13 Personnes qui auraient mieux fait de se faire livrer un repas plutôt que d’aller au restaurant

Les gens se surprennent continuellement les uns les autres. Parfois, nous ne savons pas grand-chose de nos proches, alors que dire des étrangers ? Lorsque l'on voyage dans un autre pays on doit s'attendre à plonger aussi dans une autre réalité, d'autres codes et habitudes. Mais il est bon de se laisser surprendre parfois. Le voyage peut aussi bien être au coin de la rue.
Sympa a rassemblé 12 histoires d'utilisateurs de Pikabu et de Chambre N°6, qui nous prouvent de manière très convaincante que nous devons être prêts à tout dans la vie.
Je suis allé en France pendant deux semaines. Je retenais ma respiration, prêt à voir la beauté des femmes françaises, leur style inimitable et leur charme fou. La réalité a été dure : personne ne se maquille, elles sont toutes en jeans et en baskets basiques, en bref, ce n'était pas ce à quoi je m'attendais. Jusqu'à ce que je l'aperçoive, elle, la Française idéale : elle flottait sur ses talons hauts, portait une belle robe, avait un style fabuleux, en bref, une véritable fée. C'est alors que la "fée" a trébuché, s'est cassé un talon et s'est écriée à haute voix dans ma langue natale : "Pu $%#& mère !". Mais bien sûr, une française...
Les voyous du quartier sont soudainement devenus des gens très gentils. Ils s'assoient correctement sur le banc au lieu d'y monter debout, ils déposent les mégots de cigarettes dans un sac au lieu de les jeter sur le trottoir, ils disent poliment bonjour aux voisins, on ne les entend pas ! Et tout cela parce que la mère de l'un d'entre eux est venue les voir, et passe depuis sa journée assise sur le balcon du deuxième étage, à regarder dehors pour surveiller son fils.
Il n'y a pas longtemps, j'ai décidé de faire des étirements et j'ai téléchargé une vidéo sur internet. J'essaie de le faire tous les matins. Aujourd'hui, alors que j'étais en train de m'étirer, j'ai aperçu un clochard qui me regardait fixement par la fenêtre de ma chambre (j'habite au rez-de-chaussée). Je me suis mise en colère et lui ai crié : "Qu'est-ce que tu me veux ?" Et il a répondu : "Regarde !" Et il a fait le grand écart. "Même moi, je peux le faire, et toi, tu n'y arrives même pas, grosse flemmarde !" Eh bien, merci pour ça, maintenant je m'entraîne deux fois plus, de colère.
Quand j'avais environ cinq ans, ma mère m'a emmenée voir un spectacle de Noël : "La reine des neiges". Pendant l'entracte, les organisateurs organisaient de petits concours pour les enfants. L'un des exercices consistait à soulever un poids qui était au milieu de la scène. C'était une tâche difficile avec une bonne récompense à la clé. Les enfants frustrés descendaient de la scène l'un après l'autre. Je suis alors montée, une petite fille menue habillée en robe rose, et d'un mouvement brusque j'ai soulevé le poids, en emportant avec lui le morceau de tapis auquel il était collé.