lors de l’interview, la journaliste Léa Salamé aborde un sujet délicat concernant les déclarations précédentes de l’actrice au sujet de sa sœur aînée. Elle demande : " Vous avez mentionné que vous avez souffert de sa beauté, n’est-ce pas ? " Mathilde Seigner confirme cette affirmation en disant : " Oui, Emmanuelle était spectaculairement belle, même plus belle que Marilyn Monroe, je pense. Elle était très belle et moi, j’étais très complexée. "

Cependant, Mathilde Seigner tient à préciser qu’elle n’en a jamais voulu à sa sœur et qu’elle n’était pas jalouse d’elle par nature, mais qu’elle se sentait complexée, comme c’est souvent le cas dans les relations entre frères et sœurs.

Véronique Jannot a partagé les petites habitudes qui l’aident à bien vieillir à 66 ans.

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