13 Personnes qui étonnent par leur finesse d’esprit et leur intelligence

Histoires
Il y a 2 mois

La finesse d’esprit et l’ingéniosité sont le meilleur moyen de lutter contre tout dans cette vie. Le professeur tente de te faire échouer un examen, les voisins deviennent arrogants, un inconnu désagréable dans la rue essaie d’engager la conversation — les héros de cet article ne se laissent pas déconcerter et les surpassent tous.

  • Ma belle-mère s’est plainte un jour que ses voisins pouvaient frapper à sa porte après 22-23 heures et à quatre heures du matin, pour lui demander du sel ou une autre chose. Ils sont retraités depuis longtemps, mais, contrairement à ma belle-mère, ils ne travaillent pas. Elle a eu beau leur expliquer, ils ne comprennent pas qu’il n’est pas raisonnable de frapper chez les voisins à n’importe quelle heure. Je suis donc resté dans son appartement pour la nuit, et à deux heures du matin, j’ai commencé à frapper à la porte de ces voisins. J’ai dit : “Bonjour, je suis votre nouveau voisin ! On m’a dit qu’on pouvait vous solliciter à tout moment, alors vous avez un programme télé ? J’ai des insomnies, je m’ennuie”. Personne n’a plus frappé à la porte de ma belle-mère. © kamidc / Pikabu
  • Je m’entraînais dans la section athlétisme. En plus de l’entraînement avec une charge sérieuse, nous avions aussi un entraînement de type “cross training” : on courait huit à dix kilomètres, en augmentant ou en diminuant le rythme. Courir en cercle dans le stade n’est pas du tout intéressant, alors les gars et moi avons diversifié nos itinéraires autant que possible et nous courions le long du quai. Lors d’une de ces courses, des gars se sont détachés de nous, les filles, on ne les voyait plus sur la piste. Et de l’autre côté, un monsieur aux bras ouverts est sorti des buissons pour venir à notre rencontre. “Oh ! les filles ! Où allons-nous ?”. C’était impossible de le contourner. Et ses potes nous invitaient à passer du temps ensemble. Puis j’ai remarqué que l’un d’eux avait un tatouage “Michel” sur le bras. Je lui ai dit : “Bonjour, oncle Michel, je vous transmets les salutations de mon père”. Il n’y a pas de mots pour décrire la réaction de сe type. Nous avons continué à courir, et ces gars sont restés à deviner qui était mon père. © uitslipochtli / Pikabu
  • Je louais un appartement avec trois colocataires, chacune dans sa propre chambre, et nous nous parlions rarement. Et tout allait bien, mais il y avait deux copines qui vivaient là, appelons-les Karina et Vika. Et Vika était très négligée : elle pouvait oublier ses vêtements dans la machine à laver pendant quelques jours, sa vaisselle restait dans l’évier pendant des semaines. Et Karina m’écrivait souvent dans le chat du groupe : “Les filles ont dit que la vaisselle dans l’évier n’est pas la leur, alors lave-la, si tu veux bien”. En d’autres termes, il était plus facile pour Vika de mentir que de faire le ménage. Mais peu importe, j’allais déménager l’autre jour de toute façon, et à ce moment-là, j’avais emballé presque toutes mes affaires. Et puis il y a eu le tonnerre : Karina a écrit toute un “pavé” dans notre chat, se plaignant du fait qu’elle en avait marre du bordel que j’avais fait. Je n’ai rien prouvé, j’ai juste dit qu’elle avait de la chance et que je déménageais de toute façon. Et elle m’a dit : “Alors prends toutes tes affaires et au revoir”. Il faut savoir que j’ai acheté la plupart des objets communs de l’appartement. Les seaux à déchets, le routeur wifi, le grand meuble à étagères... Cette étagère a probablement été la plus grosse perte pour elles, parce qu’elle était pleine de leurs affaires, et qu’il n’y avait presque rien de moi dedans. Quoi qu’il en soit, j’ai enlevé toutes leurs affaires sur l’étagère, qui occupait toutes les tables de la cuisine et la table basse du salon, et j’ai déménagé le lendemain matin avec mes affaires. C’est alors que j’ai vu un message de Vika dans notre chat : “Le Wi-Fi ne fonctionne pas”, et j’ai quitté le chat. Je me demande combien de temps il a fallu à Karina pour se rendre compte que ce n’était pas moi qui faisais le bazar. © 6cheddar6 / Reddit
  • Lorsque nous vivions encore chez mes parents, ma mère nous a demandé de ranger avant l’arrivée des invités. Et ma sœur a dit à maman que c’était moi qui avais fait le désordre et que je devais donc le nettoyer. Alors, j’ai vérifié. Seules deux ou trois choses étaient vraiment à moi, le reste appartenait à ma sœur. J’ai donc nettoyé mes affaires et j’ai pris tout ce qui n’était pas à moi et je l’ai mis à la poubelle. Quelques minutes plus tard, ma sœur s’est mise à crier que quelqu’un avait jeté toutes ses affaires. © Goateed_Chocolate / Reddit
  • Une file d’attente à la caisse d’un supermarché. Un homme âgé, une dame et son fils, ainsi qu’un jeune homme calme et timide se tenaient l’un après l’autre.
    À un moment donné, le petit a commencé à piétiner délibérément le pied de l’homme âgé. Il s’est tourné vers sa mère :
    — Dites à votre fils d’arrêter de me marcher sur les pieds.
    La mère, sans même tourner la tête, a répondu :
    — J’élève mon fils sans pression autoritaire !
    Le garçon continuait à piétiner le pied du vieil homme. Soudain, le jeune homme timide a sorti de son panier un pot de miel, l’a ouvert et l’a versé sur la tête de la maman de ce vilain garçon. Et il a déclaré :
    — Moi aussi, j’ai été élevé sans pression autoritaire. © Rliethnam / Pikabu
  • Je vis avec ma petite amie depuis six mois. Chaque fois que nous nous disputons, une araignée apparaît dans la baignoire. Ma petite amie me pardonne tous mes péchés et est d’accord avec moi sur tout, à condition que je l’enlève. Mais elle ne sait pas qu’il s’agit de la même araignée depuis le début. L’araignée qui vit dans mon garage. © KusniMoi*** / Pikabu
  • Hier, j’ai pris une voiture en autopartage, je me suis approché de la voiture, mais l’application indiquait obstinément : “Approchez-vous”. Je me suis presque assis sur le capot. Cela n’a rien donné. J’ai appelé l’assistance technique, le type à l’autre bout du fil a parlé avec moi pendant une demi-heure, puis il a dit : “Alors, on va faire comme ça : d’abord, activez le mode avion sur votre téléphone”. Je l’ai activé comme un imbécile et, bien sûr, la connexion avec lui a été coupée. J’ai été stupéfait par son ingéniosité. J’ai rappelé le service d’assistance technique, et un autre employé a décroché le téléphone, et tout a recommencé. Mais comme il a été malin, il m’a échappé ! Cela aurait été plus amusant s’il avait dit : “Raccrochez d’abord le téléphone”. © creyz / Pikabu
  • Louis, un de mes camarades d’études, ne savait pas du tout dessiner. Ses carrés ressemblaient à des cercles, et ses cercles à des triangles. Et tout cela ne serait rien s’il n’étudiait pas à la faculté de physique, où il n’y a pas de voie sans dessin.
    Il a passé un accord avec un camarade de classe : il ferait des dessins, et Louis résoudrait les problèmes pour lui. Cela a fonctionné pendant un certain temps, jusqu’à ce que le jour de l’examen de physique optique, où les dessins sont présents dans chaque question. Lorsque Louis est sorti de la salle d’examen, tout le monde s’est précipité vers lui :
    — Comment tu t’en es sorti ?
    — Je n’arrive toujours pas à y croire, mais j’ai réussi avec brio !
    — Et les dessins ? C’est toi qui les as dessinés ?
    — Non, bien sûr. C’est juste que lorsque le professeur m’a interrogé à ce sujet, j’ai répondu de la manière la plus décontractée possible : “Vous et moi sommes des professionnels et nous nous rendons compte que c’est élémentaire. Pourquoi perdre un temps précieux de l’examen ? Laissez-moi vous le dire en paroles !”. Je ne sais pas pourquoi, mais il était d’accord avec moi, et vous connaissez le résultat. © smile2 / Pikabu
  • Notre bureau se trouve à un carrefour très fréquenté. Dix mètres plus loin dans l’allée se trouve une entreprise de photocopie. Elle a installé un panneau indiquant “Photocopiez ici !” et une flèche pointant vers cette allée. Tout cela serait parfait, mais le panneau est installé juste devant notre porte et leurs clients se rendent chez nous. Nous les redirigeons poliment, mais ils continuent de venir chez nous. Nous avons apposé la mention “Pas de photocopie ici” sur la porte mais les clients viennent toujours. Finalement, nous sommes allés voir les voisins pour leur demander de déplacer le stand sur un poteau voisin. Nous avons reçu un refus grossier : le poteau voisin, situé à deux mètres de là, aurait une fréquentation moindre. Nous nous sommes offusqués. Le panneau de notre porte a été enlevé, et maintenant tous ceux qui entrent avec une demande de photocopie sont accueillis joyeusement par un signe de tête et dirigés vers la photocopieuse du bureau. Nous facturons le service exactement au même prix que celui indiqué sur le panneau de l’entreprise voisine ; avec l’argent que nous recevons pour ce “travail”, à la fin de chaque mois, nous en faisons un festin pour tout le bureau — à la santé de nos voisins méchants. © TorkHots / Pikabu
  • Les filles de l’école avaient l’habitude d’embrasser le miroir avec les lèvres maquillées. La femme de ménage essuyait le rouge à lèvres tous les soirs, et le lendemain, le phénomène se reproduisait. Le directeur a donc réuni les filles dans les toilettes, a appelé la femme de ménage et lui a demandé de leur montrer à quel point il était difficile d’essuyer le miroir. La femme de ménage a pris un chiffon, l’a trempé dans les toilettes et a essuyé le miroir. De cette façon, plus personne n’embrasse le miroir. © Rasskazano / VK
  • Mon fils avait l’habitude de m’agacer avec des phrases comme : “Pourquoi étudier, puisque Bill Gates n’a jamais fait d’études supérieures, mais qu’il est milliardaire” ou “Steve Jobs n’est pas allé à l’université non plus !”. Un jour, je n’en pouvais plus et j’ai apporté à mon fils l’unité centrale d’un ordinateur, j’ai éteint le Wi-Fi dans l’appartement et j’ai dit : “Si tu montes un bloc système sans chercher sur internet et il fonctionne, alors tu pourras quitter l’université”. Deux heures plus tard, il est venu me voir pour me demander : “Papa, réactive le Wi-Fi, je dois préparer mes cours”. © Rasskazano / VK
  • J’étais sur le balcon et j’admirais le coucher du soleil. Dans la cour, un groupe d’adolescents était assis sur un banc : les filles flirtaient et les garçons s’exhibaient devant elles. Les jeux habituels de l’accouplement, comme des canaris. Et puis un type est arrivé. Il portait un sac rempli de bananes. L’un des adolescents, qui semblait connaître ce type, a décidé de se détacher du lot.
    — Salut, Simon !
    — Salut !
    Le garçon ne se calmait pas :
    — Où as-tu trouvé autant de bananes ? Veux-tu nourrir les singes ?
    C’est alors qu’un groupe d’adolescents s’est mis à ricaner et à faire des commentaires sur ce qu’ils pensaient être la raison pour laquelle il fallait tant de bananes.
    Le gars n’a même pas changé de visage, il a simplement répondu avec nonchalance :
    — Tu as bien deviné !
    Il a plongé sa main libre dans le sac, en a sorti une banane et l’a jetée aux adolescents en disant : “Mangez !”. © MihZlobin / Pikabu
  • Dans l’école où j’enseignais, le personnel pédagogique était tenu de s’habiller selon un code vestimentaire strict. Nous, les hommes, devions porter des chemises à manches longues et des pantalons classiques, ainsi que des chaussures ou des bottes aux pieds. Pas de jeans ni de baskets. Cependant, notre contrat de travail stipulait que le code vestimentaire pouvait être assoupli pour des raisons de santé. Et un jour, je suis venu donner des cours en baskets, car ma femme et moi avions déménagé la veille et j’avais les pieds terriblement fatigués. Je pensais que c’était une excuse valable, mais ce n’était pas le cas. Mes supérieurs m’ont adressé une réprimande écrite sans même me demander pourquoi je portais des baskets. D’accord. Vous voulez qu’on porte des chaussures, je les porterai. Je suis allé sur le site web d’un magasin de vêtements informels et j’ai acheté les bottes de rocker les plus flamboyantes et les plus extravagantes que j’ai pu trouver, sur une plateforme, avec des chaînes et des rivets. Je les ai mises pour aller travailler le lendemain. Je les portais en classe pendant quatre jours, puis le principal m’a surprise et s’est indigné : “Qu’est-ce que c’est que ça ?”. Je lui ai dit : “Ce sont des chaussures, c’est le code vestimentaire.”. Il m’a délivré une réprimande écrite, et le même jour, une autre réprimande écrite, qui disait que je me comportais de manière non professionnelle et que, si cela se reproduisait, je risquais une amende et le renvoi. J’ai appelé le syndicat, qui a rapidement résolu l’affaire en ma faveur, car je portais effectivement des bottes. De plus, j’ai dit que je n’aurais pas poursuivi si j’avais été autorisée à porter des baskets alors que j’avais mal aux pieds. Le syndicat m’a dit que je pouvais porter les chaussures que je voulais. Pour faire court, je portais des baskets tous les jours jusqu’à la fin de l’année scolaire et je n’ai pas eu d’autres problèmes. Et le plus cool, c’est que quelques autres personnes ont suivi mon exemple, et lorsque j’ai démissionné, nous étions déjà une douzaine de “rebelles” à ne pas respecter le code vestimentaire en matière de chaussures. © ExeTheHero / Reddit

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