Une sélection d’histoires sur des super voisins qui te feront chaud au cœur

Il n’est pas rare que les résidents d’un bâtiment se plaignent de leurs voisins à cause du bruit qu’ils font, pour leur indifférence à l’égard des autres ou pour les comportements erratiques qu’ils doivent supporter. Mais les protagonistes de notre sélection du jour ont de la chance, car ils vivent avec des individus au caractère généreux qui sont disposés à aider quand besoin est. Et certains d’entre eux aiment même organiser des fêtes avec tout l’immeuble.

Sympa espère que tes voisins sont des personnes aussi aimables que les héros des histoires racontées sur les sites de partage d’expériences 6ème étage et Pikabu.

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Je loue un appartement, et à côté, vit une personne âgée. Cet homme aime faire du bateau, et moi aussi. Je lis les mêmes livres que lui. Nous avons commencé à passer des après-midi ensemble. Plus tard, je l’ai présenté à ma copine, et elle aussi l’apprécie. Nous sommes devenus une famille. Un jour, nous sommes allés lui rendre visite, et il avait des documents sur la table : il remplissait les formulaires pour mettre l’appartement à notre nom. Nous n’étions pas propriétaires, alors nous étions contents. Nous avons commencé à vivre ensemble, mais ses proches ont appris la nouvelle. Aujourd’hui, ils nous demandent de refuser le cadeau. Je peux les comprendre, mais je ne peux pas leur donner raison.

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Il y a une tradition intéressante dans le bâtiment où vit ma tante. À la fin de l’année, après minuit, tous les voisins se réunissent dans l’entrée principale avec des confettis, des fusées, du champagne et des bonbons, et ils se félicitent mutuellement. J’ai eu l’opportunité d’assister à cet événement, et je dois dire que c’est très agréable. Dans l’immeuble, il y a 28 appartements, et un peu plus de la moitié des habitants ont assisté à cette réunion ; certaines personnes célébrant Noël et le Nouvel An en dehors de chez eux.

P. S. : Tout le monde nettoie les déchets qui se trouvent au niveau de la porte d’entrée le premier de l’an.

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J’ai décidé d’arranger ma maison moi-même. J’ai dédié quelques heures par jour à ce travail après ma journée de boulot, avec un marteau ou une perceuse. Un jour, un voisin du dessous n’a plus supporté le bruit et est monté se plaindre. J’étais tellement fatiguée que j’ai tout simplement fondu en larmes. L’homme est resté perplexe, puis il a fait le tour de mon appartement, est passé dans le salon, a regardé mon chantier et s’en est allé. Le jour suivant, il est venu avec deux amis à lui. En deux jours, les trois hommes ont peint les murs, installé des étagères, monté les meubles, et lorsque je leur ai proposé de les payer, ils m’ont répondu : “Il est de notre devoir d’aider les dames”.

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Dans notre bâtiment vit un vieil homme, et ce n’est qu’hier que nous avons vu de quel bois il se chauffait. L’homme est sorti sur son balcon la nuit, et a vu que quelqu’un avait ouvert la voiture de l’un des voisins. Il a réveillé sa femme et lui a demandé d’appeler la police. Quand le voleur a vu que l’homme arrivait avec une hache, il s’est enfermé dans la voiture et a tenté de la démarrer, mais il n’a pas su connecter les bons câbles... Il est resté ainsi, entouré de plusieurs hommes d’un certain âge, jusqu’à ce que la police arrive.

“Chers voisins !

Samedi prochain, le 8 juillet, de 16 heures à 19 heures, dans l’entrée de notre bâtiment (à côté de la salle de jeux), les voisins organiseront une après-midi familiale sans alcool, durant laquelle nous feront griller des saucisses et de la viande au barbecue.

Ne perdez pas cette opportunité sans pareille de :

Manger une bonne viande fraîchement grillée.

Profiter d’un moment en famille, juste au pied de ton immeuble.

Connaître tes voisins.

Regarder les enfants qui joueront entre eux.

Ne manquez pas cette occasion !”

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J’attendais le médecin, mais je n’ai pas d’interphone. Alors j’ai placé un morceau de bois pour que la porte ne ferme pas et j’ai écrit ceci : “J’ai appelé le médecin, s’il vous plaît, ne fermez pas la porte, je n’ai pas d’interrupteur”. Les voisins qui ont vu cette note et qui restaient chez eux à ce moment là, afin que la porte ne se démagnétise pas ou qu’elle ne se casse pas (car dans ce cas, elle aurait été à mes frais), ont retiré le morceau de bois et ont laissé le message suivant : “Sonnez à l’appartement 20, 4, 19...”, etc.

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Dans l’appartement d’en face vit un couple marié avec un enfant. Ils sont toujours au travail. Un jour, j’étais chez moi quand la sonnette a retenti. J’ai ouvert et c’est alors que j’ai vu mon jeune voisin. Il m’annonçait que sa baby-sitter avait oublié quelque chose dans la voiture, et qu’il en avait assez d’attendre. Nous avons parlé durant 15 minutes. Il me racontait que ses camarades de classe le traitaient mal, mais qu’il avait honte de l’avouer à ses parents. Le jour suivant, je suis allée à l’école parler à ces enfants. Quand je suis rentrée chez moi après le travail, mon voisin est sorti en courant de son appartement, en criant : “Ils m’ont présenté des excuses ! Merci, merci !”. Ses parents étaient devant la porte. J’ai dû tout leur expliquer.

Voici comment est apparu dans ma vie un nouvel ami.

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Des amis et leur fils vivent dans une maison de bois plutôt mal insonorisée. Un jour, la mère s’est rendue au supermarché pour faire des courses. Elle est revenue et a demandé au petit : “Tu n’as pas pleuré ?”. Il lui a répondu : “Au début j’ai pleuré, mais j’ai entendu une voix invisible qui m’a dit : ’Ne pleure pas ! Elle va revenir !’ Et je me suis calmé”. C’était un voisin.

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J’ai des voisins qui donnent l’impression d’être des gens arrogants. Il s’agit d’un couple entre 30 et 35 ans, qui saluent de manière polie mais froide, et qui ne cherchent en aucun cas à parler avec qui que ce soit. Mais quand les voisins du haut ont inondé mon appartement, c’est précisément ce couple qui m’a gentiment aidé à sortir mes équipements électro-ménagers et qui a drainé l’eau du toit. Cinq voisins avec qui j’avais toujours parlé de manière amicale avaient refusé de m’aider : ils étaient soit fatigués, ou ils n’avaient personne à qui laisser leur chat, genre. Les “arrogants” continuent de me saluer froidement. Mais aujourd’hui, ils évoquent en moi des sentiments plus chaleureux que ceux avec qui je parlais auparavant, ceux qui n’ont pas bougé le petit doigt quand j’avais des problèmes.

“S’il vous plaît, ne touchez pas à l’armoire. Elle attend sa clé mâle. Elle ne rentre pas dans l’ascenseur. Mais elle rentre bientôt à la maison. Merci !”

“Je t’attends, mon maître ! Ta clé”.

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C’était un matin d’hiver, au 6ème étage. J’étais en pyjama sur le balcon. Mon épouse m’a embrassé en me souhaitant une bonne journée, et en fermant automatiquement la porte, elle s’en est allée travailler. Je ne me suis rendu compte que j’allais rester bloqué qu’après son départ. Le téléphone était à l’intérieur, et je n’avais rien pour me couvrir. Alors que je réflechissais à ce que j’allais faire, un voisin du haut est sorti sur son balcon. Je lui ai expliqué la situation ; il a donc pris une corde et un baluchon, et m’a descendu à manger et de quoi me vêtir chaudement pour me maintenir au chaud. De temps en temps, il vérifiait que j’étais toujours vivant. Je suis resté ainsi jusqu’à l’arrivée de mon épouse.

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C’était tard le soir, et tout était très silencieux... Soudain, dans la rue, un timide miaulement a retenti. Quelques minutes plus tard, un quatuor de chats s’était formé. J’ai ouvert la porte de mon balcon et j’ai regardé en bas : quatre paires d’yeux verts me regardaient dans l’obscurité. Et une pluie de saucisses est tombée d’en haut. J’ai entendu une voix masculine inconnue : “Bon appétit, les boules de poils, demain, le restaurant ouvre à 8 heures !”

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Il y a quelques mois, j’ai collé sur le mur de mon ascenseur un poème, sans le signer, bien entendu. En parlant avec des voisins, je me suis rendu compte que tout le monde avait aimé l’idée de partager ses œuvres favorites. Depuis ce moment-là, chaque semaine, je cherche un nouveau poème peu connu et je le colle au mur de l’ascenseur. Tout le monde est très content, et certains ont même suivi mon exemple : il y a donc toujours quelque chose à lire dans l’ascenseur ! Cela réunit vraiment les gens et cela fait que le monde dans lequel nous vivons est un peu meilleur.

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Mes voisins du dessus sont un jeune couple qui se dispute sans arrêt. Dans notre immeuble, l’insonorisation n’est pas bonne, si bien que je suis devenu le témoin de tous ces scandales. Une nuit, j’ai décidé de jouer quelque chose au piano. Les cris ont presque immédiatement baissé de volume, pour totalement cesser par la suite. J’ai terminé mon morceau, et les jeunes ont commencé à parler de mon interprétation. Le garçon a ensuite dit à la fille qu’il l’aimait à la folie.

Le titre du “Voisin de l’année”

“Si tu es nostalgique, emportes-en un :)”.

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Mes voisins sont une famille arménienne. Je les ai toujours considérés comme peu sociables, méfiants, car ils ne parlaient jamais à qui que ce soit, ils marchaient vite et avec la tête baissée et les enfants ne saluaient personne. Mais il y a peu de temps, je me suis rendu compte que le père de la famille avait refait à ses propres frais le patio de jeux du bâtiment, et que la mère approvisionnait toujours en victuailles une vieille dame solitaire qui vit en bas. La veille du Nouvel An, je laisserai des cadeaux au pied de leur porte, je sonnerai et je m’en irai aussitôt.

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À notre étage, il y a 4 appartements. Tous les ans, la veille du Nouvel An, je dépose une boîte de chocolats Raffaello sur une petite table de l’entrée. Sur un morceau de papier, j’écris au marqueur mes vœux de bonne année pour mes voisins, et... le tourbillon commence ! Les voisins prennent des Raffaello, mettent leurs propres douceurs dans la boîte, et le contenu est constamment actualisé durant plusieurs jours. J’ai donc un nouveau cadeau chocolaté tout prêt.

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Quand j’étais petite, avec ma famille, nous vivions dans un appartement au 11ème étage. Les balcons de la maison étaient toujours ouverts. Je prenais très souvent un sac plastique avec des anses, je l’attachais à une corde et je le descendais. Quand je le remontais, j’en sortais toutes sortes de cadeaux, comme des fruits ou des chocolats, et je répondais en y déposant quelque chose, moi aussi. C’est ainsi que nous partagions certaines choses avec mes voisins d’en bas, et ma mère se demandait toujours d’où provenait toute cette nourriture.

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Nous louons une partie de notre maison à un couple récemment installé. À première vue, l’homme ressemblait à un ancien prisonnier : une armoire à glace avec des tatouages partout sur le corps. Tout le monde en avait peur.

Un jour, nous étions tous les deux dans la cuisine commune, en train de préparer à manger. Il a regardé la batterie de cuisine et a fini par demander : “Ces fours fonctionnent bien ? Je voudrais faire un gâteau à ma femme.” Plus tard, ils ont partagé un morceau de gâteau avec moi.

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Il y a un peu plus d’un an, mon voisin pesait 130 kg. Il a commencé à aller à la salle de sport et à mieux manger. Au début, tout le monde se moquait de lui, mais aujourd’hui, il pèse 75 kg et a une apparence très saine. En observant ses progrès, mon mari et moi avons décidé de ne plus manger de friture ni de sucres. Quelques semaines plus tard, nous avons décidé de nous inscrire à la salle de sport. Deux mois plus tard, nous avons vu les résultats. En résumé, désormais, tous les résidents du bâtiment mènent un style de vie sain.

Les voisins ont décoré l’ascenseur pour le Nouvel An

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Je vis seule. Un jour, j’ai décidé de changer le plafond du balcon. Je n’avais pas assez de matériel, alors j’ai placé dans un coin deux carreaux qui me restaient des derniers travaux. Bon, cela ne se remarquait pas trop. Les motifs étaient différents, bien sûr, mais si l’on ne regardait pas le plafond, on ne s’en rendait même pas compte. Une semaine plus tard, la sonnette a retenti : c’était un voisin, un jeune homme qui disait que ses fenêtres donnaient sur mon balcon et qu’il ne pouvait pas continuer à voir ces deux carreaux différents. Il a amené un gâteau, du matériel de construction et il a refait le plafond de mon balcon. J’en suis tombée amoureuse.

Et toi, t’entends-tu bien avec tes voisins ? Raconte-nous une jolie histoire !