14 Histoires qui mériteraient l’Oscar du meilleur scénario
Certaines personnes ne peuvent tout simplement pas se passer d’aventures, et on ne sait pas trop si elles les provoquent exprès, ou si ce sont les incidents qui les poursuivent. Découvre l’histoire d’un lézard qui pique un balai à des touristes, d’un petit ami congelé de bonheur, ou encore d’un faux Père Noël estival. Attention, fous rires garantis !
Sympa a compilé des histoires géniales trouvées sur Internet ; si tu les assembles pour en faire un film, tu as des chances de remporter un Oscar du meilleur scénario.
- Un ami a loué sa maison dans la province du Transvaal (Afrique du Sud) à des touristes américains, sachant que lui-même vivait à Pretoria. Un matin, très tôt, ces derniers l’ont appelé en panique totale : “Il y a un lézard dans la salle de bain ! Qu’est-ce qu’on fait ?” (on a su plus tard que c’était un varan de grande taille). Mon ami, passablement énervé par ces citadins effrayés par un pauvre lézard, leur a conseillé de s’en débarrasser avec un balai, et est retourné se coucher. Mais les touristes l’ont de nouveau appelé : “le lézard nous a pris le balai, qu’est-ce qu’on fait maintenant ?”.
- Je me souviens d’une fois où j’étais avec mon père et ses amis. Ils buvaient de la bière, mangeaient et discutaient. Mais la conversation a été interrompue par un éternuement de ma part. Je l’ai fait silencieusement, en me couvrant le visage des deux mains. Alors l’un des amis de mon père s’est levé, est parti dans la cuisine, puis il est revenu avec du poivre noir et m’a dit d’un ton indigné : “Les hommes n’éternuent pas comme ça. Tu dois éternuer de façon virile, de toutes tes forces. Viens, je vais te montrer.”
- Nous roulions sur une route avec mon père, et nous avons été pris dans un épais brouillard, une vraie purée de pois. J’ai décidé de suivre la voiture qui nous précédait. Un peu plus tard, une colonne d’une vingtaine de voitures s’était formée. Puis toutes les voitures se sont arrêtées l’une après l’autre. Je suis descendu pour voir ce qui se passait, et il s’est avéré que nous avions tous suivi un homme qui venait d’arriver chez lui. Et toute la colonne l’avait suivi.
- Je suis photographe de concert. Dans mon travail, je vois des hommes tellement beaux qu’ils semblent être tombés du ciel. Lors d’un concert, je photographiais un groupe depuis la fosse, et soudain j’ai senti un éclair de douleur et j’ai vu ma vie défiler devant mes yeux. Un fan qui avait sauté dans la foule m’avait frappé le nez avec sa botte militaire. Par miracle, il n’y a pas eu de fracture. Et il se trouve que cet homme était médecin. On a rendez-vous bientôt.
- Mon ami s’est coincé la mâchoire à la Mairie. Au moment où on lui a demandé : “Acceptez-vous de prendre pour épouse Mademoiselle untelle ici présente ?”, il y a eu un bruit de craquement, et nous avons tous vu son visage de travers, sans qu’il ne puisse rien dire. On aurait pu croire que c’était un signe du destin, mais le mariage a quand même eu lieu : la mariée n’était pas superstitieuse et l’a fait acquiescer de la tête.
- J’ai pris le bus avec ma fille de quatre ans. Un vieil homme avec une longue barbe grise était assis devant nous. Ma fille m’a dit : “Papa, regarde ! C’est le Père Noël ?” J’ai répondu : “Non, c’est un homme ordinaire ; et puis Noël est encore loin”. Le téléphone de l’homme a alors sonné, et il a répondu d’une voix grave : “Ici le Père Noël, j’écoute !”. Ma fille s’est tournée vers moi, et le visage satisfait, m’a dit : “Tu vois, je te l’avais bien dit !”.
- Ma famille est ma source d’optimisme. Je peux très bien rentrer à la maison et trouver mes parents en train de faire une bataille de spray. Et y participer.
- Un jour, je rentrais chez moi avec un paquet lourd. Je suis arrivé devant l’immeuble et, le téléphone en main, j’ai commencé à ouvrir la porte. Soudain, un type s’est approché de moi par derrière, a pris mon téléphone et s’est enfui. J’ai crié : “Hé !”, mais il a tourné au coin de la rue. Je l’ai poursuivi, mais j’ai réalisé que je n’allais pas le rattraper. Je suis arrivée au coin et je ne l’ai vu nulle part. J’ai arrêté un homme qui passait sur un vélo, je lui ai expliqué en trois mots ce qui s’était passé, et il m’a répondu : “English, please”. Alors j’ai tout répété rapidement en anglais. L’homme a hoché la tête et il a disparu. Est-il parti à la recherche du voleur, a-t-il compris ? Je suis retournée lentement vers l’entrée de mon immeuble, et le cycliste anglais est revenu... avec mon téléphone ! Je l’ai remercié pendant longtemps, mais il a refusé de recevoir une récompense.
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Mon mari est enseignant. Un jour, il m’a appelée à l’heure du déjeuner :
— Que peut-on faire avec 86 miches de pain ?
— ... ?
— J’ai écrit sur whatsapp : “Achetez du pain”, mais au lieu de vous l’envoyer à toi et à Marie, je l’ai envoyé au groupe de mes élèves. Maintenant, ils m’ont tous apporté une miche de pain en cours.
— Donne-les !
Il est rentré deux heures plus tard que d’habitude, en colère et fatigué.
— Je suis resté devant la salle des profs pendant deux heures à distribuer tous les pains.
Nous avons dîné sans pain.
- Je venais de sortir d’un bus, je devais en prendre un autre, j’ai couru vers lui, j’en ai fait le tour, mais j’ai vu que les portes étaient fermées. J’ai pensé que le chauffeur était peut-être allé boire un café. Puis j’ai vu qu’il y en avait un autre derrière, je ne voyais pas quel numéro il avait, mais il me semblait que c’était celui que je devais prendre. J’ai couru vers lui en faisant signe au chauffeur, qui s’est arrêté et m’a ouvert. Je suis monté, il a refermé la porte, et j’ai compris alors que j’avais embarqué dans le bus que je venais de quitter. Les passagers m’ont regardé comme si j’étais un idiot.
- Je ne peux pas passer une journée sans anecdote amusante. Je me suis teint les cheveux en bleu. Un jour, je me rendais au travail, et soudain j’ai entendu un homme courir après moi en criant : “Malvina, attends, je suis ton Artemon !”. Je ne savais pas quoi faire : m’enfuir ou voir ce qui allait se passer. Ma curiosité l’a emporté. L’homme m’a rattrapée, je me suis retournée et j’ai vu qu’il portait un masque de chien.
- Je suis surpris par l’imagination de mon fils. Il parle constamment de vie passées, les siennes et les miennes. Il dit qu’il était baleinier et qu’à bord de son navire il y avait deux marins appelés Orbi et Urbi, qui se disputaient sans cesse. Un jour, j’ai dit que j’avais mal au dos et mon fils m’a dit tristement : “Maman, je ne veux pas te faire peur, mais dans une vie antérieure, on t’a frappée avec une épée dans le dos parce que tu as volé du pain au marché”.
- Quand ma mère était jeune, elle était courtisée par un homme qui l’invitait sans cesse à sortir. Un jour, alors qu’il l’avait encore invitée quelque part, ma mère, fatiguée d’entendre tout le temps la même chose, a dit qu’elle ne sortirait avec lui que s’il y avait de la neige. Et tu sais quoi ? La semaine suivante, il a neigé... au beau milieu de l’été.
- Un jour, mon ami et moi prenions le métro à l’heure de pointe, il y avait beaucoup de monde et je devais vraiment aller aux toilettes. Nous sommes arrivés à notre station, j’ai commencé à me frayer un chemin à travers la foule, après avoir saisi automatiquement la main de mon ami, qui marchait derrière moi ; je le traînais et m’énervais contre sa lenteur. Quelques minutes plus tard, j’ai entendu derrière moi : “Pardon mais où allons-nous ?” C’était un parfait inconnu. Quand il m’a demandé en mariage des années plus tard, il m’a dit : “J’aimerais que nous marchions ensemble dans la vie, et que tu me serres la main avec cette même force !”
Cher lecteur, tu as certainement des histoires intéressantes à raconter, alors parle-nous de toi ! Tu as peut-être fait du bénévolat dans une maison de retraite, vécu au Bangladesh, travaillé dans un restaurant étoilé à Paris, ou tu veux simplement dire au monde pourquoi il est si important d’aller chercher ses proches à l’aéroport. Partage ton histoire sur la page Facebook de Sympa !