15 Personnes pour qui un voyage dans les transports publics a été une expérience épique

Beaucoup d'entre nous utilisent les transports publics presque quotidiennement. Et là, nous pouvons rencontrer de telles mésaventures qu'il est parfois impossible de ne pas en parler aux autres. Par exemple, on nous demande de payer un supplément pour la poussette. Ou le conducteur de tramway se transforme soudain en chevalier de la justice.

• Un matin, je suis montée dans le wagon, mais le gars qui courait après moi n'est pas arrivé à temps et s'est écrasé contre les portes qui s'étaient refermées devant lui. Il a souri et m'a envoyé un baiser : il devait être d'humeur badine. Je lui ai souri et lui ai répondu par un signe de la main. À la porte suivante, j'ai vu mon collègue qui habite à deux arrêts de chez moi, en train de rire. Nous nous sommes fait un signe de la main en riant. C'est alors qu'un homme derrière moi a demandé : "Madame, vous connaissez tout le monde dans le métro ?". J'ai tourné la tête, c'était l'ancien entraîneur de mon fils. Il ne se souvient pas de moi, bien sûr. Douze ans se sont écoulés. Je lui ai dit : "Bonjour, je ne connais pas tout le monde, mais je vous connais. Vous êtes entraîneur dans la section football des enfants". Demain, je pense que je dirai bonjour à tout le monde en entrant dans le wagon. Au cas où. © crazyEmpress / Pikabu
• Chaque jour, après le travail, je prends le dernier trolleybus qui va au dépôt. Hier, tout semblait normal. Mais le contrôleur s'est soudain approché de moi et m'a demandé à quel arrêt j'allais descendre. Je lui ai répondu que j'allais au terminus et que je suivrais ensuite un certain itinéraire. Il s'est alors retourné et a crié : "Julie, tourne, nous ramenons un passager à la maison". Et, surprise, pour moi seulement, ils ont changé l'itinéraire et se sont arrêtés exactement devant chez moi (j'habite entre deux arrêts). J'ai tellement été choqué par toute cette situation que je n'ai pas su quoi dire. © Loriensed / Pikabu
• Notre ville a récemment mis en service de nouveaux grands bus. Un jour, je suis allée au parc avec mon fils qui était dans une poussette. Nous sommes donc montés dans le bus, le contrôleur s'est approché de nous et j'ai payé uniquement pour moi. Les enfants de moins de sept ans voyagent gratuitement. Mais le contrôleur nous a dit :
  — Et pour les bagages ?
  — Pardon, quels bagages ?
  — Pour la poussette.
  — Depuis quand les poussettes sont-elles devenues des bagages ?
  — La poussette est un bagage. Payez !
  — Nous avons déjà voyagé avec mon fils dans les transports publics, et nulle part la poussette a été considérée comme un bagage.
  — Je demanderai au chauffeur.
  Le contrôleur a demandé. Le chauffeur a crié à travers tout le bus qu'une poussette était un bagage et qu'il fallait payer ! Je lui ai demandé où c'était écrit. Le chauffeur s'est gratté la tête et a crié : "Très bien, ne payez pas !". © Schastje / Pikabu
• Je vis dans le sud de la Floride. Un jour, je prenais le bus et j'ai vu un homme sur un chameau par la fenêtre ! Un passager bien informé l'a remarqué et m'a dit qu'il y avait une réserve privée avec des girafes, des chameaux et des chimpanzés dans la région. © Unknown author / Reddit

• J'étais dans le métro. Un homme était assis en face de moi, un livre à la main, et il me regardait si intensément que je me sentais mal à l'aise. Je me suis détournée un moment, puis je l'ai regardé en cachette, mais il continuait à me fixer. Ce n'était pas un regard amoureux, mais un regard qui m'étudie. J'en avais marre, mais j'allais bientôt descendre, alors pas grave. Quand j'ai passé devant lui à l'arrêt de bus, j'ai pu voir le titre du livre qu'il tenait dans ses mains : "Comment reconnaître une sorcière". Je n'ai jamais pensé que je ressemblais à une sorcière. © Palata n° 6 / VK
• Le tramway dans lequel je me trouvais s'est arrêté dans un virage, à cinquante mètres de l'arrêt. Deux adolescents étaient en train de pénétrer à l'intérieur. La conductrice leur a dit tout de suite : "Les gars, qu'est-ce que vous faites ? L'arrêt est là-bas". Les jeunes se sont rendu compte que la porte ne s'ouvrirait pas pour eux et ont fait un geste obscène à la conductrice. Et, satisfaits d'eux-mêmes, ils se sont dirigés vers l'arrêt en question. Le tramway a démarré lui aussi. Il est arrivé à l'arrêt, a pris les passagers, la conductrice a attendu ces deux crétins et a fermé la porte juste devant eux ! Ils ont claqué le tramway et la conductrice est partie avec un sourire sur le visage. © Palata n° 6 / VK
• En rentrant du travail, je suis monté dans le dernier bus. Au premier arrêt, personne n'est descendu ou monté. Au deuxième arrêt, il n'y avait personne, le chauffeur ne s'est même pas arrêté. Aux troisième et quatrième arrêts, il y avait beaucoup de monde, mais personne ne montait. Ce n'est qu'au cinquième arrêt que nous avons compris ce qui n'allait pas. Un homme est entré et a demandé au chauffeur : "Quel est le trajet ? Votre tableau n'est pas allumé !". © Sir.****naft / Pikabu

• Je me suis endormie dans le bus sur l’épaule d’un gars. Je me suis réveillée au terminus lorsque le chauffeur nous a fait descendre parce que son service était terminé. Le type ne voulait pas me réveiller et m’a accompagné jusqu’au terminus, alors qu’il devait descendre bien plus tôt. Je l’ai remercié en lui donnant mon numéro de téléphone. © Palata n° 6 / VK
• L’inconnu et moi sommes arrivés à l’arrêt de bus en même temps et nous nous sommes assis l’un à côté de l’autre dans le bus parce qu’il n’y avait pas d’autres sièges libres. Nous sommes restés assis ensemble pendant 40 minutes. Ensuite, nous sommes descendus à l’arrêt et avons marché pendant 20 minutes jusqu’au collège. Ensuite, nous avons de nouveau marché ensemble et sommes allés dans les cabinets voisins. Et enfin, nous sommes rentrés ensemble à la maison ! Par pur hasard ! Lorsque nous sommes montés dans le bus vide, nous nous sommes assis le plus loin possible l’un de l’autre. © nathanplays / Reddit
• Je rentrais chez moi en bus après l’école. Il était plein, il n’y avait nulle part où se mettre. Je somnolais, et soudain j’ai eu mal aux yeux. Je n’ai pas réalisé ce qui s’était passé. J’ai ouvert un œil, mais je n’ai pas pu ouvrir le deuxième. La dame me regardait, effrayée, et a commencé à s’excuser. De toute façon, elle s’est appuyée sur le dossier du siège devant moi et s’est endormie. Le bus a ralenti brusquement et son coude a rencontré mon œil. Au travail, on n’a pas cru tout de suite à l’histoire. Mais le patron m’a donné un jour de congé. © Podslouchano / Ideer
• Je voyageais dans le métro. Soudain, j’ai entendu une voix de femme : “Au prochain, s’il vous plaît”. Et encore. Puis cette femme a appuyé sur le bouton pour communiquer avec le conducteur. Le train s’est arrêté, les portes se sont ouvertes et la voix du conducteur s’est fait entendre : “Votre arrêt !”. La dame est sortie en courant. Puis le conducteur a demandé : “Est-ce que cette folle est sortie ?”. Et tout le wagon a dit : “Oui !”. © Succès & Échec / VK

• Je suis descendue du bus et après quelques minutes, j’ai découvert que mon téléphone portable, mon portefeuille et mes clés avaient été volés. Je me suis précipitée vers le premier chauffeur de taxi que j’ai trouvé et je lui ai demandé de m’aider à rattraper le bus. Nous nous sommes lancés à sa poursuite, nous avons presque traversé la moitié de la ville, j’ai demandé au chauffeur de me donner son téléphone pour que je puisse appeler le mien. C’est alors que j’ai entendu un tintement familier sous mon épaule, j’ai regardé bêtement le chauffeur de taxi et j’ai dit : “Oh ?”. Il s’est avéré que la doublure de mon sac s’était déchirée et que tout était tombé dedans. J’ai sorti mon portefeuille et j’ai demandé au chauffeur de taxi de me ramener à l’endroit où j’ai pris le taxi. Il a ri pendant tout le trajet. © Palata n° 6 / VK
• Un matin, je cours jusqu’à l’arrêt de bus où le bus vient de s’arrêter. Je suis à la porte et elle se ferme sous mon nez. Le chauffeur crie par la fenêtre ouverte : “D’abord, va te faire couper les cheveux et mets ton pantalon !”. Et il démarre. Je n’aurais jamais pensé qu’au XXIe siècle, un short et des cheveux longs seraient des motifs d’interdiction d’entrer — non pas dans un restaurant, non pas dans un théâtre, non pas dans une institution — mais dans un bus. © Podslouchano / Ideer
• Je voyageais dans un bus au Mexique. Il faisait terriblement chaud et la cabine sentait mauvais. La femme assise devant moi était avec un bébé, un chevreau et un poulet dans un panier. À un moment donné, elle s’est retournée silencieusement et m’a tendu le bébé chèvre. Pendant les deux heures qui ont suivi, j’ai dû tenir l’animal qui bougeait sur mes genoux. © SalemScout / Reddit
• Le soir, les embouteillages sur les routes, les transports en commun, c’est aussi l’enfer. C’est ainsi qu’après le travail, j’ai eu du mal à monter dans un trolleybus, qui était plein à craquer. Je pensais qu’il n’y avait pas de contrôleur, car pendant le trajet, personne ne s’est présenté. Mais je me suis trompé. Le trolleybus est entré dans un embouteillage et, à l’autre bout de la cabine, j’ai vu la contrôleuse, une dame très pléthorique. Elle a dit : “Préparez-vous, j’arrive”. © Palata n° 6 / VK