18 Adultes qui se souviennent encore des offenses qui leur ont été faites dans leur enfance, mais qui ont appris en sortir encore plus forts

Gens
Il y a 1 an

Quel que soit notre âge, il y a probablement des événements de notre enfance qui sont restés gravés dans notre cœur. Ils peuvent être à la fois beaux et blessants. C’est pourquoi nous allons partager avec toi 18 histoires d’utilisateurs qui ont subi, dans leur jeune âge, une offense de la part de leur famille et qui ont pourtant trouvé le moyen d’aller de l’avant et de n’en tirer que du positif.

  • Ma mère ne m’a jamais aimée parce que je ressemblais à la tante de mon père, alors j’ai grandi à l’internat. Quand j’ai eu 10 ans, elle m’a fait travailler dans une maison et je n’ai pas pu aller à l’école. À 14 ans, je me suis enfuie et je suis tombée sur une bonne famille. À 20 ans, je me suis mariée, j’ai eu huit enfants, ils ressemblent à leur père et je les aime tous très fort. © Maria Rueda / Facebook
  • Au début, ma mère était jalouse que mon père me traite avec amour. Puis, à l’adolescence, elle était contrariée que je sois indépendante. Ensuite, elle m’a détestée parce que je ressemblais à sa mère (ma grand-mère), et elle a fini par me détester lorsque j’ai divorcé. En d’autres termes, rien en moi n’était bien à ses yeux. Mais j’ai décidé de toujours être la meilleure version de moi-même, de me donner beaucoup d’amour et d’être heureuse. Je comprends maintenant qu’on ne lui a jamais appris à aimer, et qu’elle ne pouvait pas m’apprendre ou me donner ce qu’elle n’avait pas connu. Je lui ai pardonné et j’ai décidé de vivre le présent dans l’amour et le respect. Maintenant, je me sens comblée et heureuse. © Kita AT / Facebook
  • Ma mère était une travailleuse acharnée qui rêvait de nous donner le meilleur. Le point négatif, c’est qu’elle avait une préférence au niveau de ses enfants, elle préférait son fils. Peut-être était-ce parce qu’il la faisait toujours rire, qu’ils dansaient et qu’il se confiait beaucoup à elle. Ça m’agaçait, mais j’étais l’enfant préféré de mon père. Je pense que mon frère et moi nous nous aimions, mais à cause de cette rivalité, nous nous sommes toujours affrontés. Je ressentais de la jalousie, de la colère et du ressentiment. Maintenant, je sais que nos parents nous aimaient. Mon frère est décédé un mois avant ma mère, et j’ai compris qu’il était parti avant elle pour ne pas avoir de problèmes avec les choses matérielles. Maman était très gentille ; elle a vécu ses derniers jours avec moi et c’est là que j’ai compris pourquoi elle s’était toujours davantage rapprochée de mon frère aîné : elle aimait beaucoup mon père, et mon frère lui ressemblait. Ne tombons pas dans le piège, changeons ; quelque chose de bon sort toujours des erreurs de nos parents. © Miriam Valenzuela / Facebook
  • Je suis la plus jeune et j’ai deux grands frères. Ma mère était très stricte avec moi, mais traitait les garçons avec bienveillance. J’en suis venue à penser que j’avais été adoptée ; je ne me souviens pas d’un seul baiser ou d’un mot affectueux. Cependant, cela m’a poussé à faire de gros efforts. J’ai étudié et travaillé dès l’âge de 16 ans. J’ai atteint une position économique décente. Ma mère a toujours vécu avec moi, car mes frères ne s’occupaient pas d’elle. Quand je lui ai demandé un jour pourquoi elle me traitait mal, elle m’a répondu que c’était parce qu’elle pensait que j’étais forte et que j’avais du caractère. Mais j’avais besoin d’un peu d’encouragement et d’affection. Je l’ai quand même remerciée pour ma vie et de m’avoir aidé à élever mes enfants. Elle est restée avec moi jusqu’à sa mort, et elle n’a jamais manqué de rien. © Lila Venegas / Facebook
  • Enfant, j’étais toujours le vilain petit canard. Ma mère faisait beaucoup de différences entre moi et mes trois sœurs. Maintenant, j’ai deux filles et j’essaie de ne donner la préférence à aucune d’entre elles. Je ne ferai jamais ce que ma mère a fait, même si je dois dire que je lui en suis finalement reconnaissante, car j’ai appris à être totalement indépendante et je me suis construit une belle vie. © Susana Rodriguez Palacios / Facebook
  • Une chose qui a beaucoup marqué mon adolescence, c’est que, pour elle, je n’étais pas aussi jolie que ma grande sœur. Elle a dit qu’elle ne savait pas pourquoi j’avais tant de prétendants et pas ma sœur, vu qu’elle était plus jolie. Je me regardais dans le miroir et je me sentais moche. Mon mari m’a beaucoup aidée, il ne comprenait pas pourquoi j’avais une faible estime de moi, j’avais toujours peur qu’il me quitte. Mais maintenant, je suis mariée depuis 27 ans. Il y a seulement six mois, lorsque ma sœur est décédée, de nombreuses choses ont été révélées, notamment qu’elle était la fille du premier amour de ma mère, et mes autres frères et sœurs et moi-même, celui de l’homme qui avait été sa bouée de sauvetage. © Cecilia Unda / Facebook
  • Il y a quelques années, j’ai emménagé dans un appartement et j’étais voisine d’une ancienne collègue de ma mère. Elle m’a reconnue et m’a dit : “Tu es la nièce de Teresa, n’est-ce pas ?” J’ai dit, “Non, je suis sa fille”. Et elle a répondu : "Je croyais que Teresa n’avait qu’un fils unique... Donc Alex est ton frère ? © Dora Mendez Merino / Facebook
  • Ma grand-mère, pour me discréditer, me disait constamment que j’étais bien comme mon père. Mais vous savez quoi ? Je suis tellement fier de ressembler à mon papa ! Je l’aime de tout mon cœur ! © Silvia Maddonni Angel / Facebook
  • J’ai découvert bien des années plus tard pourquoi ma mère avait agi ainsi avec moi. Mon père m’a donné le prénom de sa maîtresse, et quand ma mère l’a découvert, ils se sont évidemment séparés. Mais elle ne pouvait pas changer mon prénom... Finalement, je pense qu’elle a compris que ce n’était absolument pas de ma faute. © Alicia MontLi / Facebook
  • Mon père et une ou deux autres personnes de la famille m’ont surnommée comme la petite sœur de ma mère (ma tante), car elle menait une vie différente. Ils savaient que ça me faisait mal, mais ils en riaient. C’est quelque chose qui m’a beaucoup affecté dans ma vie. © Marley Dlvz / Facebook
  • Ma mère me reprochait d’être “grosse”. Je regarde mes photos d’enfance maintenant, et l’obésité que j’ai vue était dans sa tête. Cela a affecté mon estime de soi ; j’ai encore du mal à m’aimer. © Faby Lopez / Facebook
  • Ma mère a autorisé mon père à me donner le deuxième prénom de ma grand-mère paternelle (sa belle-mère). Elle a passé toute sa vie à me discriminer pour cette raison et à me comparer à ma grand-mère, qui, soit dit en passant, avait le défaut d’être une dame maniaque et très à cheval sur la propreté. Mamie était très gentille avec moi et j’ai de beaux souvenirs d’elle. © Rosa Oviedo / Facebook
  • Ma famille avait l’habitude de m’appeler en plaisantant “la mal aimée”. Cela m’a marquée depuis mon enfance, jusqu’à ce que je fasse la paix avec moi-même et que je leur pardonne leurs “blagues”. J’ai pu avoir la paix et vivre dans la joie. © Mayra Orozco / Facebook
  • Je déteste le prénom que mon père m’a donné. On se moquait de moi à l’école, comme si une si jolie fille avait été punie par un nom de mamie. Quand j’allais à des rendez-vous médicaux, ils riaient parce qu’ils s’attendaient à trouver une vieille femme, alors que j’étais une jeune fille. À l’adolescence, j’ai changé de prénom, j’ai dû passer par des démarches chères et compliquées. Ma famille est toujours en colère à ce sujet, mais elle ne comprend pas ce que j’ai dû traverser. © Dayana Sánchez / Facebook

Et toi, quelqu’un a-t-il déjà voulu te manquer de respect, mais tu as réussi à répliquer ? Quel est le souvenir le plus blessant de ton enfance ?

Photo de couverture Cecilia Unda / Facebook

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