14 Histoires qui ne seront comprises que par ceux qui ont déjà vécu en location

Il y a 6 ans

Au moins une fois dans leur vie, la plupart des gens ont dû louer une chambre ou un appartement, et ceux qui ne l’ont pas encore fait, y ont au moins probablement déjà pensé. Des fois, la location d’une maison se transforme en une aventure amusante et d’autres fois en un jeu de survie. T’a-t-on déjà dit, par exemple, que tu étais fou pour la simple raison que tu avais opté pour de la musique comme sonnerie de téléphone ? Ou t’a-t-on déjà refusé la location d’un appartement simplement parce que tu avais les cheveux longs ?

Sympa a compilé les histoires les plus sentimentales et drôles partagées par certains internautes qui savent de quoi ils parlent.

Je loue une chambre dans un deux pièces. L’autre chambre est louée par une fille. Il n’y a rien à dire, sauf qu’elle est jeune, très jolie, elle mange bien, elle travaille 10 heures par jour et a encore le temps d’aller au gymnase. Mais voilà ce qui est arrivé aujourd’hui. J’entre dans la cuisine et je vois qu’elle mange des céréales avec du lait et des abricots secs. Elle lève les yeux vers moi et me dit avec une franchise désespérée : “J’en ai tellement marre de tout ça, si tu savais !”

On louait une chambre à une grand-mère qui était très stricte et elle nous a dit : “Ici, les lumières s’éteignent à 23h et les ordinateurs aussi”. Le truc, c’est que je vivais avec deux autres garçons de mon université avec qui on partageait un ordinateur, puisqu’on étudiait tous la programmation informatique. Un jour, j’étais assis devant l’ordinateur à 22h50, il ne me restait donc que 10 minutes, et la grand-mère a commencé à râler à 23 h 05 : “Éteins ça maintenant, éteins ça”. Au bout de 5 minutes, je l’ai entendu retirer complètement les fusibles ! J’aurais eu un gros problème si mon ordinateur n’avait pas été chargé ! Mais ensuite, elle a été très surprise qu’il soit possible que l’ordinateur fonctionne sans électricité.

J’ai connu un type, et un mois plus tard, on a décidé de partir vivre ensemble, alors on a loué un appartement “à nous deux”... Un an plus tard, je me suis rendu compte qu’en fait, l’appartement était à lui !

J’étais en train de réviser pour des examens, quand soudain, à 9 heures du soir, la propriétaire a ouvert la porte de ma chambre et sans rien dire, a éteint la lumière. J’étais très surprise et je pensais qu’elle n’avait peut-être pas remarqué que j’étais dans ma pièce de 2 mètres sur 2. Puis elle a ouvert à nouveau la porte pour me dire : “Tu dois étudier pendant la journée, et pas la nuit, parce que tu empêches ma fille de dormir”. Je lui ai dit que le lendemain, je quitterai l’appartement et que toute la nuit, je garderai la lumière allumée. Justement le lendemain, je devais payer mon loyer...

Quand nous étions étudiants, un copain et moi, nous cherchions un appartement. Nous avons trouvé une annonce dans le journal et nous avons appelé le numéro. Une grand-mère, avec une voix stridente comme celles qu’on entend dans un film, nous a répondu en disant : “Vous êtes qui, qui veut louer ?” Mon ami a répondu : “On est deux étudiants.” “D’accord. Je vais vivre avec vous, vous payez les factures de l’appartement plus le loyer ; à 21 heures vous devez être à la maison ; vous ne pouvez ni boire ni fumer ; je ne vous laisserai pas entrer dans la cuisine parce que c’est moi qui cuisine ; vous faites juste les courses, je vous fais une liste. Vous êtes de bons étudiants ? Avez-vous des bourses ?”. Mon ami a à peine prononcé une syllabe : “Heu...” qu’elle l’a interrompu en disant : “Je vous rappelle dans 5 minutes”. Elle nous a rappelés et nous a dit : “Au lieu d’avoir un bip normal, vous avez de la musique pour sonnerie. Vous êtes fous. Au revoir,” et elle nous a raccroché au nez.

J’aurais dû me méfier tout de suite quand j’ai appelé pour une annonce et que la première question du propriétaire était la suivante : “Avez-vous les cheveux longs ? J’ai un parquet très clair et on remarque immédiatement les cheveux par terre.”

J’ai loué une chambre à un grand-père... Durant mon temps libre, je lisais des livres, mais apparemment, il s’attendait aussi à ce que je lui parle. Il a demandé à son médecin de venir me voir, prétendant que j’étais fou parce que je passais mes après-midi allongé dans le noir à regarder mon téléphone. Un jour, il a failli mettre le feu à sa maison, parce qu’il avait bu comme un trou et oublié une poêle sur le feu avec des champignons. Enfin, un jour, il m’a dit : “Parle-moi ou tu paies 50 $ de plus.” J’ai choisi la deuxième option et deux jours plus tard, il m’a demandé de partir. Je l’ai fait avec le plus grand plaisir.

Mon mari et moi, avons loué plusieurs fois au cours de notre vie. La dernière fois, on est arrivé dans un appartement où avait vécu une grand-mère, qui malheureusement, était décédée là. Les voisins nous ont dit que cette grand-mère était en fait une personne assez désagréable. Dans l’appartement, on entendait des bruits de pas, des bruits de vaisselle et des variations avec les lumières. On s’est finalement décidés à acheter notre chez nous. Mais après, on a appris qu’une grand-mère était morte là aussi. Alors, la première chose qu’on a faite quand on est entré dans l’appartement après l’achat, ça a été de dire la blague suivante : “alors, allons-nous nous entendre avec toi grand-mère ? Fais clignoter les lumières, Mamie.” Une lumière s’est alors allumée en plein milieu de journée, elle ne brillait pas beaucoup mais elle n’était pas non plus éteinte. On n’a pas réussi à savoir si c’était un “oui” ou un “non”...

J’ai loué un appartement dans un nouveau complexe de logements en payant six mois à l’avance. Mais j’avais un problème avec les voisins du dessus : visiblement, c’était une famille d’éléphants et de footballeurs : ils déplaçaient leurs meubles chaque après-midi et dansaient jusqu’à l’aube. Les relations étaient pour le moins tendues. Il s’est avéré que le propriétaire de mon appartement en avait un autre, qui était situé juste au-dessus de mes voisins. J’ai payé plus cher et je l’ai loué. Le premier jour, j’ai appelé un copain pour jouer au basket dans l’appartement. Le voisin a réagi vraiment très vite et est venu frapper à ma porte : ça valait le coup de voir sa tête surprise quand il m’a vu!

On vivait dans un appartement loué, notre fils avait moins d’un an. Sur le même palier, vivait une autre famille mais plus âgée, ils avaient trois enfants à un an d’intervalle. Son mari était policier et rentrait souvent à la maison après minuit. Il appelait toujours sur notre interphone, qu’il soit minuit ou 4 h du matin. Au moins deux fois par semaine. On est des gens compréhensifs et on lui ouvrait la porte. Cela a duré environ six mois.

Mais, un jour, j’ai croisé sa femme dans la rue et je lui ai demandé ce qui se passait. “Vous n’avez pas de clés ou votre interphone ne fonctionne pas?”. Sa réponse m’a incroyablement choqué. “Non, il n’a pas les clés sur lui parce qu’il a peur de les perdre et il n’appelle pas sur l’interphone pour ne pas réveiller nos enfants”. Je n’en revenais pas. J’étais indignée et je lui ai signalé que nous aussi on avait un enfant, au cas où elle n’aurait pas remarqué. Elle a répondu avec une incroyable froideur que nous n’en avions qu’un qui se réveillerait, alors qu’eux en avaient trois. Mais bon sang, bien sûr, comment n’y avais-je pas pensé avant ? À partir de ce jour-là, on a éteint notre interphone pendant la nuit.

On a loué un appartement qui avait des murs en carton. On entendait tout parfaitement à travers. Les cris des enfants, les aboiements des chiens, les pas, mais bon rien de grave. Mais le meilleur, c’est comment le voisin lâche des caisses et rigole. Il le fait d’une manière si joyeuse qu’il te donne même envie de rire avec lui. Et en apparence, c’est un garçon sportif et élégant, qui porte constamment des costumes parfaitement coupés et conduit une voiture absolument impeccable.

Je loue un appartement avec une copine. On mange souvent ensemble. Ou plutôt, j’achète les produits, je cuisine et on mange ensemble. Un jour, je n’en pouvais plus et je lui ai dit qu’elle exagérait de ne jamais rien faire. Elle a été super offensée et a cessé d’acheter du pain, pour bien me montrer que non, elle ne faisait pas rien, la preuve, le pain était sa contribution à notre alimentation. Le truc c’est que moi, je ne mange pas de pain.

Il y a un mois, mon mari et moi, avons emménagé dans un nouvel appartement. Il est parti travailler à l’hôpital, où il fait des services de 24 heures. Un soir, j’ai décidé d’inviter une copine : on a papoté, tout s’est bien passé, et à deux heures du matin, je lui ai commandé un taxi pour qu’elle rentre. Je l’ai accompagnée dans la rue pour lui dire au revoir. Elle est partie, je me suis approchée de l’interphone et... j’ai réalisé que j’avais oublié mes clés à la maison. J’ai failli mourir. Tout se serait bien passé si ça avait été dans la journée ! Il suffisait d’appeler n’importe quel appartement pour qu’ils m’ouvrent. Mais, à cette heure de la nuit, je ne me sentais pas capable de déranger les gens.

C’est alors que je me suis souvenue qu’un ami m’avait dit que son frère vivait dans le même immeuble. Je l’ai appelé lui et sa femme, mais personne n’a répondu. J’étais en panique. Alors, mon Sherlock intérieur s’est réveillé et a trouvé le frère en question sur Facebook ! En plus, il était en ligne, alors il a répondu très rapidement et 3 minutes plus tard, il est descendu pour m’ouvrir la porte principale. Je ne suis pas sûre qu’il lira ceci mais je tiens à le remercier : sans ton aide, je serais restée dans la rue à attendre l’arrivée de mon mari.

Mon mari et moi, vivions dans un appartement loué meublé avec les affaires du propriétaire. Il y avait un château en LEGO de trois niveaux qui se trouvait sur une des étagères supérieures. Un jour, des invités sont venus chez nous avec leurs enfants et quand ils l’ont vu, ils ont demandé s’ils pouvaient jouer avec. Bien sûr, mon mari a accepté et le leur a donné. Pendant qu’ils s’amusaient, ils l’ont complètement démonté. Après ça, pendant un mois, j’ai essayé de le reconstruire avec le peu dont je me souvenais, car je n’avais rien trouvé sur Internet.

Pendant longtemps, j’ai grondé tout le monde : les enfants, parce que sans demander la permission, ils avaient démonté une chose qui n’était pas à eux, mon mari qui le leur avait donné mais n’avait même pas essayé de m’aider à le reconstruire. Mais bon, les disputer ne servait à rien et à la fin, le château est resté complètement démonté dans une boîte. On n’a jamais rien dit aux propriétaires. Cela fait trois ans que l’on a quitté cet appartement, mais j’ai toujours honte de ce qui s’est passé.