13 Parents qui ont soutenu leurs enfants envers et contre tout

Les relations entre parents et enfants peuvent parfois être compliquées. Et pourtant, certaines personnes ont eu une véritable chance : elles ont grandi auprès de mères et de pères attentionnés, présents, toujours prêts à tendre la main. Leurs histoires touchantes réchauffent le cœur et nous rappellent combien il est précieux de chérir ceux qu’on aime.

• Mes parents ne sont pas parfaits, mais ils ont fait beaucoup de choses bien. Ce qui me marque le plus, c’est qu’ils ont toujours soutenu les passions de mon frère et moi — même quand ils n’y comprenaient rien, ou que ça ne les intéressait pas. Ils ne s’intéressaient pas vraiment au skateboard, mais ils ont dépensé des centaines de dollars au fil des années pour que mon frère puisse vivre pleinement sa passion.
  Ils m’ont non seulement aidé à obtenir une batterie, mais ils ont aussi laissé le groupe répéter dans notre sous-sol et nous ont conduits à tous nos concerts. Ils rêvaient que je devienne avocat, mais ils ont accepté que je sois cuisinier en restauration. Et ça, ça a tout changé. Parce que grâce à eux, j’ai compris que je suis libre de faire mes propres choix, que rien n’est tracé d’avance. Je peux faire ce qui me plaît, et mes parents seront toujours là, derrière moi, à m’encourager. © mgraunk / Reddit
• Mes parents n’étaient pas parfaits, et ils n’étaient pas riches. Mon père a été abandonné enfant, dans un autre État, à des milliers de kilomètres de chez lui, élevé parmi des gens avec qui il n’avait aucun lien de sang. Ma mère, elle, était une enfant de parents divorcés, détestée par ses beaux-parents. Ils se sont trouvés, et ils ont travaillé dur pour que ma sœur, mon frère et moi n’ayons jamais à traverser les mêmes épreuves.
  Tous les deux portent des blessures : mon père est parfois paranoïaque, ma mère lutte contre la dépression — mais jamais ils ne nous ont abandonnés. Quand mon cousin mourait de faim parce que ma tante n’était pas là, ils l’ont accueilli comme leur propre fils. Il est devenu mon frère. Parfois ils se disputent, parfois ils crient, mais jamais ils ne se sont levé la main dessus. Ils ont toujours été là pour moi, même quand ça leur a coûté très cher. Aujourd’hui que je suis adulte, j’essaie de tout faire pour être là pour eux — parce que je comprends enfin tout ce qu’ils ont fait pour nous. Ils ont brisé le cycle. © Benjaminb***c**** / Reddit

• Mon fils va bientôt avoir 13 ans. Il y a un an, j’ai décidé de vider le balcon de tout son bric-à-brac et, en même temps, de lui apprendre comment gagner de l’argent. J’ai installé une application de vente d’occasion sur son téléphone et je lui ai montré comment s’en servir.
  Nous avons convenu qu’il garderait tout l’argent qu’il gagnerait, mais qu’il devrait gérer lui-même toutes les négociations.
  Au fil des mois, il a vendu des vélos, de vieux équipements de plomberie, des téléphones hors d’usage, une trottinette, une couverture, etc. Avec l’argent récolté, il s’est acheté un nouveau téléphone. Résultat : il a appris à parler à des inconnus, à expliquer les détails des objets qu’il vendait. Je lui ai transmis l’idée qu’il est propriétaire de ce qu’il a gagné, et que c’est à lui de décider comment dépenser son argent. Je lui ai aussi inculqué la volonté d’économiser, de ne pas courir dépenser aussitôt tout ce qu’il gagne en sucreries ou babioles. Ah, et accessoirement, j’ai aussi vidé le balcon. © nkeladib / Pikabu
  
  
  
• Quand j’étais petit, nous vivions près d’une autoroute. Un jour, j’ai demandé à ma mère jusqu’où allait cette autoroute, et où on arriverait si on montait simplement en voiture et qu’on roulait sans s’arrêter. Elle avait une carte. Est-ce qu’elle me l’a montrée ? Non. Elle a dit : “Voyons ça.”
  On est montés dans la voiture et on a roulé pendant des heures, jusqu’à ce qu’on en ait marre tous les deux.
  Ce n’est qu’à ce moment-là qu’elle a sorti la carte, et on a trouvé ensemble un itinéraire pour rentrer, en longeant la rive de l’un des Grands Lacs. C’était dans les années 80, bien avant le GPS ou les téléphones portables. J’avais peut-être dix ans, et elle m’a laissé guider le trajet du retour. Elle aurait pu me répondre depuis le canapé, ou me montrer simplement la carte.
  Mais elle voulait que je découvre par moi-même... et peut-être qu’elle voulait le découvrir aussi.
  Elle a toujours été comme ça — c’est incroyable. © Panic_Azimuth / Reddit

• Quand j’ai raté ma première année à la fac, ils ne se sont ni fâchés ni montrés déçus.
  Ma mère s’est assise à côté de moi pendant que je pleurais de honte, incapable de m’arrêter, et elle m’a serré dans ses bras jusqu’à ce que je me calme.
  Elle m’a dit que ce n’était pas la fin de ma vie, qu’elle était fière de moi — et qu’elle le serait toujours. © forgetful-giraffe / Reddit
  
  
• Ils étaient présents à tout : chaque match, chaque remise de prix, chaque pièce de théâtre à l’école. Ils faisaient de leur mieux et étaient toujours là. Même quand j’étais le moins doué, même quand mon seul rôle était de tirer les rideaux à la fin du spectacle — ils étaient là pour me soutenir. © punk***_book_jockey8 / Reddit
  
  
• Ma femme et moi avons instauré un concept que nous appelons le “sac du samedi” pour nos enfants. La règle est simple : avant l’heure du coucher, les enfants doivent ranger leurs jouets.
  Tout ce qui n’est pas rangé finit dans ce sac, et les jouets y restent pendant au moins une semaine.
  Si un jouet se retrouve dans le sac une deuxième fois, il est confisqué pendant un mois — car cela signifie qu’il n’a pas vraiment de valeur aux yeux de nos enfants. © godwarz / Pikabu

• Maman a remarqué du rouge à lèvres rouge sur le col de la chemise de Papa. Elle n’a rien dit.
  Quelques jours plus tard, elle a trouvé des traces de fond de teint sur sa manche... et là, elle est sortie de ses gonds. Elle a passé un sacré savon à Papa.
  Il a fini par avouer qu’il suivait des cours de maquillage — ce qui a mis Maman encore plus en colère. Mais Papa a prouvé qu’il disait la vérité... en me maquillant lui-même !
  Il a montré ce qu’il savait faire, puis il a dit : “J’ai trois filles. Je dois être un bon père pour elles, et ça veut dire savoir tout faire !” © Ward #6 / VK
  
  
  
• Un jour, la fille d’un ami, âgée de 14 ans, a dit : “Donne-moi de l’argent pour me faire un tatouage !” Le pire, c’est qu’elle voulait se le faire sur le visage. Alors mon ami et sa fille ont discuté d’un plan. Ils ont convenu d’aller voir un tatoueur le week-end suivant. “Je paierai le double”, a dit mon ami au tatoueur, “mais tu le fais d’abord sans encre... et ensuite seulement avec, si elle le veut toujours.” Il lui a chuchoté de rendre cette première séance aussi douloureuse que possible.
  Dès que le tatoueur a commencé à travailler sur sa joue, la fille a hurlé de douleur.
  Ce soir-là, ils sont rentrés à la maison, et tout le monde était content. Les parents, parce que leur fille avait gardé son joli visage intact, et la fille, parce qu’elle n’avait pas eu à supporter une douleur interminable — si elle n’avait pas accepté cette séance test, elle aurait dû endurer la souffrance jusqu’au bout.
  Je pense que le père a eu raison. Il a préservé une bonne relation avec sa fille. Et s’il avait essayé de lui interdire, elle l’aurait probablement fait par esprit de contradiction. © volchek1024 / Pikabu

• Ma mère m’a accompagnée à l’université pour m’aider à m’installer. Une fois que tout était en ordre, elle est repartie tard dans la nuit, me laissant tout son argent, sauf juste assez pour son billet de bus retour. J’étais heureuse d’être enfin libérée de la surveillance parentale et je suis vite partie faire la fête avec d’autres étudiants.
  Mais ma mère n’a pas pu attraper le dernier bus et a passé la nuit à la gare routière, car son argent ne suffisait que pour un billet et une tasse de thé avec un biscuit.
  Je ne l’ai appris que sept ans plus tard, et j’ai pleuré comme jamais. © Not everyone will understand / VK
  
  
  
• J’ai été élevée seule par mon père, alors je suis une vraie touche-à-tout. Changer une ampoule, c’est un jeu d’enfant pour moi — je sais aussi faire un peu d’électricité et même retaper une voiture. C’est mon père qui m’a transmis l’amour des voitures, et je suis devenue chauffeuse de taxi. Les passagers masculins me regardent avec étonnement, comme s’ils n’avaient jamais vu une femme conduire. Ces hommes ne savent pas que je peux faire des pompes au sol... et que j’adore aussi la pêche ! © Caramel / VK

• J’étais enceinte quand j’ai découvert que mon mari me trompait. Je voulais partir, mais sans emploi ni économies, l’avenir me terrifiait. Ma mère m’a dit de rester — selon elle, personne d’autre ne nous soutiendrait.
  Un jour, la sonnette a retenti : c’était le mari de ma mère. Il m’a dit de faire mes valises et de venir vivre chez eux. Il possédait un magasin et m’a donné un emploi, juste assez pour subvenir à mes besoins pendant ma grossesse. Honnêtement, il a fait plus pour moi que mes propres parents.
  Aujourd’hui, je suis remariée, heureuse, et maman de deux autres enfants. Ah, et j’ai donné à ma première fille le prénom de cet homme. Il n’est plus parmi nous, mais son amour est toujours là — et il le sera toujours.
  
  
  
• Ma mère nous ramenait à la maison quand une voiture nous a percutées violemment.
  Je ne me souviens pas de grand-chose — j’avais la tête en sang après avoir heurté quelque chose. Elle a appelé les secours, m’a donné les premiers soins et m’a tenu la main sans la lâcher.
  C’est cette main, serrée dans la mienne, qui m’a portée jusqu’à l’hôpital dans l’ambulance.
  Mon père a déboulé aux urgences, et là, elle s’est levée... puis s’est effondrée, inconsciente.
  Le choc lui avait fracturé quatre côtes — mais tout ce qui comptait pour elle, c’était de me sauver et de s’assurer que je sois prise en charge.
  Chez nous, on l’appelle toujours “la femme de fer”.

Ce ne sont pas seulement les parents biologiques qui se révèlent être des trésors. Voici 16 beaux-parents qui ont été de véritables miracles pour les enfants qu’ils ont accueillis dans leur cœur.