Ces 10 histoires montrent que quand tu as un père, tu n’as pas besoin de super-héros

Histoires
Il y a 6 ans

On écrit tellement de choses au sujet des mamans, que nous nous sentons un peu mal pour les papas. Pour corriger ce malentendu malheureux, nous avons cherché des histoires émouvantes et drôles sur les hommes incroyables qui portent le titre honorable de "papa". Après les avoir lues, tu te rendras compte que ce n'est pas seulement les bébés qui ont besoin de leur papa, mais aussi les enfants très adultes. Parce qu'un papa peut tout...

Sympa te propose 10 histoires sur les meilleurs pères du monde, partagées sur différents réseaux sociaux.

  • Je retournais au bureau après le déjeuner. La journée était magnifique, il y avait un grand soleil, un superbe ciel bleu et je me sentais de très bonne humeur. J'ai commencé à chanter une chanson que j'écoutais avec mes écouteurs. Et puis tout d'un coup, quelqu'un m'a attrapée par-derrière, soulevée et j'ai entendu hurler : "Que diable fais-tu ici ?" J'ai tourné la tête pour voir le visage de mon bourreau, qui me tenait par le cou, comme un chaton. Ses yeux se sont écarquillés, et avec un air absolument stupéfait et complètement gêné, il m'a doucement reposée sur le sol, en secouant la poussière inexistante sur ma veste et a balbutié : "Désolé, désolé, je suis terriblement navré, de dos je t'ai pris pour ma fille. Je pensais qu'elle était en train de sécher son test de mathématiques ! " Daniela, 29 ans
  • On parle toujours des mères. Moi, je veux parler de mon père. Ma mère a quitté mon père et moi quand j'avais 5 ans seulement. Maintenant j'ai 24 ans, et pendant toutes ces années, mon père m'a élevé tout seul. Il m'a enseigné comment réparer les robinets et les prises électriques, couper les ongles, conduire une voiture et faire des gâteaux. Et en plus d'être mon père, c'est aussi ma mère ! Il connaît la taille de mes collants et de mes autres vêtements. Il sait quel maquillage j'aime, il sait toujours me conseiller sur quelle robe ou quelles chaussures acheter. Je peux lui dire n'importe quel secret ou lui poser une question sur n'importe quel sujet. Il me comprendra toujours et m'aidera. Je suis si fière de lui. Et je l'aime du plus profond de mon cœur.
  • Mon père est punk. En hiver comme en été, il met des vestes en cuir noir et il a une crête de couleur sur la tête. Il est recouvert de tatouages ​​et a les oreilles percées. Beaucoup de gens le regardent avec indignation et se disant que ce genre de type doit avoir une terrible influence sur sa fille (moi) et qu'il ne peut sûrement rien m'enseigner de bien. Eh bien je peux dire que ce "punk incorrigible" m'a emmenée dans les musées et les théâtres tout au long de mon enfance, sans prendre en compte le regard des autres, il a payé pour que j'ai des profs particuliers et s'est engagé à étudier l'anglais avec moi en écoutant des chansons classiques dans cette langue. Il a enduré patiemment toutes les heures où je torturais mon violon, en m'enseignant parallèlement à jouer de la guitare. C'est lui qui m'a aidée à choisir les premières chaussures à talons de ma vie, qui m'a appris les bases de l'auto-défense et qui m'a emmenée à la fois aux concerts de rock et au conservatoire de musique. Maintenant, je suis enceinte et mon père apprend à coudre et à tisser de la laine pour faire des chaussures et des écharpes pour sa petite-fille. Et je suis sûre à 100% que ma fille aura le meilleur grand-père du monde.
  • Ma fille (6 ans) me demande :
    - Maman, qu'est-ce c'est qu'une momie ?
    Je commence à lui expliquer, l'Egypte, les pharaons, etc. Je vois qu'elle ne comprend pas.
    - Demande à ton père.
    - Papa, qu'est-ce c'est qu'une momie ?
    - Un homme en peluche !
    - Aa-ah, je vois.
  • Quand j'étais petit, j'aimais me laisser tomber sur la glace et mon père me traînait en me tenant la jambe. Papa riait, et moi je lui disais que quand je serais grand, j'allais me venger. J'ai grandi. Un jour, c'était l'anniversaire de ma mère, j'ai retrouvé mon père à quelques pâtés de maisons de chez moi pour acheter un bouquet de fleurs. Nous étions quasiment de retour quand papa est tombé sur la glace, il a étendu une jambe et m'a dit : "Prends-la mon fils, maintenant c'est ton tour." Et je l'ai traîné jusqu'à la maison avec le bouquet entre mes dents. Et papa, heureux, sur son dos, n'a fait que sourire.

  • Je voulais vraiment avoir une licorne. Vraiment. J'ai pleuré pendant des heures et des heures pour l'avoir mais en vain. Et puis papa m'a regardée pendant un moment, s'est habillé et est parti sans un mot. Il est revenu 2 heures plus tard avec une licorne d’un mètre de long sous le bras : blanche comme la neige, avec les cheveux roses et la queue et les yeux lavande. J'étais tellement excitée que j'ai fondu en larmes à nouveau. Papa s'est juste tenu à côté de moi, m'a caressé la tête et m'a préparé une tasse de thé à la menthe pour calmer mes nerfs. Et je ne pouvais pas m'empêcher d'imaginer cet homme militaire intimidant (un colonel !), traîner une licorne dans toute la ville, juste pour faire plaisir à sa fille enceinte pendant que son mari était en voyage d'affaires... Je sais que personne ne m'aimera autant que mon père. Il ne sait pas encore, mais j'appellerai mon fils Alexandre, en son honneur, mon mari est d'accord.

  • J'étais avec mon père dans un bus : moi sur le siège avant, lui deux sièges en arrière. Un jeune homme s'est approché de moi et m’a demandé : "Ta mère n'a-t-elle pas besoin d'un gendre ?" J’ai répondu : "Je ne sais pas pour ma mère, mais je vais demander à papa." Et il n'a pas le temps de dire quoi que ce soit avant que je me retourne et crie haut et fort : « Papounet, as-tu besoin d'un genre ?". Et lui, sans se lever a répondu : "Hé, gendre, combien de tractions peux-tu faire ?" - "Dix" - "Et des abdos ?" - "Une vingtaine" - "Que m'offres-tu pour ma fille ?" Le jeune homme, sans réflechir, lui répond un "Snickers". Papa a ouvert le paquet, a mordu dans la barre et a serré la main du jeune homme. "Je suis d'accord, ma fille est maintenant à toi, tu es une mauviette, bien sûr, mais je vais te mettre en forme." Et il l'a fait : chaque matin il lui a fait faire du jogging, des pompes, des abdos, des tractions etc. et le tout pendant 6 mois. Au lieu d'épouser un garçon tout maigrelet, j'ai épousé un bel homme musclé. Merci papa !
  • Nous étions sur le point de sortir. J'habillais ma fille de six mois dans la chambre. Mon mari, déjà habillé, nous attendait à la porte. Mais il s'est vite ennuyé et il a décidé de ramper à quatre pattes pour ne pas à avoir à enlever ses chaussures et ne pas salir le sol qu'on venait de laver. Il a rampé jusqu'à notre chambre puis il a commencé à parler à notre fille et elle le regardait avec des yeux remplis d'amour ! J'ai dit à mon mari : "Regarde à quel point elle t'aime ! J'aimerais savoir pourquoi." Et mon mari, reculant à quatre pattes, a dit à voix basse : "Parce qu'elle sait qui dans notre famille est le plus sympa..."
  • J'ai inscrit nos filles dans une école de danse classique. Tout se passait bien et elles amélioraient leur niveau jusqu'à ce que les caprices commencent : elles étaient fatiguées, c'était difficile, elles ne voulaient plus en faire et ainsi de suite. J'ai parlé avec elles, ma mère a parlé avec elles, la mère de mon mari a parlé avec elles, mais rien à faire, c'était toujours non, non et encore non. J'ai alors décidé d'utiliser de l'artillerie lourde et j'ai envoyé mon mari les voir. Une demi-heure s'est écoulée et il y avait un silence absolu, puis une heure, une heure et demie et tout d'un coup, j'ai entendu un éclat de rire des filles et la voix apeurée de mon mari qui disait : "Non, c'est hors de question !" Il s'est avéré que les filles avaient établi une condition : elles continueraient à apprendre si leur père venait aussi. Il a résisté pendant longtemps, mais sous notre pression, il a fini par se rendre au cours. Maintenant, 3 fois par semaine, la scène suivante se produit : les filles rentrent des cours et s'empressent d'aller répéter tous les exercices dans la "salle de danse" à la maison et avec elles, dans des collants et un haut moulants, mon homme de presque 100 kg et assez grassouillet, répète tous les mouvements avec elles. Ça, c'est la définition parfaite de l'amour.

  • Quand j'avais 18 ans, j'ai découvert que mon père n'était pas mon père biologique. Mon vrai père avait abandonné ma mère quand elle était enceinte. J'étais en état de choc. J'ai pleuré toute la nuit en pensant : "Pourquoi est-ce arrivé à moi? Ne sommes-nous donc pas une famille ? " Et puis j'ai commencé à me souvenir. Je me suis rappelée comment mon père restait avec moi jusqu'à une heure du matin à m'aider à faire mes devoirs et mes travaux d'arts plastiques quand ma mère était de garde au travail. Je me suis souvenue de la fois où, quand mon père aidait un ami dans le garage, j'ai couru vers eux et un morceau de fer brûlant a volé vers moi... Papa l'a attrapé avec sa main. La brûlure était terrible, mais j'étais en sécurité. Je me suis rappelée que pour chacun de mes anniversaires, il m'offrait un petit bouquet de fleurs absolument magnifique. Je me suis souvenue qu'il avait toujours été là pour moi, dans les bons, comme dans les mauvais moments. Et le matin, je suis descendue à la cuisine, où mon père buvait sa tasse de café. J'ai vu cette cicatrice sur sa main et je me suis rendue compte à quel point je l'aimais. Je l'ai serré dans ses bras et je lui ai dit que pour rien au monde je ne voudrais un autre père que lui. Non, cette nouvelle n'est pas passée sans laisser de trace. J'ai réalisé à quel point l'amour dans notre famille était puissant et à quel point nous étions unis.

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