Vanessa Paradis se confie sur le réalisateur qui a marqué sa vie à jamais

Vanessa Paradis, une icône de la chanson et du cinéma français, a captivé le public par son charisme et son talent incontestable. Sa carrière prolifique s’étend sur plusieurs décennies, et elle reste l’une des personnalités les plus appréciées de l’industrie du divertissement. De la musique au cinéma, en passant par la mode, Paradis a conquis le cœur de millions de fans à travers le monde. Récemment, elle a évoqué une expérience malaisante qu’elle a traversée au début de sa carrière cinématographique. Tous les détails sont révélés dans cet article.

Un réalisateur autoritaire

Récemment, Vanessa Paradis s’est confiée dans une interview accordée à Harper’s Bazaar, évoquant un tournage difficile en compagnie d’un réalisateur qu’elle a qualifié d’autoritaire. Les souvenirs de Paradis concernant cette période sont loin d’être positifs. Durant les années 1980, cette chanteuse et actrice française a captivé le public grâce à sa personnalité envoûtante et son engagement, ce qui l’a propulsée vers une immense popularité. Après avoir connu un succès retentissant avec “Joe le taxi”, elle a décidé de se lancer dans le monde du cinéma.

“Il était détestable”

En 1989, elle a intégré la distribution de Noce blanche, un film dirigé par Jean-Claude Brisseau. À l’âge de 16 ans, au moment du tournage, cette jeune artiste en herbe a été récompensée par le César du meilleur espoir féminin. Cependant, cette expérience cinématographique s’est avérée extrêmement difficile pour la jeune femme, en grande partie à cause du comportement du réalisateur.

Vanessa Paradis a témoigné de son expérience en déclarant : “Brisseau pourrait faire tout ce qu’il veut, je ne retournerai jamais avec lui. Il était détestable. Peut-être que Brisseau essayait aussi d’aller au conflit pour me sortir de ma zone de confort, pour obtenir certaines émotions. Il me disait constamment : Je ne veux pas que tu minaudes”.

Sa première expérience au cinéma

Lors de l’interview, la star a partagé : “Je n’avais jamais fait de film, donc j’ignorais la façon dont ça se passait. Et je me suis retrouvée face à un réalisateur autoritaire, impressionnant physiquement, qui pouvait facilement faire peur”. Plus de trente ans après, cette expérience la touche encore profondément.

“Tu étais très mauvaise”

Elle a poursuivi en révélant : “Je me souviens de cette phrase qu’il ne cessait de me répéter : ’si tu ne minaudes pas, tu iras loin’. Il avait une drôle de manière de me mettre en situation. J’étais maquillée, prête à tourner et cinq minutes avant de rentrer sur le plateau pour jouer devant toute une équipe, il m’envoyait son assistante personnelle, sa femme, pour me dire : ’tu étais très mauvaise, nulle même, tu as intérêt à faire mieux aujourd’hui’. Il brisait ma confiance en moi au moment où j’en avais le plus besoin. Je n’ai jamais vu la tendresse de Brisseau”. Heureusement, Vanessa Paradis a pu compter sur le soutien de ses proches à l’époque, qui l’ont aidée à traverser cette épreuve si difficile, surtout pour une adolescente.

En dépit de cette expérience désagréable, Vanessa Paradis a maintenu sa détermination et poursuivi avec succès son rêve de devenir une icône de la chanson et du cinéma français. Cela illustre le fait que, quelle que soit la situation, il est essentiel de rester concentré sur nos aspirations, plutôt que de se laisser décourager par les obstacles.