15 Situations qui ont pris une tournure que nous n’avions pas prévue

Aujourd’hui, les parents sont certains de tout savoir sur les vêtements pour enfants, et même plus. Si c’est du coton, alors on veut seulement du cent pour cent ; pour les synthétiques, on dit “Non, merci.” Le style doit être à la mode, la couleur pertinente, et l’apparence harmonieuse. Hélas, parfois, même des habits attrayants et de bonne qualité peuvent cacher de gros inconvénients, que les parents ne connaissent pas au moment de l’achat.
Chez Sympa, nous souhaitons nous rendre utile à nouveau ; nous avons donc dressé une liste de vêtements qui ne devraient pas faire partie de la garde-robe d’un enfant.
Les vêtements pour enfants ne doivent pas être chargés d’éléments décoratifs. L’enfant curieux peut les arracher, les mettre dans son nez, dans ses oreilles ou les avaler, car ces éléments attirent son attention par leur brillance et leur couleur. Par ailleurs, les boutons les plus courants peuvent constituer un danger pour l’enfant. Cousus à l’usine, souvent, ils ne tiennent pas très bien et on doit toujours vérifier les nouveaux vêtements après l’achat.
L’écharpe d’un enfant, inoffensive à première vue, représente un danger potentiel pour ceux qui sont agités. Sur une aire de jeux, en présence de toboggans, escaliers et autres structures d’escalade, l’enfant peut en un rien de temps s’accrocher avec son écharpe sur l’une des structures. Il lui sera difficile, voire impossible, de s’en sortir sans l’aide d’un adulte. Dans certains pays, il est même interdit aux parents de mettre des écharpes à leurs enfants lorsqu’ils fréquentent les établissements scolaires.
Bien que nous vivions dans le nord, je ne mets pas d’écharpe à mon bébé. Cela ne m’est jamais venu à l’esprit. Pour un enfant plus grand, ce n’est pas commode non plus, car il peut s’accrocher avec. Il est préférable de choisir des vêtements d’extérieur avec un col qui couvre bien ou, si besoin, rajouter un tour de cou, pour que tout soit fermé. Je me souviens à quel point j’étais toujours mal à l’aise avec mon écharpe lorsque moi-même j’étais petite, mais il m’était interdit de l’enlever ! © Grajdanka / Deti.mail
Le col roulé est un habit polyvalent et pratique, mais il a aussi ses inconvénients. Il n’est pas facile à enfiler : la tête passe difficilement, l’enfant est irrité et éprouve des sensations désagréables. En conséquence, on a un enfant énervé et ses parents le sont également. Par ailleurs, un col étroit peut provoquer des maux de tête, si le sang a du mal à circuler, ou une irritation due au contact étroit de la peau délicate avec des tissus, en particulier avec des synthétiques de mauvaise qualité.
Souvent, les parents optent pour des vêtements de couleur foncée, moins salissants et pratiques, mettant ainsi en danger la sécurité de leurs enfants. Non seulement on peut facilement perdre de vue son enfant dans la foule, mais les automobilistes aussi peuvent ne pas remarquer le petit piéton dans le noir. Donc, plus il y a d’éléments réfléchissants sur ses vêtements, mieux c’est.
Chez nous en Estonie, des contrôles ont lieu aux abords des écoles et des collèges : le matin, alors qu’il fait encore noir, les représentants de la police vérifient avec leur lampe de poche la présence d’éléments réfléchissants sur chaque enfant. Ceux qui en ont sont félicités, ceux qui n’en ont pas, en reçoivent gratuitement. Il est dangereux ici de se trouver dans la rue sans de tels dispositifs, on ne le dira jamais assez. C’est tout à fait compréhensible : la nuit tombe tôt, les hivers sont enneigés, et il fait très sombre. © Ninaninja / Pikabu
Les chaussures à la mode et colorées peuvent s’avérer lourdes et pas très confortables. Les fabricants peu scrupuleux accordent souvent la priorité à l’apparence de leurs produits et ignorent les besoins anatomiques du pied de l’enfant. Les baskets lourdes avec une semelle épaisse sont peu confortables pour courir et pour jouer, et l’enfant lui-même se fatigue plus vite quand il les porte.
Les baskets et autres chaussures en tissu à semelles plates en caoutchouc sont également à risque. L’absence de talon et de soutien de la voute plantaire augmente la probabilité de développer le pied plat plus tard.
Les capuches volumineuses rendent le champ de vision limité et peuvent provoquer une tragédie. L’enfant n’est pas capable d’évaluer correctement la situation, ce qui est extrêmement dangereux, en particulier lorsqu’il traverse la route ou marche dans l’obscurité. De plus, comme dans le cas de l’écharpe longue, la capuche du manteau peut facilement s’accrocher à tout et n’importe quoi sur le terrain de jeux.
Ils ont l’air chics et stylés, mais peu confortables à porter. Les vêtements trop serrés, ainsi que ceux du style oversize, rendent difficiles les mouvements et ne sont pas commodes pour jouer ou courir. Essaie de battre un copain à la course lorsque tu portes un manteau chic ou un pantalon skinny, ou de jouer dans le bac à sable avec un jean aux genoux déchirés.
Il n’y a pas si longtemps, les pédiatres conseillaient aux parents de mettre à leurs enfants des chaussures avec un fond dur renforcé, un soutien pour la voute plantaire et un talon biseauté dès les premiers pas hésitants du bébé, et cela, même à l’intérieur. Ces chaussures orthopédiques sont plus hautes, plus rigides et plus lourdes et elles étaient la cause d’une gêne et de souffrances inutiles. Aujourd’hui, les bébés aux pieds bien formés n’ont pas besoin de chaussures orthopédiques ; elles sont achetées exclusivement sur prescription du médecin. Un autre type de chaussures est la chaussure à structure anatomique : elles sont plus légères et plus souples, et sont conçues pour empêcher le développement de pieds plats. Tout enfant peut les porter.
Si un enfant fait une crise de colère à la vue d’un T-shirt ou d’un pull, devient nerveux, se comporte d’une manière étrange en le portant, les parents devraient regarder de plus près ce vêtement. Ce n’est peut-être pas du tout la mauvaise humeur de l’enfant ou la qualité du tissu qui en est la cause, mais l’étiquette de marque ou celle avec des informations sur l’entretien. Ces éléments sont souvent d’une taille disproportionnée, leur tissu est rigide et les coins rugueux.
Je coupe toutes les étiquettes et élimine les restes. Personnellement, je suis gênée par le frottement, et je pense que le bébé en a besoin encore moins que moi. © natulika / Babyblog
Je déteste les étiquettes, je n’en laisse sur aucun de mes vêtements ! Avec mon attitude maniaque, je fais ceci : je les coupe soigneusement au ras, puis avec une aiguille et une pince à épiler, je retire ce qui reste par petits bouts, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus rien. © Olga / Babyblog
Il est préférable d’acheter un bonnet qui correspond exactement à la taille de la tête de l’enfant. Un bonnet trop grand glisse et l’empêche de bien voir, tandis que celui trop serré frotte contre la peau délicate et laisse des marques sur le front, pouvant causer des maux de tête. Dans un bonnet synthétique trop petit, l’enfant va transpirer plus et pourra avoir des irritations.
Quels types de vêtements ton enfant déteste-t-il porter et pourquoi ? N’hésite pas à nous laisser tes commentaires.