14 Internautes ont critiqué les livres adorés par la plupart des lecteurs
Chacun de nous a probablement commencé un livre populaire avec impatience, mais après l’avoir lu, n’a ressenti qu’une grosse déception. Si tout le monde adore un roman, on se prépare mentalement à partager l’admiration commune. Cependant, même un chef-d’œuvre reconnu peut ne pas te plaire et il ne faut pas en avoir honte.
Chez Sympa, nous respectons toutes les opinions, c’est pourquoi nous avons beaucoup apprécié les critiques sincères des internautes sur les livres, qu’on a l’habitude de qualifier de géniaux.
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Cent ans de solitude par Gabriel García Márquez. Vous pouvez me reprocher de manquer de goût mais ce livre est impossible à lire ! Je me suis perdue parmi tous ces personnages aux noms similaires et je ne comprenais plus ou j’en étais et qui étaient tous ces gens. C’est le " carré noir " dans le monde littéraire. Ne perdez pas votre temps à chercher un sens caché qui n’existe probablement pas du tout. © IvoKoimecs / Livelib
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Rebecca par Daphne du Maurier. La plupart des lecteurs l’adorent mais moi, j’ai beaucoup souffert pour arriver à le lire jusqu’au bout. Dès le début, je n’ai pas aimé l’héroïne principale : la femme insipide et peu intéressante qui n’a pas sa propre opinion. L’histoire est lente, voire ennuyeuse. Les personnages n’ont aucun caractère et sont incapables de se parler. Je ne comprends pas pourquoi ce roman est qualifié de thriller. Je n’ai trouvé aucun moment tendu. © Dianel / Livelib
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Arc de Triomphe par Erich Maria Remarque. C’est vraiment un plaisir de lire ce livre, un crayon à la main : chaque page contient des citations à retenir. Mais, excusez-moi, qu’est-ce qui est arrivé à l’intrigue ? Où sont passées les scènes qui chatouillent l’imagination du lecteur ? Moi, je n’en ai pas trouvées. Ce roman représente plus de 500 pages de descriptions monotones de Paris sombre et de réflexions du personnage principal sur tout ce qui se passe dans la vie. Merci, ce n’est pas pour moi. © kurtz / Livelib
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Autant en emporte le vent par Margaret Mitchell. 359 fois Scarlett répète qu’elle y pensera demain. Peut-être, si elle avait essayé de réfléchir, cela aurait été plus intéressant de lire son histoire. Je préfère découvrir les pensées des personnages plutôt que de savoir qu’ils ne souhaitent pas se prendre la tête. Même si l’histoire est banale, le roman a l’air d’être inachevé. Les événements vraiment intéressants commencent sur les dernières 200 pages mais la narration s’arrête d’un coup. Comme si Margaret Mitchell, elle-même, avait décidé d’y penser demain mais ne l’a jamais fait. © Funny-ann / Livelib
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Le Garçon en pyjama rayé par John Boyne. Tout ce qui se passe dans ce roman me paraissait trop invraisemblable bien qu’il s’agisse de véritables événements historiques qui ont eu lieu. Le livre manipule simplement les émotions des lecteurs afin de les faire pleurer. Il y a toujours une forte demande pour de tels livres tristes, ils se vendent bien. Mais a-t-il une vraie valeur ? Enseigne-t-il quelque chose : c’est une autre question... © OksanaBB / Livelib
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Jane Eyre par Charlotte Brontë. L’héroïne principale est trop typique, ordinaire et manque de caractère. Tous les malheurs du monde lui tombent dessus mais elle ne fait que partir à la dérive. Sa passivité m’énerve ! Jane Eyre me rappelle une princesse des dessins animés pour enfants : elle n’a besoin de rien faire, juste être une fille bien pour que tout s’arrange comme par magie. © zdalrovjezh / Livelib
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Le Seigneur des anneaux par J. R. R. Tolkien. Je n’arrive pas à comprendre l’admiration générale pour ce livre. Un tas de descriptions longues, ennuyeuses et difficiles à imaginer, en plus. Autrement dit, je n’ai pas eu cet " effet de cinéma " dans la tête. On dirait que les personnages sont en carton. Le bien et le mal sont trop évidents. Ce n’est pas étonnant pour le genre de fantaisie mais pour un lecteur qui s’intéresse à la psychologie c’est un vrai défaut. © Dream__Catcher / Livelib
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Emma par Jane Austen. Compte tenu du contexte historique, il n’est pas surprenant que les femmes ne parlent que du mariage. Mais pourquoi exagérer autant ? L’idée même de la complaisance, à laquelle Emma est si ardemment accro, est insupportablement agaçante. © Seducia / Livelib
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Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur par Harper Lee. C’est tellement ennuyant ! J’ai lu ce livre uniquement parce qu’il s’agit d’un " exemple classique de la littérature américaine " et que, par conséquent, le livre est étudié dans presque toutes les écoles américaines. Mais je n’ai pas aimé. Des descriptions trop longues de jeux d’enfants, la concentration de l’auteur sur des détails insignifiants et sur des événements qui n’ont pratiquement rien à voir avec l’histoire du roman. Les 10 premiers chapitres décrivent simplement la vie dans une petite ville. Bref, les écoliers américains n’ont pas de chance. © Andreas / Livelib
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Dune par Frank Herbert. Il s’agit de l’un de ces contes de fée dans lesquels le bien triomphe sur le mal d’où vient l’impression d’immortalité du personnage principal. Tout au long de l’histoire, les personnages clés ont été aidés par la main du Créateur : dès qu’ils ont eu des problèmes, ils ont soudainement découvert des capacités secrètes qu’ils n’avaient pas soupçonné avoir auparavant. Mais pourquoi ne dépassent-ils pas les obstacles par eux-mêmes ? Où est l’épuisement physique et mental ? Pourquoi il n’y a pas de lutte désespérée pour la vie, pourquoi je ne sens pas combien il est difficile pour une personne non préparée qui se trouve au milieu du désert de faire chaque pas ? En lisant ce roman, je n’ai pas du tout ressenti la tension parce que dès le début, je savais que le jeune Atréides surmonterait tous les obstacles sans difficultés particulières. © Sveta_SheFF / Livelib
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Le Nom de la rose par Umberto Eco. Sur plus de 600 pages, seulement 150 étaient vraiment intéressantes pour moi : les descriptions sont infinies. Lorsqu’on atteint la fin d’une phrase, on oublie où elle a commencé. Le roman policier dans lequel tout devient évident déjà au milieu du livre. © Krashenaya / Livelib
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La Couleur des sentiments par Kathryn Stockett. Il était une fois une fille aux cheveux dorés, qui habitait une petite ville sud-américaine. Elle a reçu une éducation et est revenue à la maison. Elle voulait devenir célèbre et a décidé de parler au monde de la vie des domestiques. Mais elle ne s’est concentrée que sur les choses négatives et dégoûtantes en oubliant de mentionner les cas où la famille a aidé la bonne qu’elle employait a recevoir une éducation ou des soins médicaux. En lisant ce roman j’avais l’impression qu’il n’y avait que de la méchanceté dans le monde. © MarynaD / Livelib
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Madame Bovary par Gustave Flaubert. Un livre assez ennuyeux avec une héroïne répugnante. Avant de le lire, je pensais naïvement qu’il s’agissait d’un roman sur les sentiments d’une malheureuse femme. Il s’est avéré être une histoire sur l’égoïsme d’un monstre sous les traits d’une charmante dame qui, sans hésiter une seconde, a détruit la vie de son mari et de sa fille. © samma / Livelib
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Anna Karénine par Léon Tolstoï. Anna ne fait rien d’utile. Ok je comprends que la société ne l’accepte pas mais il y a aussi des livres, la broderie, la couture, l’enfant ! Elle aurait pu éduquer les enfants des paysans pendant qu’elle vivait à la campagne. Mais non, Vronski est le centre de son univers ! Une paysanne avait bien raison lorsqu’elle a dit après avoir appris l’histoire de ce roman : " Elle devrait avoir une vache. Voire deux. " L’oisiveté ne finit jamais bien. © Anneroze1 / Livelib
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