Une influenceuse de 22 ans a décidé de se faire ligaturer les trompes, mais la réponse de son gynécologue n’était pas celle qu’elle attendait

Olivia, 22 ans, ne souhaite pas devenir mère et a décidé d’opter pour une ligature des trompes. Cependant, la réaction de son gynécologue a été loin de ce qu’elle espérait. La jeune influenceuse a fait sensation en partageant son échange surprenant avec son gynécologue.

Elle a choisi de ne pas avoir d’enfants

À 22 ans, Olivia est certaine de ne pas vouloir d'enfant. Elle a donc envisagé une ligature des trompes, une forme de stérilisation. Cependant, lors de sa consultation avec son gynécologue, elle a été surprise par sa réaction. Selon Olivia, qui a posté une vidéo sur TikTok, le médecin lui aurait clairement dit "non" et mis en avant l'irréversibilité de cette décision, refusant de pratiquer l'intervention.

Sa vidéo fait le buzz sur la toile

Déçue et contrariée, Olivia a exprimé son mécontentement en ligne. Dans une vidéo, elle évoque le droit des femmes à décider de leur corps et de leur reproduction. Cette vidéo a été visionnée plus de 4 millions de fois sur le réseau social.

Face à cette popularité, Olivia a commenté : "J'ai découvert que de nombreuses femmes étaient confrontées au même refus concernant la ligature des trompes et d'autres interventions similaires", a-t-elle dit. Elle a poursuivi en disant : "Ma frustration est grande, mais je ne peux pas imaginer celle des autres femmes dans cette situation."

La réaction des internautes

Dans les commentaires, de nombreuses personnes ont apporté leur soutien à Olivia et ont partagé leurs sentiments. Certaines se sentent soulagées de constater qu’elles ne sont pas seules dans cette situation. Olivia a terminé en déclarant : «Autrefois, ne pas vouloir d’enfant était assez tabou pour une femme. Je suis donc heureuse d’être une voix pour celles qui se sentent seules avec cette conviction.»

Le droit fondamental de disposer de son corps

Les femmes ont le droit fondamental de prendre des décisions concernant leur propre corps, que ce soit en matière de santé, de reproduction ou d’apparence, sans être soumises à des jugements ou des préjugés.

L’autonomie corporelle ne concerne pas seulement la santé reproductive. Elle englobe également le droit de décider de son apparence physique, que ce soit à travers des choix vestimentaires, des modifications corporelles comme les tatouages ou les piercings, ou encore des décisions liées à la chirurgie esthétique. On est persuadés que ces choix sont personnels et devraient être respectés sans être sujet à des critiques ou des jugements.

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